témoignage des risques et conséquences dramatiques du régime de la communauté universelle (régime légal)
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pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011
URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011
"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."
Albert Einstein
"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,
mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."
Albert Einstein
"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."
George Orwell
"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "
Henry Miller
Think again, think seven times again before you leap
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006
18 mai
Je commence à attendre impatiemment le retour d’EMMA ; en principe, RAOUL devrait la raccompagner vers dix-huit heures. L’heure passe - toujours rien. A dix-neuf heures, EMMA n’est pas rentrée. Je grignote un peu, je n’ai pas assez faim pour faire à dîner, surtout pour moi toute seule. J’attends toute la soirée, inquiète. Vers vingt-deux heures je me couche épuisée. Mais mon inquiétude m’empêche de dormir. Faut-il vraiment rajouter à mon mauvais état de santé de la détresse nerveuse ?
19 mai
Je n’arrête pas à me demander où peut être EMMA. On est le lundi de Pentecôte. Je ne vois pas d’autre solution que d’avertir la Gendarmerie par précaution. Je me souviens d’un article récemment paru dans la presse locale, où un parent a été condamné à une amende de 3.000 Francs pour non-présentation de l’enfant. Une voisine bien compréhensive m’accompagne dans l’après-midi à la Gendarmerie. Je prends tout mon courage et grimpe difficilement les quelques marches qui conduisent aux bureaux me cramponnant bien à la balustrade pour ne pas tomber. Je me sens mieux assise sur une chaise que debout. Pour la rédaction du rapport, le gendarme remonte jusqu’aux prénoms de mes parents ! Je suis agacée par tant de bureaucratie. La procédure dure au moins une demi-heure, une éternité pour une épuisée. Heureusement que ma voisine est patiente et qu’elle m’attend gentiment en plein soleil dans sa voiture. Je rentre un peu soulagée, mais toujours dans une attente angoissante. Ce soir, je ne peux pas me passer d’une petite dose de calmant. Vu les circonstances, je ne respecte pas ma résolution de ne plus jamais toucher à ces saletés ; mais aujourd’hui, j’ai une excuse valable.
Je suis soulagée à l’arrivée du médecin et lui fais un résumé de ce qui m’arrive. Il n’est pas étonné.
« Il ne faut pas toucher à ce genre de médicaments, c’est de la drogue. Il y a de tas de gens qui n’arrivent plus à s’en défaire. Leur comportement et leur personnalité en sont modifiés. Ces psychiatres, ils donnent ces traitements avec grande facilité sans se poser trop de questions comment ensuite sortir les gens de là. »
Sur ce dernier point, je suis d’accord avec lui. Ses propos me confirment mes soupçons et je suis bien contente d’avoir demandé au psychiatre d’arrêter le traitement qu’il me filait depuis environ trois ans SANS demander mon avis. Bien qu’il ait été d’accord de l’arrêter sur ma demande, à aucun moment du traitement, il ne m’a proposé ni la diminution des doses, ni l’arrêt complet du traitement. Pourquoi ? Il ne m’a absolument pas mise au courant de ce qui m’attendait au sevrage. Je me demande dans quel état je vais être après l’arrêt complet des médicaments. Pourquoi ne m’a-t-il pas hospitalisée pour le sevrage, alors que j’ai été hospitalisée pour l’administration du traitement ? Vu mon état, l’hospitalisation aurait été plus que nécessaire pour permettre une surveillance médicale continue et pour me soulager du quotidien que je n’arrive plus à assumer. Mais je sais aussi que sans traitement, je n’aurais probablement pas survécu cette période difficile. Un médecin a-t-il le droit d’empêcher une personne de mettre fin à sa vie ? Je trouve qu’il ne l’a pas. Chacun devrait être libre de vivre sa vie ou libre de vouloir y mettre fin. Personne ne demande de naître, alors pourquoi la Loi nous empêcherait-elle de décider du moment où nous souhaiterions quitter la scène ? J’ai le sentiment que j’ai été entièrement manipulée et cela avec le consentement de mon mari, unique cause de mes problèmes de santé. Lui s’en est tiré indemne, sans médicaments, sans souffrances, tandis que moi, je dois souffrir atrocement.