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  • : FUKUSHIMA ATTENTION DANGER
  • : avertissements et conseils à l'Humanité - warnings and advice to Humanity - But du blog : œuvrer pour un monde meilleur en publiant - des messages reçus du Monde Invisible - des articles sur l'environnement et la santé aim of this blog : help to make the world a better place by publishing messages from the Invisible World and articles on environmental and health issues - le témoignage sur les risques et conséquences du régime matrimonial légal
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Recherche éditeur - Looking for editor

Recherche éditeur pour la publication et diffusion à l'échelle mondiale du recueil de Messages Divins JESUS EN DIRECT et de FUKUSHIMA.

 

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APPEL URGENT

pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011

URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011


____________________

 

"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."

Albert Einstein


"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,

mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

Albert Einstein

 

"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."

George Orwell

 

"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "

  Henry Miller


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Think again, think seven times again before you leap 
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006

22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 10:22
19 mai
RAOUL quittera Perlieux probablement la semaine prochaine ; il paraît qu’il a trouvé un travail je ne sais où. Comment vais-je pouvoir résoudre tous les problèmes qu’il laissera derrière lui ? Que deviendra GREG ? Je pense qu’il suivra son père.   Je dois agir vite avant qu’il ne soit trop tard et demande donc immédiatement à Maître MATOU qu’il intervienne auprès de Maître MARTY pour qu’il saisisse la VOLVO. Une fois la voiture partie, il sera impossible d’y mettre la main dessus ; elle doit servir à payer les dettes. 
J’attire l’attention sur le fait que Monsieur BOULIER a toujours l’intention d’immigrer avec le fils au Canada et que je m’inquiète pour le remboursement des créanciers. S’il devait effectivement aller à l’étranger, il serait injoignable, donc intouchable. Je lui demande de faire le nécessaire pour que Monsieur BOULIER ne puisse pas quitter la France. J’exprime également ma grosse crainte que le père demande la garde de sa fille en utilisant comme prétexte ma dépression nerveuse. Je lui demande si je peux obtenir des dommages et intérêts pour avoir été rendu gravement malade par le comportement de mon mari, le rapport de la psychologue attestant que je vis dans une continuelle anxiété/angoisse. Je voudrais également savoir si j’ai un droit à la parole lors de l’audience de divorce. Je crains en effet que l’avocat n’évoquera pas tous les problèmes que je lui ai signalés, pour démontrer les méfaits de Monsieur BOULIER afin d’obtenir un Jugement de Divorce à ses torts exclusifs.                
(pas de réponse)
20 mai
Je suis convoquée au Tribunal pour l’audience de Conciliation. En attendant dans le couloir, RAOUL m’ignore ; il a l’air d’être très mal à l’aise. Son avocat est jeune et croit que le divorce se fera à l’amiable. Je sais déjà qu’il se trompe sur ce point. Je compte sur mon avocat, plus expérimenté vu son âge.
 
Chaque partie est appelée séparément dans le bureau du Président qui demande les motifs pour la demande de divorce. Je n’en crois pas mes oreilles : Maître MATOU donne comme motifs « violences physiques et morales » malgré ma demande du 22 avril de modifier les raisons indiquées par lui dans la requête de divorce. Je me dépêche de faire remarquer au Président que ce n’est pas pour cette raison-là que j’ai demandé le divorce, mais pour les raisons suivantes : abus de confiance, mensonges répétés, endettement notoire de la famille, pour ne pas avoir agi en bon père de famille, pour me protéger contre de nouvelles dettes que Monsieur BOULIER pourrait faire, pour pouvoir enfin guérir de la dépression nerveuse dont il est la seule et unique cause. A ma remarque Maître MATOU s’empresse de dire : « Si cela ne vous convient pas, changez alors d’avocat ». Je reste bouche bée. Cette réponse me bouleverse au point que suis au bord des larmes. Je croyais naïvement que l’avocat allait suivre mes instructions et être un soutien pour moi dans cette procédure dont j’ignore absolument tout. C’est tout de même la première fois que je divorce. Je ne sais pas quoi faire, à qui m’adresser, je n’ai pas le courage de changer d’avocat et dans mon désarroi, demande finalement à Maître MATOU de continuer à s’occuper de mon cas.
 
Je quitte le Palais de Justice effondrée en larmes. Je me sens mal : mal dans ma peau, mal à l’aise, mal sur mes jambes. Rien ne va plus. Je n’aperçois plus rien autour de moi. Je ne sais pas où aller, quoi faire, comment faire. Je n’ai personne à qui parler, pour me faire de l’air, me soulager, au moins un peu. Je suis seule, absolument toute seule.   Je traverse les rues dans un brouillard de larmes sans regarder …
 
Comme j’ai encore du temps avant de pouvoir rentrer, je passe chez le tapissier chez qui RAOUL avait déposé sur mon conseil du tissu brodé du Cashmere qu’il avait échangé, il y a bien des années, contre quelques-unes de mes toiles sans m’en parler auparavant. J’apprends que Monsieur BOULIER a encaissé l’argent de la première vente et qu’il a donné comme consigne de partager les prochaines rentrées d’argent à parts égales. Pourtant RAOUL sait dans quelle situation dramatique je me retrouve avec EMMA et que le tissu a été acquis en échange de MES toiles. Combien de fois RAOUL va-t-il encore me truander ? Il ne semble pas réaliser dans quelles conditions déplorables doit vivre sa fille.  Serait-il indifférent à son sort ?
Une fois rentrée à la maison, j’essaie de me ressaisir en demandant dans une lettre à Maître MATOU une nouvelle fois de changer les motifs de ma demande de divorce.
(Annotation : Il ne le fera pas.)
 
22 mai
Je reçois un nouveau coup dur : Maître CHARLOT envoie l’expertise des PRUNELLES à Maître MATOU. Elle dit : « En cas de vente aux enchères, le niveau de 600.000 Francs ne serait sans doute pas dépassé voir atteint ».  Surtout pas ça ! Jamais cette somme ne suffira pour régler toutes les créances. L’expert conseille d’amener le prix aux alentours de 900.000 Francs. Serait-ce suffisant ? Je n’en sais rien. Tout ce que je sais : Il ne nous restera RIEN une fois la propriété vendue. 
 
26 mai
RAOUL est revenu de Paris les mains vides. Je crains de ne jamais pouvoir récupérer mes biens entreposés dans le coffre-fort à Couliers. Inquiète, je demande immédiatement à Maître MATOU d’intervenir auprès de l’avocat de Monsieur BOULIER.
(Annotation : aucune suite n’est donnée)
 
29 mai
Pour que les choses soient claires, je résume pour Maître MATOU le montant des biens de la communauté qui ont été vendus en commun accord pour faire un peu d’argent de ménage qui manque si cruellement. Je fais remarquer que nous vivons en dessous du seuil de pauvreté et qu’il nous faudrait entre 1.000 et 2.000 Francs par mois de plus à chacun pour nous en sortir. 
 
Je profite de l’occasion pour établir une liste des biens de la communauté et du matériel professionnel stocké dans l’appartement de Monsieur BOULIER, s’il n’est pas déjà vendu. 
Dans la foulée, j’essaie de résumer également les dettes de la GOURMANDISE dont j’apprends petit à petit l’existence en me doutant bien, que ma liste est incomplète. J’arrive à environ 73.000 Francs sans compter le prêt de la sœur de RAOUL, dont une partie semble avoir été remboursée, ni le prêt de DAISY, mon amie d’école, qui reste à rembourser intégralement majoré des intérêts depuis 1994. 
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19 avril 2007 4 19 /04 /avril /2007 10:20
15 mai
« Une nouvelle fois, tu te dépasses ! » Ainsi commence un nouveau gentil mot manuscrit, presque illisible de RAOUL qu’EMMA me remet le soir en rentrant de chez son père. 
« Après avoir dépensé au moins 28 ou 30 Francs pour faire un cadeau de Pâques à GREG, prix moyen des éponges dans les grandes surfaces, tu viens de sacrifier 14,20 Francs pour mon cadeau d’anniversaire d’EMMA, laquelle avait 50 Francs pour s’offrir un serre-tête ! Tu es une nouvelle fois odieuse ! Ne voulant pas te mettre en difficulté après une telle dépense, tu trouveras ci-joint 14,20 Francs à titre d’indemnité compensatoire ! (Je ne te rends pas le « cadeau » uniquement pour ne pas faire de la peine à EMMA !) ».
« Je te remercie également pour le rendez-vous du vaccin d’EMMA. Comme tu ne m’avais pas prévenu, j’avais organisé avec GREG tout un programme pour aujourd’hui. La matinée a donc été foutue en l’air. Lorsque j’ai proposé à EMMA de reporter le vaccin, elle a fondu en larmes craignant d’être disputée le soir. J’ai donc cédé pour ELLE, mais te préviens qu’il ne faut plus compter sur moi pour faire tes corvées ».
« Tu aurais également pu faire écrire la carte par EMMA, elle en a l’âge (comme celui de traverser un feu rouge !) et elle aurait été contente de le faire.  Au lieu de cela, tu l’as simplement appelée après l’avoir écrit pour lui demander de la signer. C’est lamentable de ta part. A ma connaissance je ne connais qu’une autre personne capable de tels comportements. Comme par hasard, c’est ton père !  Encore un effort et tu vas faire mieux ! ». 
Je ne trouve pas de mots pour exprimer mon dégoût d’une telle méchanceté et volonté de blesser, allant jusqu’à s’en prendre à mon père, vieil homme malade généreux. De telles « gentillesses » n’améliorent en rien mon état de santé et RAOUL le sait trop bien. Je suis persuadée qu’il fait exprès pour m’enfoncer encore d’avantage dans la dépression nerveuse. Je suis à bout !
Suite à ma réflexion que je ne souhaite pas que RAOUL envoie EMMA toute seule faire des courses pour lui dans un grand magasin, puisqu’elle n’a pas l’habitude de la ville et doit traverser une rue très passagère, il me répond : « Tant que j’ai l’autorité parentale, je suis assez grand pour juger de ce que je dois faire avec EMMA ». 
Il n’a donc pas compris mon inquiétude pour la sécurité de l’enfant.
 
Je ne peux pas laisser sans réaction ce courrier indigeste de RAOUL et me fais de l’air en écrivant à Maître MATOU pour lui démontrer une fois de plus, à quel point le père peut être imbuvable :
Je corrige le prix que j’ai payé pour l’éponge à GREG : 70 Francs et non 28, somme importante pour moi qui mesure tout achat à mon budget alimentaire journalier qui est de 15 Francs par personne. Le modeste cadeau d’anniversaire de la part d’EMMA n’était qu’un petit geste de l’enfant pour qui un anniversaire sans cadeau est inconcevable. Il est vrai que EMMA avait 50 Francs dans son porte-monnaie, l’argent de poche mensuel de ses grands-parents allemands, GREG en reçoit le double. En aucun cas ne pourrais-je lui offrir cette somme-là puisque après avoir payé tous les frais courants du ménage, il ne me reste que 90 Francs par mois pour la nourriture pour elle et moi-même, somme que je dois compléter d’une manière ou d’une autre. Il est vrai que j’avais demandé au père de prendre rendez-vous pour faire faire un rappel de vaccin urgent à sa fille. Mais il avait exigé que ce soit moi, qui prenne le rendez-vous, ce que j’ai fait. Il n’est pas vrai que leur programme de la matinée en avait été perturbé, puisque GREG avait cours. Comme je travaille à temps plein et que le vaccin urgeait, j’avais demandé au père d’y emmener sa fille, quoi de plus normal ? Je trouve indécent que je me fasse critiquer même pour une petite carte d’anniversaire. Je fais part à l’avocat de ma tristesse concernant les insultes vis-à-vis de mon père, vieil homme en mauvaise santé, qui nous a aidés régulièrement financièrement sans le moindre remerciement de la part de son gendre, lequel s’en prend maintenant à lui dans le seul et unique but de blesser sa fille malade. Je lui signale que Monsieur BOULIER est au courant que j’ai dû doubler la dose des antidépresseurs, tranquillisants et somnifères pour que je tienne le coup, ce qui ne l’empêche pas de tout faire pour m’enfoncer de plus en plus dans la dépression au lieu de m’aider à m’en sortir au plus vite.
(pas de réaction de l’avocat)
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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 17:01
7 mai
Je vais à mon rendez-vous avec Maître MATOU, chargée des quelques documents dont je dispose, dont le dossier POMAL que RAOUL m’a remis récemment sans la moindre explication, la plupart des dossiers étant en sa possession. Je voudrais qu’il soumette mes nombreuses questions concernant nos problèmes financiers et professionnels à l’avocat de Monsieur BOULIER, vu que ce dernier me refuse toute réponse partant du principe de n’avoir « aucune obligation légale de répondre » et vu son exigence de passer par nos avocats respectifs.  
Nous évoquons de nombreux points, mais je repars sans réponses véritables. Je ne me sens pas aidée. J’ai l’impression que j’ai perdu une demi-journée et mon budget alimentaire pour la journée en frais de transport.
 
9 mai
J’ai rendez-vous avec Maître MARTY, l’huissier. Je repars « bredouille » n’ayant pu avancer de rien. Je me sens infiniment seule et regrette d’avoir perdu à nouveau mon budget journalier dans les frais de transport.
 
12 mai
J’informe Maître MATOU que Maître CHARLOT avait interdit à Monsieur BOULIER dans le cadre de sa liquidation judiciaire, d’exercer une nouvelle activité indépendante, interdiction qu’il a contournée en utilisant mon nom de jeune fille pour ouvrir la GOURMANDISE. Je me demande s’il ne faut pas en informer le syndic.
(pas de réponse)
 
Je signale également ce que je viens d’apprendre : Maître VARON a déposé un acte au nom de Monsieur BOULIER à la Mairie de Bornac à la requête de la banque GALE où je le soupçonne d’avoir ouvert un compte personnel. Comme je m’inquiète, je veux savoir si je peux toujours être tenue responsable des actes actuellement commis par Monsieur BOULIER.  Je le prie de se renseigner auprès de Maître VARON et de me tenir au courant. (Annotation: pas de réponse)
 
Comme le propriétaire du local commercial vient de convenir par téléphone que toile murale et porte décorée sont ma propriété artistique, je ne vois aucun problème pour les récupérer et demande à Maître MATOU comment je dois procéder.
(Réponse le 23 août 1996)
 
13 mai
Je crains que le matériel professionnel ne soit détourné par RAOUL et demande par précaution de l’aide auprès de Maître MARTY, l’huissier, pour éviter toute tentative de disparition, si ce n’est pas déjà trop tard. Je voudrais tout mettre en dépôt-vente, tout comme la VOLVO et les deux peintures miniatures anciennes sur ivoire, pour lesquelles j’ai éventuellement deux personnes intéressées, afin de pouvoir régler les dettes de la GOURMANDISE.
(pas de réponse de l’huissier)
 
14 mai
Je viens d’apprendre par le Cabinet de Recouvrement GUYMET que la GOURMANDISE doit 5.491 Francsaux Etablissements MARUT, dette dont je n’ai jamais entendu parler ; je n’ai jamais vu de lettres de rappel. Monsieur GUYMET m’apprend la mauvaise réputation de Monsieur BOULIER dans les boutiques environnantes lorsqu’il y est allé le chercher, après n’avoir reçu aucune réponse de sa part à ses lettres de rappel
J’ai très honte à entendre de tels propos et lui demande de déposer sa créance chez Maître MARTY. 
Cet entretien m’a beaucoup énervée. Comment est-il possible de faire le mort à des lettres de rappel ? Je crains lentement, mais sûrement, qu’il n’y ait plus de dettes que RAOUL veut bien me faire croire.  Comment pourrais-je apprendre à qui la GOURMANDISE doit encore de l’argent ? Je n’ai pas accès à la comptabilité, je ne connais pas les commandes passées par RAOUL, je ne connais pas le nom des fournisseurs avec lesquels il travaillait, je ne reçois pas les lettres de rappel, RAOUL continue à me refuser toute réponse à mes questions.  Je voudrais que la situation soit apurée au plus vite ; je ne veux pas avoir de problèmes. J’en ai déjà assez avec le quotidien et avec mon mauvais état de santé qui me rend la vie de tous les jours extrêmement dure. Comment faire ?
 
Je ne vois pas d’autre solution que d’écrire à Maître MATOU en lui demandant de faire un procès à Monsieur BOULIER pour mauvaise gestion, abus de confiance et mensonges, comme la Chambre des Métiers me l’avait conseillé de faire.
(Annotation : pas de réponse, pas de suite donnée par l’avocat) 
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13 avril 2007 5 13 /04 /avril /2007 17:01
25 avril
Vu les problèmes au niveau de la GOURMANDISE que je découvre petit à petit, je contacte le Service Juridique de la Chambre des Métiers pour leur expliquer toute la situation et demander conseil. Le juriste me conseille d’attaquer Monsieur BOULIER pour mauvaise gestion et abus de confiance afin de pouvoir me protéger contre les réclamations des créanciers et de faire une séparation de biens pendant la période du divorce pour me protéger de nouvelles dettes que Monsieur BOULIER pourrait faire. Il serait également possible de réclamer des dommages et intérêts pour l’utilisation abusive de mon nom de jeune fille. Je suis bien contente de tous ces renseignements et en informe immédiatement Maître MATOU pour qu’il fasse le nécessaire. Je lui signale que Monsieur BOULIER refuse toujours de me communiquer le total des dettes qu’il a laissées à la fermeture et que je comptais sur son aide pour résoudre au plus vite et au mieux les problèmes de la GOURMANDISE. Je voudrais savoir comment je dois procéder pour mettre en dépôt-vente le matériel du restaurant stocké au domicile de Monsieur BOULIER, matériel qui doit servir à régler les créanciers, mais auquel je n’ai pas accès.
(Annotation : pas de réponse, ni de suite donnée par l’avocat)
 
26 avril
En raison des tensions entre RAOUL et moi au sujet des tableaux mis en dépôt-vente à l’hôtel des ventes BENBIRA, je décide de les retirer carrément de la vente pour éviter tout dispute à leur sujet. Ce serait trop dommage.
 
28 avril
Je n’ai plus aucune confiance en RAOUL qui – suite à ma demande du mois de mars auprès de son syndic – a effectivement obtenu l’autorisation de pouvoir retirer le contenu du coffre-fort. Comme je crains maintenant qu’il ne garde tout pour lui bien que le contenu m’appartienne entièrement, je demande à Maître MATOU d’intervenir auprès de Maître CHARLOT, pour qu’il désigne une personne de confiance qui pourrait vider le coffre-fort à la SNIV à Couliers.
(pas de réponse)
 
29 avril
Maître CHARLOT m’informe qu’il y a extrême urgence pour finir du dossier de la liquidation judiciaire de Monsieur BOULIER, mais ne répond toujours pas à ma question concernant le passif ; pourtant, je suis autant concernée que RAOUL,  puisque malheureusement j’ai été mariée sous le régime de la communauté. Si seulement j’avais été prévenue, avant le mariage, des suites que le régime de la communauté peut avoir ! 
 
1er mai   
Mon nouveau contrat de location que j’ai fait établir à MON nom pour la maison que je loue, prend effet à partir d’aujourd’hui. Je suis enfin chez moi !
 
J’ai de plus en plus mal dans les doigts, les bras, les jambes et la nuque. J’ai très honte de ma démarche qui s’empire, je marche comme un canard ; après les épaules, ce sont maintenant mes jambes qui commencent également à se bloquer. Ces douleurs me handicapent beaucoup ; les gestes les plus élémentaires deviennent une corvée et me font souffrir ; me coiffer est une torture, enfiler toute seule un vêtement est presque impossible. Heureusement qu’EMMA est là pour m’aider ! Elle le fait volontiers se rendant bien compte que sa maman est devenue une handicapée. 
Le rhumatologue pense que mon état est dû au stress nerveux que je subis depuis trop longtemps et qui se traduit maintenant en des problèmes physiques. Il essaie un traitement anti-inflammatoire et me fait à nouveau des infiltrations à la Cortisone. J’essaie d’aller régulièrement à la piscine avec EMMA pour retrouver un peu plus de mobilité de mes bras que je ne peux plus soulever qu’à 90°.   Ces exercices me font beaucoup souffrir, mais comme je suis du signe du scorpion, j’ai la ferme volonté de faire des progrès et encaisse silencieusement les douleurs dans l’espoir de pouvoir guérir pour redevenir opérationnelle à cent pour cent. 
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10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 17:01
24 avril
Monsieur BOULIER réceptionne et ouvre une lettre à MON nom venant de Maître GROS m’informant que l’affaire POMAL sera plaidée le 4 juin 1996
(Annotation : Lorsqu’il me remet la lettre ouverte,il me reproche de ne pas lui avoir répondu à sa question si oui ou non il doit continuer à s’occuper du dossier. Il semble avoir oublié que je lui ai donné une réponse le 8 avril dernier.) 
 
Maître MATOU me confirme par écrit que je peux « parfaitement et valablement changer les serrures de mon domicile vu que la séparation du couple fait déjà plusieurs mois ». L’avocat me demande de ne plus répondre aux courriers de Monsieur BOULIER qui, d’après lui, ne sont que des provocations
Il me confirme que la toile murale et la porte décorée sont ma propriété personnelle, puisqu’elles portent mon nom d’artiste, propriété dont Monsieur BOULIER ne pouvait pas en disposer librement comme il l’a fait, et que je peux les récupérer d’autant plus, que la toile est simplement agrafée, et cela au besoin par une assignation devant le Tribunal au propriétaire des murs. 
L’affirmation « Vos toiles sont votre propriété personnelle » me rassure. 
 
Quant à l’impossibilité pour moi d’utiliser la voiture pour aller au travail, l’avocat évoque la réclamation éventuelle d’une indemnité de jouissance du véhicule.
« Il conviendra dans le cadre du divorce de tenir compte de cette appropriation par votre mari et de lui réclamer d’ailleurs, au besoin, une indemnité de jouissance du véhicule… ».
(Annotation : Rien n’a été réclamé lors du divorce par l’avocat.)
 
Une nouvelle lettre de RAOUL arrive :
« Tu déverses chaque jour des lettres dans ma boîte aux lettres exigeant des réponses à de multiples questions », se plaint-il et me reproche « une voie extrême et mensongère en allant jusqu’à demander le divorce pour violences physiques et morales ».
(Annotation : C’est l’avocat qui a choisi cette formulation.)
 
Je suis sidérée de lire « qu’il est inutile de m’écrire, puisque nous avons décidé l’un comme l’autre et faute de dialogue possible, de faire appel à la justice ».
Faute de dialogue ? Oui, mais de la part de qui ? Certainement pas de moi !
« Il serait préférable de limiter nos contacts directs aux seules questions liées aux enfants ».
« Je réserverai donc dorénavant mes réponses et mes explications au Juge et ce par l’intermédiaire de Maître BELLE » conclut-il. 
Cela signifie que RAOUL est décidé de garder le silence et que je n’obtiendrai aucune réponse à mes nombreuses questions. Comment puis-je continuer ? Je suis affolée à l’extrême.
  
J’ai la désagréable surprise de recevoir un Dernier Avis avant Poursuites, adressé au nom de MONSIEUR BOULIER, pour le non-paiement de la cantine depuis huit mois, d’un montant de 928 Francs à régler sous TROIS jours. Je ne crois pas mes yeux ! J’ai toujours donné l’argent à RAOUL pour qu’il règle les frais de cantine par chèque afin d’avoir une trace du règlement. Il n’aurait donc pas réglé la cantine ? J’ai du mal à le croire. Le mois dernier, j’ai réglé la cantine avec l’aide d’une autre maman : Je lui avais donné l’argent et elle avait fait un chèque pour les deux enfants. Je suis vraiment handicapée sans chéquier. Comment puis-je régler presque 1.000 Francs sous trois jours ? C’est impossible ! Si je ne paie pas dans les délais, EMMA sera exclue de la cantine ! Cette pensée me fait le plus mal. En plus, le Maire du Gué et le Maire de Bornac ont été informés. Quelle honte ! Que doivent-ils penser de moi ? Pourtant, j’ai payé la cantine, mais à RAOUL. Jamais il ne me serait venu à l’esprit qu’il n’enverrait pas le chèque correspondant et cela depuis maintenant huit mois ! Je suis retournée, j’ai du mal à le croire, je ne sais pas comment faire
J’en informe immédiatement par écrit RAOUL et lui demande de me fournir les talons de chèque comme preuve de paiement et transmets une copie à Maître MATOU, aux Maires du Gué et de Bornac, au Trésor Public et à la CAF.
(pas de réponse d’aucune des parties)
 
J’ai l’impression que je ne vais pas m’en sortir des courriers ! J’y passe toute ma soirée, mais je veux avoir le cœur net au plus vite :
 
Concernant le dossier SACEM, je demande à RAOUL des explications pourquoi nous devons encore plus de 1.000 Francs, alors qu’il m’avait expliqué qu’il s’était arrangé avec le responsable de « troquer facture contre repas ».
(pas de réponse)
 
Quant au four à air pulsé professionnel que mes parents avaient financé, je rappelle à RAOUL que mon père attend toujours la facture à SON nom, sinon il faudra le lui rembourser. (Annotation : refus catégorique de la part de RAOUL)
 
Je réponds en même temps à sa lettre du 22 avril 1996 et l’informe que je refuse de limiter les contacts avec lui au sujet des enfants, mais demande que nous réglions ensemble le problème des dettes pour éviter de nouveaux procès et frais.  Je renouvelle ma demande de répondre enfin à mes questions que je suis obligée de lui poser vu son silence absolu.
Je lui reproche de m’avoir utilisée comme prête-nom, ce qui a pour conséquence qu’on me tient maintenant responsable des actes à LUI.
Je veux savoir quels fournisseurs il a réglé avec les 10.000 Francs qu’il prétend avoir obtenu de la PIZZERIA pour du matériel professionnel sans jamais m’avoir fourni de justificatifs, quels fournisseurs restent à régler, comment il pense régler Madame FRAIS à qui il doit toujours le solde de 4.000 Francs d’un prêt personnel, le bilan et les comptes d’exploitation qu’il ne m’a toujours pas fournis, ainsi que le nom du comptable, s’il y en avait un, et s’il a déposé la demande de remboursement de TVA
Je lui fais part de mon mécontentement de m’avoir présentée comme « une malade » auprès des services des Impôts, tout comme il a parlé de moi à diverses personnes de « malade, fatiguée, pas très nette », même « folle, internée ».
 
Je garde toujours un peu d’espoir que RAOUL me répondra un jour. S’il ne le fait pas, j’aurai au moins la preuve, que j’ai essayé - comme j’ai pu - d’intervenir auprès de lui, mais que je me suis heurtée à un mur de silence. Je garderai précieusement une copie de tous mes courriers qui s’accumulent. 
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7 avril 2007 6 07 /04 /avril /2007 17:01
23 avril
En rentrant du travail, je constate qu’il n’y a plus d’eau.   Ma première réaction est : Comment puis-je laver EMMA ce soir ? Comment faire la cuisine et la vaisselle, puisque je n’ai aucune réserve d’eau ? Ma deuxième pensée est : Ils ont du faire des travaux et n’ont pas encore remis l’eau. Je vais immédiatement à la Mairie pour me renseigner. Il n’y a pas eu de travaux. Je me demande alors si toutes les factures d’eau ont été réglées. Pourtant, RAOUL m’avait assuré d’avoir payé à la propriétaire la facture d’eau, prétendant que le compteur étant toujours à son nom depuis notre déménagement en avril l’année dernière. Je me souviens bien avoir remis à RAOUL l’argent pour l’eau avec le loyer ; tout devrait donc être en règle
Cherchant en vain de comprendre, je reprends le dossier CEO que RAOUL m’a remis, il y a sept jours : sans m’en parler auparavant, il avait demandé en 1995 le changement de nom du compteur d’eau et avait fait établir le contrat à SON nom en demandant que les factures soient envoyées à SON domicile, c’est-à-dire à Perlieux. Par contre, il n’a pas réglé les frais administratifs de cette opération, soit 700 Francs, depuis 1995 et cela malgré de nombreux rappels et la menace d’une coupure d’eau à Bornac si la facture n’était pas réglée sous huit jours, courriers envoyés à SON adresse à Perlieux. La semaine dernière, lorsque j’ai eu connaissance du dossier, j’ai réglé immédiatement les 700 Francs pour éviter une coupure d’eau. Pourquoi m’a-t-on donc coupé l’eau maintenant ?  
Je téléphone à la CEO pour me renseigner. J’apprends qu’il y a une facture impayée de 2.188 Francs dont je ne sais rien.
(Annotation : RAOUL prétendra un peu plus tard qu’il s’agissait d’un litige pour la consommation d’eau à Sourlac en 1993.)  
J’explique à la CEO la situation et leur rappelle que j’ai réglé 700 Francs, il y a huit jours. On me promet de me remettre l’eau, mais pas avant demain. Une fois de plus, le comportement crapuleux du père de famille ne touche pas lui, mais son enfant et sa femme. Il savait que la compagnie d’eau allait nous couper l’eau, mais malgré cette menace, il n’a pas payé ce qu’il devait. Ce soir, nous sommes obligées, EMMA et moi, de nous contenter d’une toilette de chat. RAOUL, par contre, a certainement de l’eau à son appartement, mais se lavera-t-il ?
 
J’informe immédiatement RAOUL par écrit de cet incident désagréable et lui demande des explications, de me fournir des preuves qu’il a toujours réglé les factures d’eau et j’exige de régler au plus vite ce dossier. 
(pas de réponse)
 
Je mets également au courant Maître MATOU pour démontrer qu’une fois de plus, Monsieur BOULIER n’agit pas en bon père de famille. 
 
Comme je ne sais pas comment me sortir du dossier des PRUNELLES, que RAOUL m’a remis en me disant : « Maintenant, débrouille-toi ! » sans me donner la moindre explication, je lui demande en même temps de bien vouloir m’aider. L’avocat de l’adversaire aurait fait une proposition d’achat de 800.000 Francs, montant inacceptable pour moi, puisque la propriété avait été estimée à plus de 2 Millions de Francs en 1991. Je soupçonne une escroquerie au niveau des PRUNELLES. Y aura-t-il une petite chance de les conserver ?
J’espère que Maître MATOU veut bien s’occuper du dossier pour me décharger de toutes ces démarches administratives dont j’ignore tout et que je trouve extrêmement compliquées d’autant plus que je ne connais rien ni aux procédures, ni aux Instances impliquées dans ce litige.
(pas de réponse)
 
Je le prie également de m’assister dans le litige avec la SNIV, litige qui ne peut plus être défendu par Maître PERNEAUD en raison de notre demande de divorce. Je lui remets les quelques documents en ma possession, accompagnés de mes explications ainsi qu’un dossier d’aide juridictionnelle.
(Annotation : L’avocat ne fera jamais rien.)
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4 avril 2007 3 04 /04 /avril /2007 17:01
19 avril 
Maître MARTY me demande de verser 1.330 Francs concernant les cotisations sociales ORGANIC de 1995 en retard, lettre à MON nom, interceptée par Monsieur BOULIER. 
(Annotation : J’en prends connaissance seulement le 4 juin quand Maître MARTY me relance en me faisant parvenir une copie de son courrier.)
 
20 avril
A ma plus grande surprise, je reçois la requête de divorce que RAOUL a déposée presque en même temps que moi. Je lis : « La requête est fondée sur des faits rendant intolérable le maintien de la vie commune » et « que l’attitude de Madame BOULIER est en contradiction avec les devoirs et obligations nées du mariage ». 
Je n’en crois pas mes yeux ! Oser me reprocher que je n’ai pas rempli mes devoirs et obligations d’épouse, est un pur mensonge et donc inacceptable pour moi : Je me suis toujours démenée pour avoir une maison bien entretenue et agréable, je me suis toujours bien occupé des enfants, j’ai même abandonné mon activité professionnelle de traductrice bien rémunérée à l’époque pour pouvoir élever mon premier enfant. La seule chose que RAOUL peut effectivement me reprocher et qui est une raison de divorce, est le fait de ne plus avoir partagé le lit avec lui depuis que les tensions se sont installées dans notre couple. 
 
Je suis très surprise et soulagée en même temps : Cela me prouve que nous pensons la même chose sans jamais, pas une seule fois, avoir abordé le sujet de divorce. J’ai ainsi confirmation qu’il fallait demander le divorce, que notre couple n’aurait pas pu être sauvé, même dans l’intérêt des enfants, comme je le croyais encore en 1994 lorsque je me portais pour la première fois avec l’idée de divorcer, mais où j’hésitais de le faire pour ne pas casser la famille. Pour une fois, nous sommes donc d’accord sur un point : Le divorce s’impose.
(Annotation : J’apprendrai plus tard, que RAOUL aurait demandé le divorce sur conseil de GREG. RAOUL lui aurait promis de me parler par lettre de son intention de divorcer avant de déposer sa demande. Je n’ai jamais reçu de lettre.)
 
J’ai enfin pu constituer les deux dossiers d’aide juridictionnelle pour être défendue dans le litige des PRUNELLES. J’en ai marre des papiers, toujours de nouvelles photocopies, toujours remplir les mêmes formulaires, toujours autant de frais d’envoi en recommandé qui me pincent à chaque fois, frais équivalents à mon budget alimentaire journalier pour chaque lettre recommandée. 
 
22 avril
Je reçois une copie de ma requête de divorce. Elle dit que le maintien du lien conjugal est devenu impossible et ce du fait de Monsieur BOULIER et qu’une mésentente règne entre les époux qui vivent séparément depuis le 1er décembre 1994 en raison de l’instabilité de Monsieur BOULIER, de ses actes de violences physiques et morales à l’encontre de son épouse.
Je suis assez consternée d’apprendre que l’avocat a basé ma requête de divorce exclusivement sur « les violences physiques et morales » et qu’il n’ait pas tenu compte de toutes mes autres raisons pour demander le divorce, en particulier de vouloir me protéger contre de nouvelles dettes que RAOUL pourrait contracter à mon insu. 
Je me vois donc obligée de lui demander immédiatement de rectifier ma requête de divorce et d’y faire figurer les raisons que j’ai énumérées dans ma lettre du 10 avril à savoir :
-         abus de confiance
-         mensonges répétés
-         endettement notoire de la famille
-         ne pas avoir agi en bon père de famille
-         pouvoir guérir de la dépression nerveuse dont Monsieur BOULIER est la cause. 
Je lui demande un double de la nouvelle version pour moi et un double pour RAOUL.
(Annotation : L’avocat n’a jamais voulu rectifier ma demande.)
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1 avril 2007 7 01 /04 /avril /2007 16:44
17 avril
Je reçois une lettre de RAOUL concernant entre autres ma toile murale et la porte décorée restées dans le local commercial. Je pense qu’il a dû être informé par le gérant de la Pizzeria que je lui avais demandé, il y a quelques jours, de me rendre ma toile murale et la porte décorée, que Monsieur BOULIER avait laissées lors de la fermeture. Quelle n’avait pas été ma surprise de constater que le nouveau locataire refusait tout contact avec moi ! Il n’avait même pas voulu me donner son nom. 
« Je ne vous connais pas ; j’ai traité avec Monsieur BOULIER, pas avec vous » m’avait-il sorti avant de m’avoir raccroché au nez. 
Je suis stupéfaite de lire que RAOUL défend sa manière d’agir en se basant sur la clause du contrat de location qui dit « tous embellissements, améliorations et installations faits par le preneur dans les lieux loués resteront la propriété du bailleur, sans indemnités de sa part ... »
Il en conclut :
« Ces deux éléments sont donc la propriété légale de Monsieur JULE. La Pizzeria n’est pas concernée par tes réclamations excentriques. » 
C’est un comble ! Premièrement, RAOUL a disposé librement de ma propriété artistique, sans m’avoir consultée, et deuxièmement, il oublie que toile murale et porte décorée sont AMOVIBLES et ne rentrent donc pas dans la clause qu’il cite qui ne concerne que des améliorations FIXES qui d’ailleurs, nous ont coûté plus de 40.000 Francs, si je suis correctement informée. Comment puis-je récupérer ma toile murale et la porte décorée ? Pourquoi RAOUL n’a-t-il pas respecté mes consignes ? Je me retrouve devant un nouveau problème parfaitement inutile. J’en informe mon avocat et lui demande conseil comment je dois procéder pour récupérer toile et porte. 
(Réponse le 23 août 1996 après plusieurs relances)
 
Suite à ma demande du 13 avril, interrogeant Maître MARTY sur les créances déposées au nom de BOULIER, RAOUL, l’huissier m’informe qu’elles s’élèvent à environ 70.000 Francs.
Je reste perplexe lorsque je commence à regarder de plus près le décompte du dossier AIPAL qui concerne le prêt de 16.000 Francs pris en 1975 pour la construction de notre première maison et pour lequel nous avions à régler 180 mensualités d’environ 110 Francs, la dernière exigible le 10 mars 1990. Pour un principal d’environ 5.000 Francs, nous arrivons à une dette d’environ 8.000 Francs ! 
Je lis : « Etant vivement relancé par le créancier qui me demande d’effectuer une saisie de vos biens, vous voudrez donc bien prendre contact avec mon étude dans les plus brefs délais, afin de prendre de nouveaux engagements de règlements, les premiers n’ayant pas été respectés par Monsieur BOULIER ». 
J’ai ainsi confirmation que RAOUL m’a menti une fois de plus. Comment puis-je prendre des engagements de règlement, alors que je n’ai pas de revenu convenable ? 
Pourtant, RAOUL m’avait affirmé lorsque je l’avais interrogé sur ce poste, qu’il s’agissait d’un dossier CLASSE. Pourquoi ne pas avoir réglé les 110 Francs tous les mois, somme qui ne nous aurait pas ruinés ? Jamais je n’aurais pu imaginer que RAOUL ne payait pas régulièrement cette modique somme. 
J’appelle aussitôt Maître MARTY qui me confirme que le plan de remboursement du crédit des 1 % patronal à la construction n’avait pas été respecté par Monsieur BOULIER. 
Pour régler ce litige au plus vite, je propose à l’huissier de faire saisir la VOLVO, la bibliothèque en chêne, les deux peintures anciennes miniatures sur ivoire et la vitrine réfrigérante pour régler l’ensemble des créances déposées chez lui.
(pas de suite donnée par l’huissier)
 
J’appelle immédiatement RAOUL pour l’informer de ce que je viens d’apprendre, que les 500 Francs qu’il a versés à Maître MARTY auraient servi à couvrir juste les frais de procédure et que nous devons régler la dette sous huit jours sous quelle que forme que ce soit. Bien que RAOUL considère le dossier une affaire CLASSEE, il s’agit en fait d’un litige.
Etant donné qu’AIPAL se retourne maintenant contre moi, je lui demande des preuves que l’affaire est effectivement réglée
(Annotation : Je n’ai jamais eu de réponse.)
 
J’en profite pour aborder également la dette envers ORGANIC de 1.300 Francs dont je n’étais pas au courant et demande quelles autres dettes il a laissé à la fermeture de la GOURMANDISE et comment il pense les régler. Pour faire un peu de trésorerie, je propose de vendre nos biens qui ont le plus de valeur.   Je le mets en garde de procès à venir si nous ne réglons pas les dettes au plus vite et au mieux. Je demande à RAOUL de me fournir TOUS les courriers du Cabinet de recouvrement PAQUET pour étudier comment régler les créances
A la même occasion, je lui rappelle que j’attends depuis deux mois le dossier UTIM dont j’ai vraiment besoin ; sans le numéro d’immatriculation, je suis bloquée dans mes démarches administratives.
Avant de raccrocher sèchement, RAOUL me promet de me donner prochainement des explications sur le dossier AIPAL et de me rendre le dossier UTIM.
(Annotation : Il ne tiendra pas ses promesses.)
 
Concernant le litige des PRUNELLES, Maître PERNEAUD répond immédiatement à mon courrier dans lequel je lui demandais si elle accepte toujours de me défendre malgré le fait que je suis actuellement en instance de divorce : vu le divorce en cours, elle est dans l’impossibilité de prendre ma défense dans aucun des dossiers dont elle était chargée par Monsieur BOULIER ; je dois prendre un autre avocat et pour cela déposer deux dossiers d’aide juridictionnelle, un pour la Cour d’Appel de Paris, l’autre pour le Juge d’Exécution de Menau, instances dont je ne sais rien. L’avocate me retourne toutes les pièces en sa possession. Je n’ai donc plus à faire à elle.
Cela veut dire qu’elle ne s’occupera pas non plus du litige avec la SNIV. Cela veut aussi dire : courir après des documents pour les demandes d’aide juridictionnelle, faire de nouveaux courriers. J’ai l’impression que je n’en finirai jamais et que je n’avance pas d’un pouce malgré toutes mes démarches.
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29 mars 2007 4 29 /03 /mars /2007 16:43
12 avril
Maître CHARLOT demande que les versements de l’indemnité d’occupation des PRUNELLES soient désormais faits directement à LUI et non à Madame BOULIER comme il l’avait autorisé jusqu’à présent.
 
Je me sens extrêmement nerveuse au travail et j’ai du mal à me concentrer. Je n’arrête pas de me poser des questions au sujet de ma demande de divorce, s’il n’y avait pas eu d’autres solutions, comment j’aurais pu l’éviter, ce que diront les enfants, ce que je deviendrai, de quoi je vivrai, quelle sera la réaction de RAOUL… C’est dur.
 
15 avril
Je trouve dans la boîte aux lettres le dossier des CARTONS DUMARS sans le moindre mot d’accompagnement, dossier auquel je n’avais jamais accès et dont RAOUL se décharge maintenant où le divorce est en cours, alors que je lui avais demandé de continuer à s’en occuper puisque c’est LUI qui avait traité avec ce fournisseur. Je me souviens qu’à l’ouverture du salon de thé, nous avions passé une commande pour une livraison étalée sur deux ans de fournitures pour environ 22.000 Francs au total, payable par fractions à chaque livraison. Courant 1994, nous avions reçu une livraison partielle pour 4.400 Francs ; mais RAOUL n’avait pas réglé la facture, ni répondu aux relances comme j’ai pu apprendre beaucoup plus tard. Maintenant, nous avons un litige sur le dos dont RAOUL veut se décharger sur moi.
Je découvre la Requête du 4 décembre 1995 déposée au Tribunal de Commerce par la société CARTONS DUMARS pour facture impayée de 21.973 Francs.
J’en informe Maître MATOU et lui demande d'intervenir.
(Annotation : L’avocat ne fera rien.)
 
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26 mars 2007 1 26 /03 /mars /2007 16:42
10 avril
Après de très longues réflexions et hésitations, je dépose finalement ma demande de divorce chez Maître MATOU, demande que j’envisageais de faire déjà en 1994 lorsque RAOUL me rendait la vie invivable et me poussait par son comportement dans la dépression nerveuse. Mais mon mauvais état de santé et le comportement des avocats que j’avais consultés, m’avaient découragée d’aller jusqu’au bout. Pourtant j’aurais dû le faire, cela m’aurait évité bien des problèmes, mais j’étais trop affaiblie physiquement et nerveusement pour prendre une décision d’une telle importance et ampleur. 
 
Je demande le divorce pour abus de confiance, mensonges répétés, endettement notoire de la famille, pour ne pas avoir agi en bon père de famille, pour pouvoir guérir de la dépression nerveuse dont Monsieur BOULIER est la cause ».
(Annotation : Je ne me rappelais plus, que le fait d’avoir quitté le domicile conjugal en décembre 1994, est une raison de divorce puisque considéré une faute.)
 
Malgré toutes ces raisons qui justifient ma demande de divorce, en particulier celle de vouloir me protéger contre de nouveaux actes inconsidérés de la part de RAOUL, j’ai des scrupules. Mais je sais que je n’ai pas d’autre choix si je veux me protéger, ce qui est ma raison principale pour passer à l’acte puisque je crains que RAOUL continue à m’endetter à mon insu.
 
C’est un grand pas que je n’ai pas osé franchir, il y a quelques années, faute d’un état de santé suffisant et faute d’argent. Je ne suis pas beaucoup plus riche qu’avant, mais je me crois plus forte et surtout, je ne me cramponne plus à l’espoir, bien qu’il fut bien mince, « que tout s’arrangera ». Je ne cherche plus les fautes en moi, puisque je suis convaincue que je n’ai rien à me reprocher. Pour moi, il n’y a aucun doute : C’est RAOUL qui a détruit la famille, ma santé, mon activité professionnelle, mes biens. Il ne peut me reprocher qu’une seule chose : Avoir refusé de partager le lit avec lui, fait suffisant pour un mari de demander et obtenir le divorce.
Je voudrais bien connaître la réaction de RAOUL lorsqu’il recevra l’avis de demande de divorce, vu que nous n’en avons jamais discuté ensemble.
 
Bien que je me retrouve parent isolé et après bien des hésitations, je ne dépose pas de demande d’allocation : Je gagne 2.500 Francs par mois, je touche l’allocation de logement de 1.400 Francs et j’ai droit à l’aide médicale ; je considère que je n’ai pas besoin de mendier même si je suis extrêmement juste. Et surtout, j’ai peur d’être obligée de rembourser cette aide un jour. Alors, je ne fais rien et essaie de m’en sortir seule comme je le peux. 
 
Je retrouve un petit mot de RAOUL par lequel il me confirme d’avoir enlevé la lettre de Monsieur ZINTKO de ma boîte aux lettres et de lui avoir retourné le chèque pour qu’il l’adresse dès à présent directement à son syndic. Il m’informe qu’il lui aurait précisé de faire de même avec les arriérés et tous les loyers à venir. Ma surprise est grande : Pendant mon absence, RAOUL est donc passé à la maison pour retirer de ma boîte aux lettres un courrier de nos locataires aux PRUNELLES, courrier toujours adressé à MON nom pour une raison que j’ignore. Comme RAOUL n’a pas de clé, il a dû être obligé de retourner la boîte aux lettres qui n’a pas encore été fixée depuis notre déménagement, pour pouvoir attraper la lettre qu’il attendait si impatiemment, le chèque mensuel de 6.500 Francs d’indemnité d’occupation.
D’un coup, RAOUL aurait donc décidé que les loyers devraient revenir à son syndic ; pourtant, ce dernier n’a jamais formulé de demande dans ce sens à ma connaissance, chose que je n’ai d’ailleurs jamais comprise : Depuis le début de la liquidation judiciaire de RAOUL, Maître CHARLOT aurait dû encaisser cette indemnité d’occupation. Mais pour une raison que j’ignore, il ne l’a jamais fait. Jusqu’à présent, RAOUL a été bien content de recevoir presque tous les mois ces 6.500 Francs qui manquaient cruellement au ménage, mais qui auraient dû servir à régler les créanciers. Il ne me restera donc pour EMMA et moi que l’allocation d’aide au logement de 1.400 Francs avec lesquels je dois survivre. Heureusement que j’ai habitué mon corps à se contenter du strict minimum et qu’EMMA mange à la cantine !
(Annotation : En 2004, j’apprends grâce au Jugement du 11 juin 2004 (litige entre les syndics) qu’avec l’accord de Maître CHARLOT, l’indemnité d’occupation était payée d’abord directement à Monsieur BOULIER, et à compter de mai 1996, directement à Maître CHARLOT suite à la demande expresse de ce dernier par lettre d’avril 1996.)
 
RAOUL m’informe dans sa lettre, qu’il a ordonné le 8 avril dernier le retrait de la vente de mes 21 tableaux déposés chez Maître BENBIRA en mars dernier, dès qu’il avait appris par l’hôtel des ventes que j’avais demandé que les chèques soient établis à MON nom comme je l’avais demandé suite à l’incident à la TROC. Il me reproche de vouloir « m’approprier le bénéfice et le « planquer immédiatement ». Il considère ces tableaux NOTRE propriété et non la MIENNE. Une fois de plus, nos points de vue divergent....
 
RAOUL confirme d’avoir pris « des photos de tous nos biens communs et en a fait dresser un inventaire par un huissier pour que ce genre d’incident ne se reproduise plus » et d’avoir « mis en sécurité une porte de la bibliothèque ainsi que la clé et le système d’allumage de la tondeuse afin que ces biens ne soient pas vendus contre mon gré et à ton seul profit ». Il m’enverra une copie en recommandé « pour préserver nos droits communs ». 
Mon soupçon en rentrant du travail ce soir, s’est donc révélé vrai : Ne voyant plus la porte de la bibliothèque, j’ai eu l’impression que RAOUL est entré dans la maison pendant mon absence pour fouiller dans les papiers sur mon bureau, dans les armoires de la chambre et prendre quelques photos dans les albums de famille, emporter les archives professionnelles des ATELIERS D’ART DES PRUNELLES qui étaient entreposés au grenier et que je n’ai plus retrouvées. 
J’informe aussitôt Maître MATOU qui me conseille de faire rédiger le contrat de location de la maison à MON nom et de demander au propriétaire de changer la serrure pour éviter un autre incident de ce genre. 
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