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  • : FUKUSHIMA ATTENTION DANGER
  • : avertissements et conseils à l'Humanité - warnings and advice to Humanity - But du blog : œuvrer pour un monde meilleur en publiant - des messages reçus du Monde Invisible - des articles sur l'environnement et la santé aim of this blog : help to make the world a better place by publishing messages from the Invisible World and articles on environmental and health issues - le témoignage sur les risques et conséquences du régime matrimonial légal
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Recherche éditeur pour la publication et diffusion à l'échelle mondiale du recueil de Messages Divins JESUS EN DIRECT et de FUKUSHIMA.

 

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APPEL URGENT

pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011

URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011


____________________

 

"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."

Albert Einstein


"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,

mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

Albert Einstein

 

"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."

George Orwell

 

"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "

  Henry Miller


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Think again, think seven times again before you leap 
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006

29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 18:41
17 mars
Je reçois le Jugement du 10 mars 1998 dans l’affaire POMAL et suis stupéfaite d’apprendre qu’une audience a eu lieu et que Maître MATOU a été chargé de ma défense par Maître TOUR ; pourtant, je n’ai pas reçu de Convocation. Je ne comprends plus rien : Maître MATOU m’avait rendu le dossier l’année dernière, en précisant qu’il classait l’affaire, et maintenant, il m’aurait défendue sur demande de Maître TOUR ?  Je ne connais pas ses Conclusions.  Je me demande si l’avocat a le droit de déposer des Conclusions pour moi sans me les avoir remises auparavant.  J’ai le soupçon qu’une nouvelle fois, j’ai été malmenée par toutes les parties.

Le Jugement dit en résumé :
« CONSTATE ladite créance (35.041 Francs) à l’encontre de Madame KATY NESTOR placée en liquidation judiciaire postérieurement à la naissance de cette créance ;
« CONDAMNE Monsieur RAOUL BOULIER au paiement de cette somme.
« CONDAMNE solidairement Madame NESTOR et Monsieur BOULIER à payer à Madame POMAL la somme de 5.000 Francs …. »

Une fois de plus, je suis traitée en coupable, alors que tous les problèmes ont été causés par le comportement irresponsable et insaisissable de RAOUL.  J’en ai assez que mon nom soit souillé par des procédures pour lesquelles je ne suis pour rien dans la pratique, mais pour lesquelles on me tient responsable par la Loi puisque l’affaire commerciale était inscrite à mon nom de jeune fille.  

Je suis outragée de me trouver devant un fait accompli et me plains auprès de Maître TOUR de ne pas m’avoir tenu informée de l’audience du 10 mars 1998 et de ne pas m’avoir donné la possibilité de me défendre.  
(pas de réponse)

Comme je relève de nombreuses irrégularités de procédure dont aucune des parties n’a tenu compte, ni de mes remarques,  je m’empresse de rédiger mes commentaires pour Maître CORNIAUD à qui je demande de se charger de l’affaire.
(Annotation : A ce moment-là, je ne me souvenais plus, que j’étais dessaisie de tout pouvoir en justice en raison de la liquidation judiciaire.  Je ne me souvenais plus non plus, que la Loi sur les liquidations judiciaires interrompt toute procédure individuelle engagée ; Monsieur BOULIER n’aurait jamais dû être condamné puisqu’il était toujours en liquidation judiciaire.  Maître CORNIAUD m’a laissée dans une attente permanente sans rien faire.)

Je sens qu’une nouvelle fois, l’affaire va mal tourner, que je n’arriverai pas à me faire défendre.

23 mars
Après plusieurs relances, la TACO m’envoie enfin une copie de ses courriers du 30 septembre et 7 novembre 1994, courriers qu’elle m’avait adressés à l’époque, à MON nom en recommandé pour me prévenir de mon interdiction bancaire.  
RAOUL est vraiment un lâche : Non seulement il est responsable de mon interdiction bancaire, mais en plus, il n’a même pas eu le courage de me remettre le courrier !

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25 janvier 2008 5 25 /01 /janvier /2008 18:39
9 mars
Malgré un feu continu, nous arrivons à peine 15° Celsius dans la maison ; je pense que le bois qu’on nous a livré, est vert ou mouillé.  Je suis donc bien contente pouvoir continuer d’aller au GRETA pour m’entraîner sur ordinateur ; ainsi, je ne souffre pas trop du froid à la maison.  EMMA peut se réchauffer à l’école.  
Au GRETA, à midi, je me sens toujours un peu gênée de réchauffer mon plat apporté au four à micro-ondes sous les yeux curieux des élèves.  Personne ne fait ça, tout le monde achète son déjeuner à la cantine, sauf moi !  Mais avec 14 Francs par jour par personne, je ne peux pas m’offrir un seul repas à 24 Francs.  J’ai dû apprendre à préparer des plats à 5 Francs.  Bien qu’il m’arrive parfois d’avoir envie de manger un peu de viande ou de poisson, j’ai appris par la force des choses à m’en passer.  Et lorsque je nous offre exceptionnellement un bon poulet fermier pour faire plaisir à EMMA qui adore manger la crête et la cervelle et grignoter le cou et la carcasse, nous mangeons pendant plusieurs jours du riz au gruyère ou au beurre pour nous rattraper.  Heureusement EMMA l’adore !  Je suis sûre que RAOUL ne se doute pas dans quelles conditions nous vivons.
    
Maître TOUR m’informe suite à ma demande du 26 janvier dernier, qu’il n’a pas de nouvelles concernant la procédure pénale engagée contre Monsieur BOULIER et qu’il ne détient pas la comptabilité, mais il ne me dit pas ce qu’il compte faire pour se la procurer.  Je me demande ce qu’il attend.  Comment peut-il vérifier la situation financière à la fermeture de la GOURMANDISE sans les documents comptables ? A-t-il oublié que l’Ordonnance de décembre 1996 rendue par le Tribunal de Commerce prévoit des sanctions pénales contre toute personne qui fait disparaître la comptabilité et les actifs ?  

13 mars
La maison BENBIRA m’informe que le dossier des tapis est CLOS,  mais ajoute : « Bien sûr, si nous retrouvons, par hasard, dans nos stocks, un tapis correspondant à celui que nous vous avons remboursé, nous ne manquerons pas de vous avertir afin que vous puissiez le récupérer ».  
Une nouvelle fois, je me sens perdante dans cette bagarre inutile, où le malfaiteur a gagné.  Que pouvais-je faire de plus que de proposer de rendre le montant qui m’a été versé pour un tapis qui n’était pas le mien à condition que MON tapis, le Kilim, soit retrouvé ?  
(Annotation : Le tapis manquant n’a jamais été retrouvé.  Maître CORNIAUD n’est jamais intervenu.)

14 mars
Je suis exaspérée : EMMA a reçu une carte postale de la part de son père qui passe plusieurs jours avec GREG à la Mer Rouge pour faire de la plongée sous-marine.  Il lui promet que lorsqu’elle aura douze ans, il l’emmènerait aussi faire de la plongée.  Alors que moi, j’essaie de survivre avec EMMA, ces messieurs s’amusent et mènent la grande vie à l’étranger !  RAOUL ferait mieux payer ses dettes et trouver des solutions aux problèmes qu’il a créés !  
Il me revient que lorsque les conditions d’un parent s’améliorent, il est possible de revoir le versement d’une pension alimentaire ou son augmentation.  Il serait grand temps de signaler à Maître CORNIAUD l’amélioration du train de vie de Monsieur BOULIER en Égypte, tandis que sa fille doit subir les conséquences d’un ménage sans revenu.  
Je demande en même temps à l’avocat des nouvelles au sujet de l’appel au Jugement de Divorce, Jugement dont je voudrais enfin me débarrasser et surtout d’obtenir un meilleur Jugement dans l’intérêt d’EMMA.  Il est tout à fait inadmissible pour moi qu’un mari sans scrupules ait le droit d’escroquer sa femme, de lui nuire, de la priver de tout moyen d’existence et de vingt années de travail et de ne pas verser une pension alimentaire pour son enfant qui vit dans des conditions précaires, malgré le fait qu’il ait un bon travail, sans être poursuivi.
(Annotation : pas de réponse par écrit, seulement oralement lors de l’entrevue le 4 mai)

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21 janvier 2008 1 21 /01 /janvier /2008 18:48
31 janvier
La banque ROYAL SAGE m’envoie enfin, suite à ma demande du 23 janvier, le contrat concernant le prêt de 700.000 Francs signé en septembre 1991.  Effectivement, ma signature y figure.  Je n’en reviens pas.  Jamais je n’ai eu sciemment connaissance d’un prêt de 700.000 Francs pour les PRUNELLES sur un an au taux exorbitant de 15,48 %.  Je n’en dors plus.  Je suis d’une nervosité extrême au point que j’en ai des douleurs au coeur.   Je me sens retournée et toujours près des pleurs.  Comment me sortir de cette situation ?  Ma signature y figure, c’est tout ce qui compte pour la justice.  Il me sera impossible d’essayer de prouver que je n’ai pas pris sciemment un crédit de ce montant-là.  A l’époque, j’avais signé en toute confiance puisque RAOUL m’avait dit : « J’ai tout lu. Tout est en ordre.  C’est un document standard.  Tu peux signer tranquillement. »  Jamais je n’aurais pu m’imaginer quelles conséquences ma signature allait avoir !

Je constate que ma vie n’a plus de sens, que l’objectif de ma vie n’existe plus : Nous construire un chez-nous, un vrai, avec maison, jardin, atelier, animaux.  Un chez-nous qui servirait de réserve pour notre retraite et d’héritage pour les enfants qui n’auraient ainsi aucun problème financier.  Vingt ans de travail gâchés !  Je sens que je suis condamnée à la pauvreté à vie grâce au régime de la communauté réduite aux acquêts dont je ne connaissais ni le sens, ni l’importance.  Jamais je n’aurais dû me marier.  Mon père avait raison à l’époque lorsqu’il essayait en vain de me convaincre de ne pas me marier si vite.  Si seulement je l’avais écouté !  

Le mieux c’est de transmettre à Maître CORNIAUD la copie du contrat de prêt du 11 septembre 1991 de la ROYAL SAGE et de l’accompagner de mes commentaires.  Je fais remarquer que Monsieur BOULIER ment à plusieurs reprises dans ce contrat :
Le texte dit : « Il n’a fait l’objet d’aucune condamnation…liquidation des biens, redressement judiciaire ; il n’est pas susceptible d’être déclaré en état de cessation de paiement » .
Comme j’ai pu reconstituer, Monsieur BOULIER était déjà en retard depuis plusieurs années dans ses cotisations sociales au moment de la signature du contrat, dans le rouge à la banque et avait des crédits non soldés sur le dos.  Son redressement judiciaire était IMMINENT.   En 1991, Monsieur BOULIER avait été assigné par ORGANIC pour non-paiement de ses cotisations sociales et avait été considéré insolvable.  Le 11 mai 1992, Monsieur BOULIER avait été mis en redressement judiciaire.  Il était donc SUSCEPTIBLE d’être en cessation de paiement lors de la signature du contrat de crédit.  C’est le premier mensonge.

Le texte dit : « Les échéances seront prélevées sur le compte bancaire de l’emprunteur qui s’engage à constituer à ce compte une provision suffisante à compter de l’exigibilité de la somme jusqu’à son règlement définitif ».
Cela n’a jamais été le cas, tous les comptes de Monsieur BOULIER étaient chroniquement en découvert.  C’est le deuxième mensonge.
Concernant l’assurance, le texte dit : « Il déclare que le bien grevé est assuré contre les risques de l’incendie ».
Or, Monsieur BOULIER n’a pas assuré la propriété et a même refusé malgré des relances par la compagnie d’assurance, de rattraper le retard dans les cotisations.  C’est le troisième mensonge.
Monsieur BOULIER avait donc menti à la banque à trois reprises.
Le texte dit : « Lecture des présentes aux parties a été donnée et leurs signatures recueillies par le notaire associé soussigné qui a également signé ».
Jamais je n’ai eu la possibilité de lire le contrat ni avant ni après sa signature, Monsieur BOULIER ayant simplement relevé les coins des pages pour que je signe.  
J’exprime à Maître CORNIAUD ma surprise de ne trouver aucun paragraphe qui mentionne d’éventuelles pénalités, pénalités qui figurent pourtant dans le décompte de la banque et qui représentent un poste important.  Je demande à l’avocat de le vérifier et de me dire ce que je peux faire vu les fausses déclarations et mensonges de Monsieur BOULIER.
(pas de réponse, pas de suite)

En reprenant mes dossiers à problèmes, je constate que jusqu’à présent, je n’ai pas pu obtenir grand-chose comme réponses à mes innombrables questions.  Je me demande comment tout va continuer…

Je m’aperçois d’une bêtise : J’avais envoyé par erreur au Tribunal de Commerce l’original de l’attestation des PTT par laquelle la Poste me confirmait sa faute d’avoir remis à Monsieur BOULIER toutes les lettres recommandées adressées à MON nom malgré le fait qu’il n’avait pas procuration pour les réceptionner.  Je demande immédiatement au Tribunal de Commerce de me retourner au plus vite l’original.
(pas de réponse)
(Annotation : Je ne récupérerai jamais l’original.)

Ce sont toujours les mêmes questions qui se bousculent dans ma tête, la plupart des problèmes d’argent, sans que je trouve une réponse.  Peut-être RAOUL serait-il enfin disposé à m’aider à mieux comprendre le passé ?  Je vais tenter ma chance et lui écrire une nouvelle fois dans l’espoir qu’il sera compréhensif vis-à-vis de mon désarroi mental.  
(pas de réponse)


J’espère que l’avocat de RAOUL lui transmettra mon courrier.  Au fond de moi je ne compte pas sur une réponse puisque tous mes courriers sont restés sans suite depuis novembre 1997.  RAOUL doit bien avoir des raisons pour se taire.  Créer des problèmes à toute la famille, mentir à sa femme et ensuite, refuser tout renseignement, quel comportement de lâche !  

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17 janvier 2008 4 17 /01 /janvier /2008 18:35
21 janvier
Le CIDFF à qui j’ai exposé tous mes problèmes, ne peut pas m’aider ; seul un avocat pourra me conseiller et agir.  La juriste n’a pas connaissance d’une association pour personnes abusées par leur conjoint.  D’après elle, le problème des dettes ne sera évoqué qu’après l’appel au Jugement de Divorce, dans le cadre du partage des biens ; il en serait de même pour la pension alimentaire pour EMMA, chose que je trouve aberrante.  Dois-je attendre jusqu’au partage des biens qui aura lieu, je ne sais quand, pour toucher une pension alimentaire pour EMMA, alors que le père travaille ?   Je suis sidérée d’apprendre que c’est à MOI de prouver que le père a un travail.  Comme il séjourne à l’étranger, cela me paraît difficile ; je ne connais ni son adresse en Egypte ni le nom de son employeur.  Pourtant, le père a l’obligation de communiquer son adresse dans les deux mois qui suivent un changement d’adresse ; la non-communication d’adresse est sévèrement sanctionnée.  Mais RAOUL ne la respecte pas ; il fait comme il a toujours fait : à sa tête.
Je sors exaspérée des bureaux.  Je me sens terriblement seule ; j’ai l’impression que personne ne peut ou ne veut m’aider et que la victime est la plus mal lotie dans toute cette affaire.  La victime, c’est moi.

23 janvier
Insatisfaite des informations obtenues au CIDFF, je demande à Maître CORNIAUD d’interroger Monsieur BOULIER sur les deux millions de Francs de dettes dans le cadre de l’appel au Jugement de Divorce.  Comme j’étais mariée sous le régime de la communauté réduite aux acquêts, la justice me tient maintenant responsable des actes commis à mon insu par mon mari malhonnête, qui me refuse toute réponse.  Je considère que j’ai au moins le droit d’être informée sur l’utilisation d’une somme aussi astronomique.
(pas de réponse)

Comment RAOUL a-t-il pu arriver à avoir des problèmes financiers avec un chiffre d’affaires cumulé de 1,5 millions de Francs de 1990 à 1993, chiffre d’affaires en chute libre ?  Qu’a-t-il fait de cet argent ?  Lorsque parfois, je m’étonnais que nous n’ayons pas de réserve malgré tout le travail que nous sortions, RAOUL aimait me répondre : « Je ne mets pas d’argent dans ma poche ».  Vu que j’ai travaillé autant que lui pour le gagner, je voudrais obtenir des explications, mais RAOUL me les refuse obstinément.  A ce jour, j’ai été dans l’impossibilité d’apprendre ce qui avait conduit à la liquidation judiciaire de RAOUL.  Ni son syndic, ni les avocats ne m’ont répondu à mes demandes d’être renseignée.  Comment faire ?

25 janvier
Après un feu de cheminée pris à temps grâce à l’alarme donnée par EMMA, je condamne les chambres au premier étage et nous campons en bas au salon.  EMMA trouve cette solution très rigolo.   Je n’y trouve rien de drôle espérant que je n’aurai rien à payer à part un nouveau ramonage et une facture EDF plus élevée que d’habitude.  Je me passerai bien de ce problème supplémentaire, j’en ai déjà assez comme ça !
Je ne vois pas d’autre solution que de nous installer le matin à la Mairie pour avoir un peu plus chaud.  Dans l’après-midi, ça va mieux : Le soleil chauffe la véranda qui devient ainsi la pièce la plus chaude de toute la maison.  
(Annotation : Nous serons sans insert pendant plusieurs semaines.)  

26 janvier

Comme je n’ai pas de nouvelles de ma plainte déposée contre Monsieur BOULIER pour détournement d’actifs et usage de faux, je demande Maître TOUR à quel stade se trouve la procédure pénale engagée par lui et s’il a pu se procurer la comptabilité.  
Je me plains du refus d’information de sa part depuis maintenant deux ans et de l’absence de réponse à mes courriers.  J’en profite pour réclamer une nouvelle fois au syndic l’état financier de la GOURMANDISE.  Je trouve inadmissible la manière dont je suis traitée par toutes les parties concernées qui gardent un silence quasi absolu.  
(réponse le 9 mars)    

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13 janvier 2008 7 13 /01 /janvier /2008 18:22
15 janvier
Maître CORNIAUD me fait parvenir des documents de la ROYAL SAGE démontrant que le décompte contesté par RAOUL, est correct, qu’il s’agit d’un prêt de 700.000 Francs consenti le 11 septembre 1991, qui aurait servi à rembourser le solde de notre crédit habitation de 350.000 Francs, la SNIV, un prêt personnel et divers prêts, hypothéqué chez le cabinet notarial  JAMBON-DOPIA à Couliers.  
Jamais de ma vie je n’avais consenti sciemment à un prêt de 700.000 Francs à des mensualités de 9.300 Francs au taux effectif global exorbitant de 15,45 % !  Je me souviens vaguement, que RAOUL m’avait expliqué que le prêt servirait à rembourser le solde du crédit des PRUNELLES et à financer une nouvelle maison dans le sud de la France, en prêt relais le temps que la vente des PRUNELLES se fasse.  Je l’ai cru, j’ai signé, sans y comprendre grand-chose.  Bien que les explications de RAOUL me paraissaient confuses, j’avais signé sous sa pression.  
Je suis sidérée d’apprendre que RAOUL ne payait pas les mensualités du crédit à partir de novembre 1991, alors que nous avions signé en septembre !  RAOUL savait donc parfaitement à la signature du contrat, qu’il serait dans l’impossibilité de faire face aux mensualités.  Il a donc menti à la banque.  N’aurait-il jamais remboursé ce crédit ?  Or, en 1991, le chiffre d’affaires s’éleva à plus de 500.000 Francs.  Où est parti l’argent ?  Je n’en ai aucune idée.  Qui me renseignera puisque RAOUL ne le fera jamais ?  Pour essayer de comprendre, je vais demander une copie du contrat de prêt immobilier à la ROYAL SAGE.   

Lorsque RAOUL voulait soudainement vendre les PRUNELLES en 1991, je lui avais demandé à plusieurs reprises s’il avait des problèmes d’argent, mais il soutenait à chaque fois « qu’il n’avait pas de problèmes financiers ».  Il prétendait des problèmes de santé qui demandaient le déménagement dans « une région plus sèche ».  
Il m’avait expliqué que notre propriété était évaluée à 2,2 millions de Francs et qu’il souhaitait s’installer dans une région moins chère pour pouvoir acheter une nouvelle maison avec la moitié de la recette et mettre l’autre moitié de côté.   Il me faisait visiter de belles propriétés dans la Drôme et en Dordogne, propriétés qui valaient aux alentours de 1,5 millions de Francs, allant même jusqu’à s’engager sur une dans la Drôme, dont il avait dû annuler par la suite la promesse d’achat.  Malgré ses problèmes financiers, RAOUL avait signé un contrat d’achat de 750.000 Francs pour une maison à Sourlac en 1991, puis un autre de 800.000 Francs en 1993 pour une maison à Elieux, contrats qu’il n’a pas pu honorer ; nous y avions perdu 40.000 Francs de caution chez le notaire en 1993.  Or, il savait qu’il ne serait pas en mesure de financer un tel achat.  

Il m’avait parlé d’un remboursement du crédit pour les PRUNELLES et de frais pour une nouvelle hypothèque « pour faciliter l’achat d’une nouvelle maison et éviter des frais », de transfert de prêt, de mensualités de 4.300 Francs sur quinze ans pour un crédit de 350.000 Francs et de prêt relais.  Je me souviens encore que j’étais très étonnée à l’époque que le montant de notre crédit souscrit en 1986 pour les PRUNELLES, n’avait pas baissé, mais RAOUL m’avait expliqué : « Jusqu’à présent, nous n’avons payé que les intérêts, mais pas encore amorti le capital ».  Je me souviens très bien ne pas avoir été contente de repartir pour le même montant de prêt qu’en 1986, sur quinze ans.  Je souhaitais que la maison soit entièrement réglée pour les dix-huit ans du fils, pour ensuite pouvoir faire face à ses frais d’études.  Mais il me faisait croire que le crédit pouvait être soldé à tout moment.  Je sais maintenant, que RAOUL m’avait menti sur la nécessité du crédit à l’époque.
Je dois interroger RAOUL sur l’utilisation du prêt des 700.000 Francs et lui demander, pour quelle raison il n’a jamais remboursé ce prêt, qui en fait n’était qu’un prêt relais.  Je voudrais également obtenir tous les documents relatifs au procès en cours.  Aura-t-il la correction de répondre à ma demande ?
(pas de réponse)

Concernant le décompte de la ROYAL SAGE, j’ignore absolument tout.  L’année dernière, RAOUL soutenait que les 1,5 millions de Francs que la banque réclamait, n’avaient « aucun sens et n’étaient pas dus ».  Au contraire, il se réjouissait de ne plus rien devoir à la ROYAL SAGE qui lui aurait « réclamé des postes à tort ».  « Nous n’avons plus rien à payer pour les PRUNELLES » me disait-il.

Je dois absolument demander à Maître CORNIAUD de vérifier la créance déposée par la banque et je veux savoir s’il est vrai que Monsieur BOULIER n’aurait plus rien à rembourser en raison de sa liquidation judiciaire qui arrêterait toute procédure engagée, comme il le prétend.  Pourtant, sa liquidation judiciaire n’a été prononcée qu’en juin 1993, mais déjà en novembre 1991, il ne payait plus les mensualités du prêt-relais.  J’ai du mal à comprendre.  
Je voudrais qu’il se procure également le Jugement à partir duquel les intérêts de retard sont calculés, Jugement dont je ne sais rien et qu’il fasse la lumière sur tous les points obscurs pour me permettre de comprendre ce qui s’est passé et de faire le nécessaire - si cela est possible légalement - pour que RAOUL soit traduit en justice pour m’avoir dupée et abusé de ma confiance.  J’avais demandé le divorce, entre autres, pour me protéger de nouveaux actes irresponsables de mon mari.
(Annotation : L’avocat ne donnera aucune suite à mes questions et demandes.  J’ignorais que le mensonge entre époux n’est pas réprimandé par la Loi.)
(pas de réponse)

Ce soir à la gym, j’ai beaucoup de mal à me retenir pour ne pas pleurer.  Je me sens complètement exténuée.  Vis-à-vis d’EMMA, je dois faire d’énormes efforts pour rester composée.  Quelle dure épreuve !  Une fois à la maison et EMMA au lit, je craque et je me laisse aller.  Je n’ai qu’une envie : en finir avec tout cela une fois pour toutes, de manière radicale, seule solution que je vois pour être en paix.  L’idée que mon époux m’ait couverte de dettes à mon insu, m’est insupportable, ne quitte plus ma tête, occupe constamment tout mon esprit.  Mais il y a EMMA.  Si je n’avais pas la lourde charge de l’élever, j’aurais déjà fait le pas fatal.  Mais je n’ai pas le droit de faire ça à EMMA.  Je dois dire à mes enfants ce qui m’est arrivé pour qu’ils me comprennent un jour.  J’espère que GREG me croira, ce qui n’est pas le cas actuellement.  Je n’ai pas de ses nouvelles depuis avant Noël ; je ne sais pas ce qu’il fait, je ne sais pas où il est.  Je dois absolument tenir mon Journal pour mes enfants.  

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9 janvier 2008 3 09 /01 /janvier /2008 18:09
8 janvier
Pour gagner du temps et être sûre que mon courrier arrive sans problèmes, je dépose tous les documents concernant FRANCFINE et la Signification du Jugement de Divorce directement dans la boîte aux lettres de Maître CORNIAUD et une nouvelle relance au cabinet de Maître GUY à qui j’avais demandé de me faire des copies des courriers interceptés par Monsieur BOULIER.  J’espère que Maître CORNIAUD tiendra parole cette fois-ci et s’occupera effectivement de tous les dossiers que je lui ai confiés. Le plus insupportable pour moi actuellement, c’est le silence général aussi bien du syndic que des avocats, et surtout le silence que garde RAOUL à qui j’ai demandé maintes fois des explications que je n’obtiens toujours pas.  
Dans ma lettre à Maître GUY je fais remarquer à l’avocat que je ne l’ai jamais rencontré, que je ne l’ai jamais chargé de ma défense, que je n’étais pas au courant qu’une procédure était en cours contre moi et que je ne possède aucun document concernant l’affaire FRANCFINE.  Je lui demande de me donner toute information utile sur ce dossier.
(Annotation : Maître GUY ne répondra jamais à toutes mes questions.)  
    
Si seulement je voyais déjà clair dans tous les problèmes et pouvais passer à la télévision pour démontrer l’abus du régime de la communauté réduite aux acquêts qui permet à la Justice de tenir responsable le conjoint victime de l’abus de confiance de son époux pour des actes commis à son insu, sans son consentement, sans qu’il ait la possibilité de se défendre contre cette absurdité de la Justice, de lancer un grand avertissement à un public innocent, et de dénoncer la non-application de la Loi dans ce l’on appelle un état de droit.  Si seulement je pouvais mettre en garde toutes les personnes qui risquent de se retrouver dans une situation semblable avant qu’il ne soit trop tard !  Si seulement on me donnait cette chance-là !  

Je souhaite tellement de trouver l’énergie nécessaire pour écrire mon Journal, pour pouvoir démontrer ce qui peut arriver à une personne intègre sans qu’elle s’en aperçoive parce qu’il lui manque l’esprit suffisamment tordu pour s’imaginer l’inimaginable, et démontrer toutes les conséquences de tels actes inconsidérés commis par l’être de confiance ainsi que les atroces souffrances physiques et morales qui en résultent, souffrances qui vous épuisent toutes vos ressources nerveuses, qui vous vident et qui vous empêchent de mener une vie normale pour le reste de vos jours.  Une personne qui n’a pas vécu une telle situation ne peut pas comprendre.  C’est pour cela que je dois décrire ce que j’ai vécu dans tous les détails, pour que l’inimaginable puisse devenir réalité vivante.

14 janvier
Maître CORNIAUD informe in extremis FRANCFINE de ma mise en liquidation judiciaire pour arrêter toute poursuite personnelle puisque dès demain, le dossier devrait en principe être remis à un huissier pour exécution.

Dans l’affaire POMAL, je reçois l’Ordonnance de relevé du délai de forclusion.  La cliente peut ainsi faire valoir sa créance bien que le délai légal de dépôt soit largement dépassé.   Je ne comprends pas comment elle ait pu l’obtenir, d’autant plus que d’après les Conclusions de Maître SACO du 21 novembre 1995, elle avait déjà été réglée entièrement par voie d’huissier en 1995.  Je me demande si les dossiers sont effectivement lus.  Dégoûtée, je classe le document.  

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5 janvier 2008 6 05 /01 /janvier /2008 17:28
7 janvier
Je vais à mon rendez-vous avec Maître CORNIAUD.  Je lui explique que je n’ai jamais vu de documents au sujet de FRANCFINE et que je n’ai jamais signé de contrat de crédit, ni reçu de Convocation du Tribunal.
(Annotation : A ce moment-là, je ne me rappelais plus d’avoir réceptionné moi-même le 28 décembre 1994 la Signification de Jugement du 14 octobre 1994 et du 12 décembre 1994, sans rien y comprendre, documents que RAOUL m’avait immédiatement pris « pour s’en occuper », documents que je n’ai jamais revus et dont je n’ai jamais entendu parler.)
D’après l’avocat, vu ma liquidation judiciaire, FRANCFINE ne peut plus faire valoir son droit et faire appliquer son titre exécutoire qu’elle détient contre moi.  Je fais remarquer qu’il faudra quand même payer cette dette de 70.000 Francs et qu’il suffisait de saisir le salaire de Monsieur BOULIER.  
« Mais Monsieur BOULIER ne peut pas être saisi puisque le titre exécutoire est à VOTRE nom Madame » m’explique l’avocat.  
Mais j’ai été jugée sur de fausses bases, jamais je n’ai signé de contrat de crédit !  Personne ne semble comprendre cela.  Je suis exaspérée.  Entre-temps, RAOUL a vendu la VOLVO et est parti avec l’argent à l’étranger, et moi, j’ai été condamnée à payer pour un acte que je n’ai pas commis !  Je suis révoltée, je craque.  Le fait que le Jugement à mon nom ne puisse plus être exécuté, ne me console même pas.  Cette histoire est trop dégoûtante !

Je rappelle une nouvelle fois à Maître CORNIAUD de faire absolument appel au Jugement de Divorce qui m’a été signifié avant-hier.  Je lui promets d’apporter la Signification et mon dossier de demande d’aide juridictionnelle demain ; mon courrier est prêt, j’ai simplement oublié de le prendre aujourd’hui.  

En rentrant, je trouve une lettre de FRANCFINE qui m’envoie une copie des Jugements d’octobre 1994 à MON nom et la Signification du 28 décembre 1994, une copie de leur lettre du 10 novembre 1993 également à MON nom, documents qui ne me disent rien. D’après la Signification, c’était moi en personne qui aurait réceptionné la Signification le 28 décembre 1994.  Je ne m’en souviens plus.  A l’époque, les antidépresseurs ont dû me jouer un tour.  Je me souviens vaguement, qu’en 1994, à Elieux, j’avais demandé des renseignements à RAOUL concernant FRANCFINE puisque je n’arrivais pas à trouver un rapport quelconque entre ce nom et nous.   RAOUL s’était alors empressé de me retirer les documents en me promettant de s’en « occuper ».  Peut-être s’agissait-il du Jugement à mon nom ?

J’apprends, qu’à l’époque, j’étais défendue par Maître GUY, nom que je ne connais pas.  Je n’ai jamais rencontré cette personne, je ne lui ai jamais remis de documents, je ne lui ai jamais rien demandé.  Je pense que c’était RAOUL qui l’avait chargé  de cette affaire à mon insu.
Dans sa lettre du 10 novembre 1993, FRANCFINE m’avait informée que Monsieur BOULIER était en liquidation judiciaire, que j’étais co-empruntrice et que j’étais mise en demeure de régler sa somme de 72.300 Francs sous huitaine, sinon ils auraient recours au recouvrement par voie de justice.  Cette lettre recommandée avait été réceptionnée par, je ne sais qui, je ne reconnais pas la signature, mais en tout cas, pas par moi.  A l’époque, nous habitions à Elieux, mais la lettre avait été envoyée à l’adresse de Sourlac.  Qui aurait pu réceptionner cette lettre recommandée à MON nom le 18 novembre 1993 ?  Si seulement je l’avais vue en 1993 !   J’aurais été au courant de beaucoup de problèmes plus tôt !
Dans le décompte joint, je découvre que RAOUL avait cessé de payer les quarante-huit mensualités de 2.310 Francs à partir de mai 1992 ; vingt-six mensualités sont encore dues.  

Je téléphone immédiatement à FRANCFINE pour réclamer une copie du contrat de crédit, puisqu’en fait, il s’agit bel et bien d’une affaire de crédit non soldé.   FRANCFINE refuse de me l’envoyer ; pour la société, seuls le Jugement et la Signification comptent, non les faits.  J’insiste en leur expliquant que je n’ai JAMAIS signé de contrat de crédit, qu’il ne peut pas s’agir de MA signature.  La dame au téléphone me conseille de porter plainte pour faux, mais sans me donner la possibilité de vérifier ma signature qui apparemment figure sur le contrat de crédit.  Je pique une crise de nerfs au téléphone en lui reprochant qu’elle ne pouvait quand même pas me refuser une copie du contrat !  
Tout en pleurs, je vais à la Mairie pour faire des photocopies.  La secrétaire me demande ce qui m’arrive.  
« Je pourrais tuer tout le monde ! » je lui réponds spontanément.
La journée est gâchée,  je n’arrive plus à me calmer.  Je téléphone à la maman de la meilleure copine d’EMMA, qui a la gentillesse de venir parler avec moi.  Je suis incapable d’arrêter de pleurer.  Parler me soulage, mais ne change rien.  Je passe toute la journée à pleurer.  Je me couche en pleurant,  je me réveille en pleurant.  Je suis épuisée, lasse, bonne à rien.  J’ai été condamnée sans savoir qu’un procès était en cours contre moi !  Et j’ai été condamnée à torts !  Que cela puisse être possible !  Pourquoi l’avocat ne m’avait-il pas convoquée ?  Comment RAOUL avait-il pu oser me cacher tous ces documents officiels à MON nom ?  Comment avait-il pu me cacher la vérité ?  Pourquoi m’avait-il menti ?  A toutes ces questions je n’ai pas de réponse.  Je suis complètement à bout de nerfs.
Avec le peu de forces qui me restent, je rédige aussitôt mes commentaires pour Maître CORNIAUD.  Je précise que le dossier a été transmis à l’huissier pour exécution, que FRANCFINE m’a conseillé de porter plainte pour faux, que j’étais sûre et certaine que la signature sur le contrat de crédit n’est pas la mienne.  Je demande à l’avocat comment je peux me procurer les courriers manquants interceptés par Monsieur BOULIER.
(suite donnée le 14 janvier)

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1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 17:32
6 janvier
Concernant ma plainte contre Monsieur BOULIER, déposée en mai 1997 pour détournement de fonds et d’actifs et usage de faux sur conseil de la Police Judiciaire et du Tribunal de Commerce, je signale à Maître CORNIAUD que je n’ai toujours pas de nouvelles.  Comme je ne sais pas si elle a été reçue ou pas, je demande ce que je dois faire pour être renseignée et pour que Monsieur BOULIER soit poursuivi en justice.    
(pas de réponse)

Je demande une nouvelle fois à Maître CORNIAUD de se procurer le produit de la vente des objets professionnels et privés saisis que je ne connais toujours pas, le total de ma part aux loyers provenant des PRUNELLES, que Maître CHARLOT devrait verser à Maître TOUR, et le montant des dettes restantes de la GOURMANDISE au 31 décembre 1997.  J’estime les dettes propres à la GOURMANDISE à environ 80.000 Francs plus 18.000 F d’honoraires pour Maître TOUR, frais dont Maître MATOU ne m’avait jamais parlé lorsqu’il me conseillait de demander ma mise en liquidation judiciaire.
Ma part aux loyers provenant des PRUNELLES devrait s’élever à 39.000 Francs par an.  Je fais un calcul rapide qui démontre qu’en deux ans et demi, les dettes propres à la GOURMANDISE pourraient être réglées en totalité.  Comme Maître TOUR avait demandé ma part aux loyers début 1997,  tout pourrait être réglé d’ici mi-1999.  Je signale à l’avocat que dès la demande de divorce en avril 1996, Monsieur BOULIER avait demandé aux occupants de régler les loyers directement à son syndic.  Je demande de faire le point avec Maître TOUR et de me renseigner sur la situation financière de la GOURMANDISE pour laquelle on me tient responsable.  Je voudrais savoir si je peux me mettre à mon compte dès la clôture de la liquidation judiciaire où si je dépends également de la liquidation judiciaire de Monsieur BOULIER.
(Annotation : Je crois toujours qu’une liquidation judiciaire interdit de se remettre à son compte.)
(pas de réponse)

Je me fais du souci pour les PRUNELLES : Je ne sais toujours pas si la propriété est enfin assurée.  D’après moi, elle ne l’est plus depuis environ un an.  Comme RAOUL ne m’a pas répondu, je demande à l’avocat comment je peux obtenir l’information et le justificatif de Monsieur BOULIER, dont je trouve le comportement irresponsable, surtout vu le montant des dettes qui doivent être remboursées avec le produit de vente de la propriété.  J’attends de Maître CORNIAUD une réponse à ce sujet depuis août 1997.  J’avais informé Maître CHARLOT du problème, mais ma lettre est aussi restée sans réponse, comme beaucoup d’autres.  Je voudrais enfin savoir ce que je dois faire.
(pas de réponse, pas de suite)
    
Concernant la vente aux enchères qui menace les PRUNELLES, je voudrais que Maître CORNIAUD s’y oppose après avoir vérifié la dette principale de 1,5 Millions de Francs concernant la ROYAL SAGE.  Je rappelle que la propriété  rapporte 6.500 Francs de loyer par mois et demande d’intervenir pour arrêter la procédure d’expulsion des occupants qui semble être en cours suite au titre exécutoire rendu par la Cour d’Appel de Paris en 1997 ; je préfère qu’ils restent aux PRUNELLES pour que la propriété soit entretenue.
(sans suite, sans réponse)

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28 décembre 2007 5 28 /12 /décembre /2007 17:31

5 janvier
Dans l’espoir d’obtenir quelques éclaircissements, je téléphone à FRANCFINE.  On me confirme qu’il s’agit bien de la VOLVO et qu’il existe un contrat de crédit de 110.000 Francs datant de 1990,  signé K. BOULIER !  Heureusement que je suis assise !  Jamais de ma vie je n’ai et je n’aurais signé un contrat de crédit pour une voiture de ce prix !  Notre situation financière ne nous le permettait pas.  Lorsque, à l’époque, RAOUL avait acheté sans mon consentement la VOLVO, il soutenait qu’il n’avait pas pris de crédit.  Il m’avait parlé d’une occasion exceptionnelle qu’il fallait saisir, qu’elle était partiellement financée par la vente de la camionnette VOLKSWAGEN, et pour le solde, il se serait arrangé avec le garagiste qui aurait accepté des travaux de décoration.  J’avais du mal à croire ses explications, mais RAOUL soutenait fermement ses affirmations.  « K. BOULIER »  signé  sous le contrat ?  Mais JAMAIS je n’ai rien signé, JAMAIS je n’ai vu le garagiste !  Par contre, je me souviens d’avoir vu aux PRUNELLES des lettres de rappel concernant la VOLVO.  En questionnant RAOUL, il m’avait expliqué à l’époque que le garagiste était en retard de ses paiements à la banque et que je n’avais pas à m’en soucier.  Et maintenant, l’organisme de crédit veut me faire payer à la place de RAOUL !  Il y a de quoi perdre la tête ! 


FRANCFINE m’explique que vu la liquidation judiciaire de Monsieur BOULIER, ils ne pouvaient rien faire contre lui, raison pour laquelle la société s’est alors adressée à moi.
(Annotation : FRANCFINE ne sait pas encore que moi aussi, je suis en liquidation judiciaire entre-temps.)
Lorsque je demande pourquoi ils ne saisissent pas Monsieur BOULIER sur salaire, ils me répondent : « Mais nous avons un Jugement à VOTRE nom, Madame, non sur MONSIEUR.»   Je n’en peux plus.  Un Jugement à MON nom ?

« Et de toute façon, le Jugement a été signifié et il est donc définitif » me dit-on, « et c’est vous-même qui l’aviez réceptionné le 28 décembre 1994.  Dans une semaine, il sera transmis à un huissier pour exécution ».

J’ai beau protester, faire comprendre que je n’ai jamais rien signé, ni rien reçu, qu’il n’était pas possible de faire condamner une personne à son insu, que je n’ai pas pu me défendre, qu’il devrait donc être possible de faire annuler le Jugement, FRANCFINE ne veut rien entendre ; on me conseille simplement d’aller voir un avocat et porter plainte pour faux.  FRANCFINE me promet de m’envoyer des doubles du Jugement et de la Signification, mais pas du contrat de crédit.

Je dois absolument en parler à Maître CORNIAUD.  Je suis dans tous mes états.

Comme d’habitude, je n’arrive pas à joindre l’avocat par téléphone.  Je me retrouve ainsi seule avec mes problèmes et ne sais pas quoi faire à  part pleurer et tourner en rond.

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24 décembre 2007 1 24 /12 /décembre /2007 17:29
Suite du 3 janvier 1998

Parfois il me semble que ma vie n’est qu’un enchaînement de coups bas ; peut-être est-ce mon destin de devoir les encaisser sans jamais les rendre, d’être obligée de me relever après chaque coup comme un boxeur qui repart pour le prochain round, de repartir pour tout simplement en recevoir d’autres.  Et cela jusqu’à épuisement, physique et nerveux.  Comme j’ai eu l’immense chance grâce à une force et une volonté insoupçonnées, que seul le désespoir peut engendrer, de me débarrasser de tous les médicaments en mai dernier, et comme je ne suis plus droguée, manipulée, oppressée, je vais maintenant pouvoir me battre contre ces fléaux que sont l’injustice, le mensonge, la mauvaise foi, l’abus de confiance et le désir pervers de vouloir détruire par tout moyen l’être qu’on prétendait aimer.  Pourquoi cette volonté de nuire, détruire, abaisser, humilier ?  Par haine ?  Par crainte ?  Par vengeance ?  Dernier moyen de main mise sur l’autre ?  Je n’ai et je n’aurai pas de réponse à cette question fondamentale. Comment comprendre ce comportement « fou » d’un homme qui m’a dit un jour : « Tu es presque parfaite ».  C’est vrai, je ne vois pas ce qu’il pourrait me reprocher à part le fait, que la maladie provoquée et aggravée par SES actes, a certainement causé des changements en moi, qui ne lui convenaient pas, mais jamais je n’ai fait sciemment quoi que ce soit dans le but de lui nuire ou de nuire à la vie de notre ménage.  

J’attends avec impatience lundi ou mardi pour essayer de joindre Maître CORNIAUD.  J’ai tant besoin d’assistance dans ma lutte pour ma simple existence, assistance pour laquelle je crains une nouvelle fois ...

En début de soirée, EMMA est raccompagnée par RAOUL, mais cette fois-ci pas en VOLVO.  Il paraît qu’il va la vendre.  Ainsi arrive ce que j’essaie d’empêcher depuis deux ans : La VOLVO aurait dû servir à rembourser une partie des dettes du restaurant.  Mais ni le syndic, ni l’huissier, ni l’avocat, ni le Tribunal de Commerce, à qui j’avais demandé de l’aide, ne sont intervenus.  Maintenant, RAOUL partira tout tranquillement à l’étranger avec l’argent de la vente du véhicule.  Je n’en verrai pas un Centime.   Jamais je n’ai pu m’en servir du véhicule ; pourtant j’aurais vraiment eu besoin d’une voiture en 1995/1996 lorsque je travaillais à Perlieux et j’étais obligée de rentrer à pieds ou en auto stop les quatre derniers kilomètres.  

Je commence à me demander si le problème FRANCFINE de ce matin, ne concernerait pas la VOLVO.  Ce serait alors un comble : RAOUL partirait avec l’argent et moi,  je risque d’être saisie pour payer les dettes encourues par lui à mon insu pour le véhicule !?  Je ne veux pas émettre une hypothèse trop vite, mais je suis vraiment très inquiète.

EMMA a été gâtée par son père de cadeaux et de sorties.  Tout ce qu’elle me raconte me donne le cafard et me fait pleurer sachant que je ne suis pas en mesure de lui offrir.  
Au coucher, nous n’arrêtons pas de papoter et de rigoler.  L’idée que je pourrais me promener en scooter provoque un fou rire chez EMMA.  Je ne trouve pas le sommeil et suis encore réveillée à deux heures du matin.  Je suis si torturée que même mon remède habituel, une tasse de lait chaud, ne marche pas.  Je me jure une fois de plus que je dois écrire « mon Journal ; l’ouvrage sera intitulé  « LE PUZZLE ».

4 janvier

Contrairement à d’habitude, le petit déjeuner passe mal ; pourtant, il consiste déjà en le strict minimum : une tartine à la confiture et une tasse de thé au lait.  Aussi réduit soit-il, j’ai du mal à l’avaler.  J’ai un grand besoin de me confier à mon Journal, à qui d’autre sinon ?

J’adresse une courte lettre à RAOUL au sujet de FRANCFINE pour lui demander de me faire parvenir avant son départ pour l’Egypte l’Assignation devant le Tribunal, la Convocation à l’audience, le Jugement, la facture impayée et le contrat de crédit.  Pour justifier ma demande, je joins une copie de la lettre que j’ai reçue hier.  Que dira-t-il ?  
(pas de réponse)

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