L’Hôtel de vente BENBIRA vend deux tapis faits main sans mon autorisation.
14 août
Vu mon état nerveux fragile, je ne me sens pas en mesure d’affronter Maître MATOU qui m’a proposé un rendez-vous suite à ma lettre du 22 juillet. Etant devenue méfiante, je préfère des éléments écrits et lui demande une réponse à mes derniers courriers et surtout à mes longs commentaires au Jugement de Divorce.
(pas de réponse)
Avec la gentille aide d’un voisin, je récupère une EMMA toute contente après trois semaines de colonie de vacances qui ont été un vrai succès !
20 août
Vu que la maman d’une copine à EMMA est partie en vacances, je n’ai plus mon chauffeur habituel pour m’accompagner en voiture les cinq derniers kilomètres à la maison, lorsque le Mercredi midi, je rentre chargée de mes courses pour la semaine. Pour trouver une solution, je vais voir au café du village si je ne peux pas trouver quelqu’un qui va dans notre direction. Nous y rencontrons Mitron, homme bourru qu’EMMA connaît vaguement, et en prenant tout notre courage, nous lui demandons s’il veut bien nous remonter à la maison. Il est tout de suite d’accord, vide son verre et nous raccompagne immédiatement.
Une fois arrivés, il se propose de faire le chauffeur si un autre jour je devais avoir des difficultés de transport. Une fois de plus, je suis rentrée à la maison avec l’aide d’une personne généreuse, mais je suis gênée de ne rien pouvoir lui offrir à part mes remerciements les plus sincères pour son gentil service.
21 août
Maître MATOU m’informe que si je souhaite des copies des courriers et documents de Monsieur BOULIER, je n’ai qu’à venir les faire à son cabinet au prix de 4 Francs la page ! Il semble oublier que j’ai un budget mensuel de 1.400 Francs pour deux personnes, budget qui ne permet pas de faire des photocopies à ce prix-là.
« Je ne peux prendre à ma charge les frais de ces copies dans le cadre de l’aide juridictionnelle » m’écrit-il. Pourquoi alors ne me remet-il pas les originaux qui de toute façon me reviennent et qui seront archivés chez lui ?
(Annotation : Le secrétariat de Maître MATOU ne me remettra JAMAIS toutes les lettres et pièces fournies par Monsieur BOULIER, même lorsque je récupère le dossier en 2001.)
« En ce qui concerne le Jugement de Divorce, vous ne m’avez nullement tenu informé de la Signification de celui-ci et, par conséquent, il ne m’est pas, bien évidemment possible de savoir quelle est votre position à l’égard de l’acceptation ou du refus de la présente décision ».
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