Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Presentation

  • : FUKUSHIMA ATTENTION DANGER
  • : avertissements et conseils à l'Humanité - warnings and advice to Humanity - But du blog : œuvrer pour un monde meilleur en publiant - des messages reçus du Monde Invisible - des articles sur l'environnement et la santé aim of this blog : help to make the world a better place by publishing messages from the Invisible World and articles on environmental and health issues - le témoignage sur les risques et conséquences du régime matrimonial légal
  • Contact

Recherche éditeur - Looking for editor

Recherche éditeur pour la publication et diffusion à l'échelle mondiale du recueil de Messages Divins JESUS EN DIRECT et de FUKUSHIMA.

 

Merci de me contacter par le formulaire de CONTACT.

 

Looking for an editor for publication and worldwide distribution of the compilation of the Divine Messages JESUS LIVE and FUKUSHIMA.

 

Please use the CONTACT form to get in touch with me.

Archives

 

APPEL URGENT

pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011

URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011


____________________

 

"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."

Albert Einstein


"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,

mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

Albert Einstein

 

"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."

George Orwell

 

"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "

  Henry Miller


icono

 

 

Think again, think seven times again before you leap 
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006

30 septembre 2007 7 30 /09 /septembre /2007 10:08
 9 août

L’Hôtel de vente BENBIRA vend deux tapis faits main sans mon autorisation.

14 août

Vu mon état nerveux fragile, je ne me sens pas en mesure d’affronter Maître MATOU qui m’a proposé un rendez-vous suite à ma lettre du 22 juillet. Etant devenue méfiante, je préfère des éléments écrits et lui demande une réponse à mes derniers courriers et surtout à mes longs commentaires au Jugement de Divorce. 
(pas de réponse)

Avec la gentille aide d’un voisin, je récupère une EMMA toute contente après trois semaines de colonie de vacances qui ont été un vrai succès ! 


20 août

Vu que la maman d’une copine à EMMA est partie en vacances, je n’ai plus mon chauffeur habituel pour m’accompagner en voiture les cinq derniers kilomètres à la maison, lorsque le Mercredi midi, je rentre chargée de mes courses pour la semaine. Pour trouver une solution, je vais voir au café du village si je ne peux pas trouver quelqu’un qui va dans notre direction. Nous y rencontrons Mitron, homme bourru qu’EMMA connaît vaguement, et en prenant tout notre courage, nous lui demandons s’il veut bien nous remonter à la maison. Il est tout de suite d’accord, vide son verre et nous raccompagne immédiatement.

Une fois arrivés, il se propose de faire le chauffeur si un autre jour je devais avoir des difficultés de transport. Une fois de plus, je suis rentrée à la maison avec l’aide d’une personne généreuse, mais je suis gênée de ne rien pouvoir lui offrir à part mes remerciements les plus sincères pour son gentil service.

21 août

Maître MATOU m’informe que si je souhaite des copies des courriers et documents de Monsieur BOULIER, je n’ai qu’à venir les faire à son cabinet au prix de 4 Francs la page ! Il semble oublier que j’ai un budget mensuel de 1.400 Francs pour deux personnes, budget qui ne permet pas de faire des photocopies à ce prix-là.

« Je ne peux prendre à ma charge les frais de ces copies dans le cadre de l’aide juridictionnelle » m’écrit-il. Pourquoi alors ne me remet-il pas les originaux qui de toute façon me reviennent et qui seront archivés chez lui ?
(Annotation : Le secrétariat de Maître MATOU ne me remettra JAMAIS toutes les lettres et pièces fournies par Monsieur BOULIER, même lorsque je récupère le dossier en 2001.)

« En ce qui concerne le Jugement de Divorce, vous ne m’avez nullement tenu informé de la Signification de celui-ci et, par conséquent, il ne m’est pas, bien évidemment possible de savoir quelle est votre position à l’égard de l’acceptation ou du refus de la présente décision ».

J’avoue je ne comprends rien à ce paragraphe ; tout ce que je sais est que le Jugement ne m’a pas encore été signifié, sans savoir exactement ce que ce terme veut dire. Et qu’en est-il de mes longs commentaires au Jugement de divorce ? L’avocat les a-t-il lus ? Pourtant, ils démontrent clairement mon mécontentement du Jugement rendu. Je ne sais pas quoi faire de plus.

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .
 
Partager cet article
Repost0
22 septembre 2007 6 22 /09 /septembre /2007 17:27
28 juillet
Je me sens toujours extrêmement fatiguée et les tâches ménagères me pèsent au point que j’aie du mal à faire face au quotidien. Actuellement, je serais incapable physiquement et nerveusement d’aller travailler à plein temps. 
 
Comme je suis toujours plus que juste financièrement, je demande à Maître TOUR si j’ai le droit, malgré ma liquidation judiciaire, de m’inscrire à la Chambre des Métiers pour essayer d’avoir un petit gagne-pain et signale que je n’arrive plus à survivre avec ma fille. Je voudrais reprendre la peinture et attends sa confirmation pour faire les démarches administratives. Je rappelle au syndic que je n’ai toujours pas de réponse à mes nombreux courriers.
(pas de réponse du syndic)
 
30 juillet
Je reçois une réponse du Greffier du Tribunal de Grande Instance de Menau à qui j’avais écrit récemment pour me renseigner s’il y avait encore possible d’annuler le Jugement prononcé à mon nom dans l’affaire de la SNIV : Le délai d’appel est passé et le Jugement est devenu définitif, ce qui signifie que je n’ai PLUS AUCUN recours pour échapper au versement des 90.000 Francs. 
« L’article 540 du Nouveau Code de procédure Civile prévoit la levée de la forclusion résultant de l’expiration du délai si le défendeur, sans qu’il y ait faute de sa part, n’a pas eu connaissance en temps utile du jugement pour exercer son recours ou s’il a été dans l’impossibilité d’agir. La demande doit être formée dans un délai raisonnable, et en tout cas dans l’année qui suit la notification de la décision ».
Tout ce que je comprends à ce paragraphe est qu’il est trop tard dans mon cas pour pouvoir me défendre. Je dois en remercier RAOUL qui m’avait pris le dossier en me disant : « Je m’en occupe », alors qu’il n’a rien fait pour empêcher que je sois condamnée. Je me demande comment je peux faire puisque je n’ai pas la moindre intention de continuer à vivre avec une condamnation sur le dos, surtout une condamnation injustifiée et rendue à mon insu sans me donner la possibilité de me défendre. Je me demande ce que je peux faire contre RAOUL qui m’a empêchée, en fin de compte, de faire appel dans les délais. Puis-je le poursuivre ? Je sais que je ne dormirai encore pas cette nuit…
 
Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0
18 septembre 2007 2 18 /09 /septembre /2007 15:05
22 juillet
EMMA revient de ses vacances avec son père. Depuis très longtemps, je crois même depuis notre demande de divorce, RAOUL et moi, nous nous reparlons un peu plus longuement. J’apprends que les PRUNELLES seront entièrement payées par une procédure engagée contre la Royal SAGE pour vice de forme.
(Annotation : RAOUL ne m’en dira jamais plus.)

Je découvre que Maître MATOU a retenu tout le courrier de RAOUL, soit environ dix lettres qui m’étaient destinées. Je ne connais pas non plus la toute dernière version des Conclusions déposées pour moi concernant le Jugement de divorce dont RAOUL détient une copie, mais pas moi. Je ne connais pas non plus toutes les pièces fournies par RAOUL. Je croyais que toute pièce fournie par une des parties, devait être communiquée à l’adversaire ; cela n’est pas le cas pour moi. Je m’aperçois que RAOUL est au courant de TOUT ce que j’ai écrit, il connaît même les lettres que j’ai adressées au Consulat du Canada pour empêcher une éventuelle sortie de territoire d’EMMA par le père, et celles à l’huissier pour faire saisir la VOLVO. Je me demande comment il a pu en avoir connaissance. Une chose est sûre : Il est mieux informé que moi. Je commence à avoir de gros doutes du sérieux du travail de mon avocat.

RAOUL m'explique qu’il avait remis nos deux peintures miniatures sur ivoire anciennes à Monsieur JULE en compensation des loyers impayés pour le local commercial ou au moins d’une partie, et qu'elles allaient être expertisées.  Nous sommes d’accord sur un point : Il ne faut pas vendre les PRUNELLES aux occupants actuels, mais tout faire pour préserver la propriété pour les enfants. Les occupants ne se sont pas manifestés, ce qui les rendrait fautifs une fois de plus. RAOUL souhaite un partage « intelligent » des biens. Restera-t-il quelque chose à partager une fois les dettes réglées ? Je commence à en douter.

Je profite de la relative bonne humeur de RAOUL pour lui montrer l’état des créances et lui demander des explications. RAOUL essaie de me faire croire que le document n’est pas à jour et veut une copie pour pouvoir commenter chaque poste.
(Annotation : Les créances sont bien réelles à part quelques petites exceptions.)

Avant son départ, je lui remets une lettre pour obtenir des explications sur l’endettement à mon insu d’environ 2 Millions de Francs, somme qui me tourmente l’esprit au point qu’elle m’empêche de dormir. Je ne m’explique pas le poste Royal SAGE de 1,25 Millions de Francs et le poste SNIV de 270.000 Francs. Tout ce que je savais sur cette banque est, qu’il y avait un découvert de 118.000 Francs, mais jamais une dette de cet ordre-là. Me donnera-t-il enfin des explications ? Je compte sur sa pitié pour me permettre de retrouver au moins un sommeil normal dont j’ai cruellement besoin vu mon état de santé fragile.
(Annotation : réponse insatisfaisante le 11 août 1997)

RAOUL me demande d’envoyer tout mon courrier à l’adresse de sa mère qui ne l’ouvrirait pas, mais qui le transmettrait à son adresse actuelle en Egypte, qu’il refuse de me donner.

Suite à l’entretien avec RAOUL, je réclame immédiatement à Maître MATOU une copie des courriers et documents qui lui ont été remis par l’avocat de Monsieur BOULIER, et dont j’aurais dû avoir connaissance. Je voudrais savoir pourquoi il n’a pas changé les motifs de divorce suite à ma demande du 22 avril 1996 et pourquoi il n’a pas tenu compte de mes nombreux courriers dans sa plaidoirie.
(Annotation : Maître MATOU ne m’en donnera jamais. Je n’obtiendrai AUCUNE copie des pièces fournies par RAOUL. Il me propose un rendez-vous en mi-août et, le 21 août, donne une réponse concernant les copies.)

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0
14 septembre 2007 5 14 /09 /septembre /2007 10:12
21 juillet
Le Tribunal de Commerce de Perlieux rend une Ordonnance concernant la vente des PRUNELLES. Elle dit en résumé :
Madame s’oppose à la vente de l’immeuble à 900.000 Francs vu l’offre préalable de  2.100.000 Francs le 18 février 1992 par Monsieur ZINTKO.
Elle constate la caducité de la promesse de vente et l’expulsion de Monsieur ZINTKO ordonnée par le Tribunal de Grande Instance de Menau le 16 juin 1994 ainsi que l’appel pendant.
(Annotation : Ce Jugement a été confirmé par le Tribunal de Grande Instance de Menau le 28 juin 1996.)
« Disons qu’il est sursis à statuer sur la requête présentée par le liquidateur. »
 
Je reprends un peu d’espoir que les PRUNELLES pourront encore être sauvées d’une manière ou d’une autre, surtout dans l’intérêt des enfants.
 
Vu que je suis dans les papiers, j’en profite pour rappeler à Maître CHARLOT que mes courriers du 20 et 29 mai dernier sont restés sans réponse de sa part. J’ai l’impression que les syndics ne sont pas bien bavards… 

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0
10 septembre 2007 1 10 /09 /septembre /2007 10:11
17 juillet
Je reçois l’état des créances établi par mon syndic. Je ne crois pas mes yeux ! C’est la confirmation de ce que j’avais déjà appris, mais ce que je n’ai pas pu croire début février : Il y a près de 2 Millions de Francs de dettes ! Je ne comprends absolument pas ce montant dont environ 1,86 millions de Francs auraient été hypothéqués. Comment serait-il possible sans que je le sache ? Je dois me renseigner auprès du notaire à Couliers. Grâce à ma propre liquidation judiciaire, j’apprends enfin le montant de notre endettement ; c’est le seul point positif de la procédure pour le moment. Ce que je ne comprends pas est, pourquoi figurent sur l’état des créances des postes qui n’ont aucun rapport avec la GOURMANDISE, qui concernent les années avant son ouverture ? Je comprends mieux, pourquoi RAOUL n’a jamais voulu me répondre à mes questions. Comment a-t-il pu nier d’avoir des problèmes financiers ? Pourtant, il se savait déjà condamné. Qu’a-t-il fait pour arriver à un chiffre aussi astronomique ? Nous sommes endettés de presque deux millions de Francs ! Cette idée m’affole, je ne pense qu’à ça, mais ne trouve pas d’explications. Je sais que je n’en dormirai pas. Deux millions de Francs ! Comment cela était-il possible ? Je suis torturée à l’extrême, incapable de me concentrer sur autre chose. C’est toujours la même question : Comment RAOUL a-t-il pu en arriver là ?
 
Comme Maître MATOU fait le mort à mes courriers d’avril et de mai dernier, je demande une nouvelle fois de l’aide auprès de Maître TOUR pour pouvoir récupérer ma toile murale et la porte décorée laissées par Monsieur BOULIER au local commercial à la fermeture du restaurant.
Je lui signale que Monsieur BOULIER ne m’a toujours pas remis la comptabilité malgré mes nombreuses demandes et que je le soupçonne d’être parti avec les fonds récupérés par la vente des biens professionnels. Je lui demande de me répondre à toutes mes questions, ce qui n’est pas le cas actuellement. Je souhaiterais connaître la situation des PRUNELLES et demande, s’il touche enfin sa part aux indemnités d’occupation. Je voudrais également connaître le résultat de l’audience du 28 mai dernier concernant ma plainte contre Monsieur BOULIER.
Obtiendrai-je cette fois-ci une réponse ?
(pas de réponse du syndic)
 
Je me sens de plus en plus truandée par RAOUL. L’assistante sociale m’apprend que si je devais trouver du travail, une partie du salaire, même d’un SMIC, pourrait être saisie immédiatement vu les titres exécutoires qui existent à mon nom. Je suis toujours persuadée que ma liquidation judiciaire ne me permet pas de me mettre à mon compte soit comme traductrice, soit pour reprendre la peinture décorative. Je me sens coincée : Si je touchais un salaire, je risque la saisie immédiate, et d’autre part, je ne peux pas me mettre à mon compte. Cette idée m’affole.
(Annotation : C’était faux. Il n’y avait aucune interdiction de me mettre à mon compte, mais personne ne m’a jamais corrigée.)
Comment faire alors pour avoir un petit gagne-pain ? Lorsque j’explique en gros mes problèmes à l’assistante sociale, elle me conseille de changer d’avocat. Mais d’abord, je dois attendre la réponse de Maître MATOU à mes commentaires concernant le Jugement de divorce indigeste.
 
J’adresse une nouvelle lettre au Procureur de la République pour compléter ma plainte déposée contre Monsieur BOULIER pour les raisons suivantes :
endettement excessif de la famille de l’ordre de deux millions de Francs à mon insu
- non-paiement des cotisations retraite pour moi malgré le fait que j’étais conjoint collaboratrice de 1984 à 1992
confiscation du dossier SNIV qui m’a fait condamner au versement de 90.000 Francs en se basant sur une caution caduque de 1979. Je signale que j’étais dans l’impossibilité de faire appel dans les délais puisque Monsieur BOULIER avait confisqué le dossier jusqu’en avril 1996. Le Jugement est donc définitif et je risque la saisie sur salaire.
 
(Annotation : J’ai retiré cette plainte sur conseil de Maître CORNIAUD le 18 septembre 1997 lors de la visite de la Gendarmerie. De toute façon, elle a été classée sans suite le 8 juin 1998 par le Tribunal de Grande Instance de Perlieux pour « autres poursuites ou sanctions de nature non pénale ».)
Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0
6 septembre 2007 4 06 /09 /septembre /2007 10:10
9 juillet
Enfin une bonne nouvelle ! Maître TOUR demandera à Maître ESTA de me donner toute information au sujet des ventes aux enchères qui finalement ont eu lieu le 22 mars dernier et dont personne ne m’avait avertie. Enfin je saurai combien ils ont pu récupérer par cette braderie. Je regrette beaucoup ne pas avoir pu récupérer les objets les plus urgents, comme la cuisinière et le bureau, objets qui me manquent cruellement.
 
En allant en ville faire mes courses hebdomadaires, ce qui est pour moi aussi bien un jour de sortie qu’un jour de corvée, je dépose enfin mes commentaires au Jugement de Divorce au cabinet de Maître MATOU pour être sûre qu’il les recevra sans faute. Je suis convaincue qu’il ne les appréciera pas et suis curieuse de sa réponse. Par contre, je ne lui retournerai jamais l’acte d’acquiescement.
(Annotation : Je n’ai jamais obtenu de réponse par écrit.)
 
12 juillet
Etant donné que ma demande d’aide juridictionnelle concernant le litige avec la SNIV a été rejetée par le Bureau d’Aide Juridictionnelle de Paris « pour manque de pièces », alors que j’avais fourni une copie de TOUS les documents en ma possession, que je ne sais plus comment faire et que je me rends compte qu’un appel n’est plus possible, je décide dans mon désespoir d’obtenir au moins des explications de la part de Maître PERNEAUD qui avait affirmé le 4 juin 1996 « qu’il n’y aura aucune suite au Jugement rendu le 29 avril 1993 » et que je n’avais « rien à craindre ».
(pas de réponse)

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0
2 septembre 2007 7 02 /09 /septembre /2007 10:09
13 juin
Conclusions de Maître BELLE pour Monsieur BOULIER contre Madame KATY BOULIER et Madame POMAL :
Monsieur BOULIER demande le bénéfice des Conclusions signifiées dans son intérêt le 21 novembre 1995.
(Annotation : Document récupéré chez Maître MATOU en décembre 2001.)
 
L’entretien avec la juriste du CIDFF m’a fait réfléchir longuement. Je reste sur ma position que le Jugement de Divorce est inacceptable pour moi. Je complète donc mes commentaires du 7 juin par des réflexions supplémentaires :
 
Je fais le constat qu’un mari semble avoir le droit de mentir à sa femme, de violenter sa femme, de l’insulter à volonté, d’abuser de sa confiance, de la rendre gravement malade par son comportement, de dissimuler des documents officiels au nom de sa femme, l’empêchant ainsi de pouvoir se défendre en Justice, de la faire condamner pour des actes qu’elle n’a pas commis, de nuire à la bonne réputation de l’épouse en la présentant comme « folle » et « internée », de supprimer à sa femme le droit à la retraite en ne cotisant pas pour elle en tant que « conjoint collaboratrice » bien qu’elle ait participé à l’entreprise familiale.
 
Il semble également être légal qu’un père de famille endette à outrance sa famille à l’insu de l’épouse détruisant ainsi l’héritage de ses enfants, qu’il ruine l’activité professionnelle de son épouse, qu’il ne subvienne pas aux besoins élémentaires de sa famille et qu’il supprime à sa famille la couverture maladie pour non cotisation.
 
Ainsi j’aurai dit tout ce que j’avais gros sur le cœur, mais je sais que personne ne veut m’entendre. 
 
24 juin
Je reçois déjà une réponse de ORGANIC à ma lettre du 13 juin dans laquelle j’ai demandé à l’organisme un décompte des cotisations en retard pour la période du 1er juillet 1989 au 30 juin 1993 pour être préparée lors de la liquidation de la communauté, moment ou, d’après l’avocat, le problème de ma retraite pourrait être abordé. 
(Annotation : 10 ans après le divorce, la liquidation de la communauté n’a toujours pas été prononcée !)
Quelle n’est pas ma surprise de lire que ORGANIC est tenu au secret professionnel !
« De ce fait, il ne nous est pas possible de vous communiquer les sommes dont Monsieur BOULIER reste redevable auprès de notre caisse ».
Je reste perplexe. Même pour la période de mariage on me refuse l’information dont j’ai besoin ! C’est injuste, c’est illogique, c’est une lacune dans la Loi. Qu’ils refusent l’information pour tout ce qui se passe après le divorce, je suis d’accord. Mais sous prétexte d’être divorcée, me refuser l’information de faits concernant la période de mariage, qui concernent donc la vie commune, c’en est de trop ! Je me demande ce que je dois faire, comment faire pour obliger RAOUL de régulariser sa situation, dont dépend la mienne. Tant qu’il n’aura pas régularisé ses cotisations à LUI, je ne pourrai pas faire valoir MES droits. Je suis de très mauvais poil.
 
30 juin
RAOUL vient chercher EMMA - toujours en VOLVO - pour la ramener le 23 juillet, puisqu’il repart au Caire où il a trouvé du travail après y avoir passé tout le mois de juin, raison pour laquelle il n’est pas venu chercher EMMA le week-end comme il aurait dû le faire. Pourquoi m’avoir laissée dans l’attente ? Pourquoi ne m’a-t-il pas prévenue ? 
D’après l’Ordonnance sur le droit de visite et d’hébergement, le père devrait garder l’enfant toute la moitié des vacances, ce qui ne l’arrange pas. En relisant le texte, je me rends compte que c’est un DROIT, et non une OBLIGATION. Alors, le père peut faire comme cela l’arrange. Je trouve, que cette Ordonnance est mal rédigée, mais c’est la Loi, truffée de lacunes et d’imperfections.
 
Après leur départ, j’ai tout mon temps pour réfléchir : Je suis étonnée que RAOUL soit toujours en mesure de financer la VOLVO, puisqu’il ne touche plus l’API* depuis avril et depuis, il aurait été sans travail. J’ai l’impression que RAOUL est complètement indifférent en ce qui concerne l’assainissement de notre situation financière. Il n’a pas perdu un seul mot sur les problèmes qu’il a laissés derrière lui à la fermeture de la GOURMANDISE et comment les résoudre. Y pense-t-il ? Je craque et n’arrête pas de pleurer. Il sait pourquoi il est parti à l’étranger : loin des problèmes, loin des soucis, loin de la justice… Moi, je reste …
*Allocation Parent Isolé
Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message dans CONTACT en bas de page.
Partager cet article
Repost0
29 août 2007 3 29 /08 /août /2007 15:05
11 juin
Je transmets au Procureur de la République le dossier de plainte contre Monsieur BOULIER que le Tribunal de Commerce m’a retourné le 6 juin en disant qu’il ne relève pas de sa compétence. J’espère que cette fois-ci, ma démarche est la bonne. Je trouve que j’ai déjà perdu beaucoup de temps. Je veux avancer, mais je n’y arrive pas.
 
12 juin
Je vais au CIDFF, association de conseil juridique pour les femmes, pour me renseigner sur la possibilité de faire réviser le Jugement de divorce qui est inacceptable pour moi, puisque je le considère qu’il a été rendu sur de fausses bases. 
Tout ce que j’y apprends est que les chances de réussir dans une démarche d’appel sont très réduites, que la procédure peut durer entre un à deux ans et qu’il est difficile de trouver un avocat qui accepte d’aller en appel avec l’aide juridictionnelle. La conseillère me fait remarquer que, de toute façon, même un Jugement modifié ne me changera rien dans la vie à part avoir peut-être obtenu une certaine satisfaction morale. Je trouve que ce serait déjà beaucoup et de toute façon, ce serait la raison principale de ma démarche - à part un Jugement plus favorable pour EMMA pour qui aucune pension alimentaire n’est prévue malgré notre situation précaire, même si la situation du père s’améliore. Par contre, en ce qui concerne l’enfant, j’apprends que j’ai le droit de faire revoir le Jugement dès que j’apprendrai que le père a un travail, pour réclamer une pension alimentaire tant que moi je serai sans revenu suffisant. Mais comment puis-je savoir quand le père sera dans une situation plus confortable vu notre manque de communication ?
 
Je sors du bureau assez découragé. Je me répète ce que me disait la juriste : « Même si vous ressentez les torts partagés comme injustes, au fond cela ne changera rien ». Si cela ne change rien, pourquoi les juristes distinguent-ils alors entre le divorce à torts exclusifs et à torts partagés ? Il doit bien y avoir une raison. Je n’accepterai jamais quelque chose qui est faux et injuste ! Il n’est pas vrai que j’ai contribué à détruire le ménage par mon comportement. Je garde toujours sur moi les commentaires que j’ai rédigés pour Maître MATOU. Je prendrai le temps d’y réfléchir encore, mais je ne signerai jamais le bon d’acquiescement qui rendrait le Jugement définitif. 
(Annotation : Je ne sais pas encore que même sans le signer, le Jugement devient automatiquement définitif une fois le délai d’appel passé.)
 
Du CIDFF je vais directement au Tribunal de Commerce qui m’a convoquée, je ne sais pas bien pour quelle raison. Après des heures d’attente interminables dans des locaux vétustes, on m’appelle dans la salle d’audience. La SNIV qui m’avait fait condamner à mon insu à lui verser 90.000 Francs en se basant sur une caution des années 1979, a fait lever la période de forclusion, expression que je ne comprends pas, pour faire valoir ses droits vis-à-vis de moi dans le cadre de la liquidation judiciaire prononcée en mon nom de jeune fille. L’affaire de la SNIV m’écoeure toujours : Le fonctionnement du système judiciaire permet apparemment de juger une personne à son insu. Je ne pensais pas que cela serait possible ; j’ai dû me tromper. Mais ce qui me révolte le plus, c’est l’attitude de RAOUL : Il n’a pas hésité de m’empêcher de faire appel dans les délais en me privant du dossier de la SNIV, dossier qui reste pour moi un plat parfaitement indigeste.
Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE,
cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message dans CONTACT en bas de page.
 
Partager cet article
Repost0
26 août 2007 7 26 /08 /août /2007 10:07
29 mai
Aujourd’hui, je reçois deux courriers : un de Maître TOUR, l’autre de Maître  CHARLOT.
Suite à ma demande, Maître TOUR confirme qu’une enquête pénale est en cours contre Monsieur BOULIER.  Je regrette qu’il ne m’en envoie aucune preuve, pas de copie de ses courriers au Procureur de la République ; il se contente d’une simple affirmation.  J’espère que tout est vrai et voudrais bien savoir combien de temps demandera cette enquête.

Maître CHARLOT confirme d’avoir convoqué Monsieur BOULIER suite à ma demande, mais sa lettre, adressée au 5, rue S., Perlieux, est revenue avec la mention « N’habite pas à l’adresse indiquée ».
(Annotation : Monsieur BOULIER habite au 9, rue S., le facteur le savait bien.)
Il me demande l’adresse de Monsieur BOULIER pour pouvoir le convoquer une nouvelle fois.  Cela voudrait dire que RAOUL n’entretient plus de contact avec son syndic.  
Suite à mon courrier du 21 mai dernier concernant le non-paiement de l’assurance des PRUNELLES, Maître CHARLOT me demande de lui fournir la dernière quittance d’assurance pour poursuivre la couverture.  C’est au moins un point gagné !  Il n’était donc pas au courant que l’assurance était suspendue.  Je commence à avoir des doutes sur les relations entre syndic et client.
Je profite de mon courrier pour rappeler une fois de plus au syndic que Monsieur BOULIER est parti avec la comptabilité de la GOURMANDISE ainsi qu’avec le matériel professionnel et les fonds et lui demande de m’aider afin de faire saisir les biens détournés, puisque l’Ordonnance rendue par le Tribunal de Commerce exige de mettre en lieu sûr les biens pouvant être amenés à disparaître.  Or, à ce jour, rien n’a été mis en lieu sûr ni aucune démarche entreprise pour les récupérer.  Peut-être ai-je plus de succès avec Maître CHARLOT qu’avec Maître TOUR ?
(pas de réponse, pas de suite)


6 juin     
Le Tribunal de Commerce me retourne mes documents que je leur avais envoyés le 25 mai en confirmant par écrit ce qu’il m’avait déjà conseillé de faire le 28 mai : déposer une plainte auprès du Procureur de la République puisque la plupart des faits énoncés ne relèvent pas de la compétence du Tribunal de Commerce, et une autre plainte pour détournement d’actifs.   Reste qu’à espérer que la plainte auprès du Procureur de la République aboutira.  

J’ai la surprise de l’année : Je suis divorcée !   Mais quand a eu lieu l’audience de divorce ?  Je n’en sais rien.  Pourtant, j’avais demandé à Maître MATOU de me communiquer la date et le lieu sans faute et il me l’avait promis !  En tout cas, je suis divorcée,  c’est le principal.
Je relis une nouvelle fois plus en détail le Jugement de divorce que Maître MATOU m’envoie, accompagné d’un acte d’Acquiescement à Jugement que je dois lui retourner pour qu’il puisse faire la transcription, termes dont je ne connais pas le sens, et dont je ne sais pas à quoi il sert.  Ma joie se calme instantanément lorsque je constate avec frayeur que je suis divorcée A TORTS PARTAGES !  Quels torts me reproche-t-on ?  Je n’en ai aucune idée.  Pourtant, j’avais fourni à l’avocat une quantité d’éléments dont j’étais sûre qu’ils permettraient sans aucun problème d’obtenir un jugement aux torts exclusifs de RAOUL.  Je n’y comprends rien.  J’ai du mal à accepter qu’il n’y ait pas de pension alimentaire prévue pour EMMA.
Nous avons l’autorité parentale conjointe pour EMMA, GREG étant majeur.

Je suis profondément déçue, déception qui se transforme rapidement en colère.  Jamais, jamais de ma vie, je n’accepterai ce Jugement !  Il est faux, il est une honte !  Comment Maître MATOU a pu en arriver là avec tout le matériel d’évidences que je lui ai fourni !  Je n’en peux plus.  Dans mon grand désarroi, je mets immédiatement à la machine à écrire pour laisser échapper toute ma colère, ma déception et ma rage sur quatre pages blanches.

J’attire entre autres l’attention sur tous les actes inadmissibles de Monsieur BOULIER indignes d’un mari et père de famille responsable, que j’avais résumés en préparation du divorce, et dont le Juge ne semble pas avoir tenu compte, et je demande des dommages et intérêts pour tous les préjudices que j’ai dû subir.  
Je considère que ce Jugement est un jugement fait par des hommes qui ne tient absolument pas compte des souffrances infligées à la femme et que je n’avais pas besoin d’un avocat pour en arriver là.  J’exprime ma consternation concernant le fait que Monsieur BOULIER a d’abord essayé de me faire accepter un divorce à torts partagés, ensuite, il a essayé de me faire accepter un divorce à ses torts exclusifs et maintenant, je me retrouve avec un Jugement à torts partagés.  Je me demande, sur quelles bases est rendu un Jugement de divorce.  Je termine en écrivant « Jamais vous n’aurez ma signature pour l’acceptation de ce Jugement ».


Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message dans CONTACT en bas de page.
Partager cet article
Repost0
23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 13:52
28 mai
Je vais à ma dernière consultation avec le psychiatre.  Il est toujours aussi étonné de mes troubles et maintient sa position qu’ils sont dus à autre chose, sans chercher plus loin, sans faire d’examen ; en aucun cas ils ne sont dus à l’arrêt du traitement, il en est convaincu !  Il ne me donnera pas d’autres explications.  Je ne crois pas un mot au médecin et trouve son attitude déplorable.  Je suis venue parce que la consultation était prévue, mais je suis venue sans la moindre conviction.  Je quitte la consultation soulagée de savoir que c’était la dernière.  J’ai toujours appréhendé ces séances auxquelles je venais seule.  Je me promets que plus jamais de ma vie, je ne remettrai les pieds dans un service psychiatrique et que je ne prendrai plus jamais des antidépresseurs et calmants, quoi qu’il arrive.  Comment RAOUL a-t-il pu laisser faire qu’on me drogue à ce point ?  Lui, par contre, n’a pas été soumis à un traitement malgré mes demandes répétées ; pourtant, il en aurait eu grandement besoin ; dès la première consultation, je l’avais réclamé au psychiatre.  RAOUL aurait dû être calmé pour qu’il perde sa terrifiante agressivité, aussi bien morale que physique vis-à-vis de moi.  Mais rien n’a été fait.  Une fois de plus, c’est moi qui me suis retrouvée double victime : victime de mon mari, victime des médecins.  Plus jamais un tel traitement !  Je préfèrerais encore souffrir en toute conscience au lieu de me retrouver droguée au point à ne plus percevoir la réalité telle qu’elle est et d’être privée de ma personnalité et de mes facultés.  Je reste persuadée que pour me sortir d’affaire, je ne peux et je ne dois compter que sur moi-même et personne d’autre, que tous ces traitements ne sont que des palliatifs, mais qui en aucun cas ne permettent de résoudre quoi que ce soit et qui ne permettent surtout pas de s’attaquer à la racine du mal.  Personne ne peut guérir d’un déséquilibre nerveux tant que la CAUSE de ses troubles n’a pas été déterminée et éliminée.  Dans mon cas, malgré toutes les explications que j’ai données depuis le début, aussi bien au psychiatre qu’au médecin de service lors de mes hospitalisations, personne n’est intervenu pour remédier à la cause de mon problème de santé, ce qui aurait pu me permettre de voir une porte de sortie que je cherchais en vain désespérément.  Ce n’est pas par des médicaments qu’on peut résoudre une situation devenue invivable, mais par des actes, actes que je ne savais plus prendre, puisque je ne savais plus à qui me vouer.  Assistante sociale, avocat, syndic, Tribunal de Commerce, voisins, famille, TOUS sont restés inactifs malgré mes incessants appels à l’aide.  Je ne l’oublierai jamais…

J’en veux surtout à la famille BOULIER que j’avais mise au courant de nos problèmes de ménage dès 1994.  Je suis persuadée que personne ne m’a cru.  Je me vois encore en larmes au téléphone à la cave à Elieux en appelant le frère aîné de RAOUL pour qu’il vienne le raisonner ; RAOUL,  me semblait-il,  avait perdu la raison.  Mais jamais il ne s’est déplacé pour me secourir.  
En juin 1994, la belle-mère était venue pour garder EMMA pendant une semaine, le temps de mon séjour en Allemagne pour voir mes parents.  Je lui avais donné de longues explications, mais je voyais bien qu’elle ne me crut pas.  Elle pensait simplement que j’étais trop matérialiste, comme RAOUL me l’avait déjà sorti à plusieurs reprises.  
« L’argent ne fait pas le bonheur » osa-t-elle me faire remarquer.  J’avais l’impression qu’elle ne voulait pas comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un simple manque d’argent, mais de l’endettement à vie par son fils.  Lorsque le strict minimum vital d’une famille n’est plus assuré, je me demande comment on peut tenir de tels propos !  Lorsque l’on doit vivre avec un jeune enfant dans une maison non chauffée et qu’il n’y a pas toujours de quoi acheter le pain quotidien faute d’argent de ménage, je regrette, la préoccupation principale devient alors l’argent.  Incomprise par tout le monde, c’est ainsi que j’ai continué à sombrer dans un déséquilibre nerveux aggravé.  

Malgré mon mauvais état de santé, me sentant comme dans un brouillard, je vais à la convocation du Tribunal de Commerce.  Après une longue attente, rendue encore plus pénible par mes douleurs et vertiges, le Greffier me reçoit.  Il me conseille de déposer une plainte auprès du Procureur de la République puisque la plupart des faits énoncés ne relèvent pas de la compétence du Tribunal de Commerce, et une autre pour détournement d’actifs.  
« L’huissier ne peut, sans décision de justice spécifique, appréhender un quelconque bien entre les mains de votre mari » m’explique-t-il.  J’ai déjà entendu cette chanson.  Le Greffier a la gentillesse de m’aider à rédiger la plainte et me promet de la transmettre au Procureur de la République.  Je suis si réduite mentalement, que j’oublie de faire une copie pour moi.  Je n’ai qu’une hâte : sortir de ce lieu grisâtre pour rentrer à la maison ; je n’en peux plus, je ne tiens plus debout.  

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0