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  • : FUKUSHIMA ATTENTION DANGER
  • : avertissements et conseils à l'Humanité - warnings and advice to Humanity - But du blog : œuvrer pour un monde meilleur en publiant - des messages reçus du Monde Invisible - des articles sur l'environnement et la santé aim of this blog : help to make the world a better place by publishing messages from the Invisible World and articles on environmental and health issues - le témoignage sur les risques et conséquences du régime matrimonial légal
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Recherche éditeur pour la publication et diffusion à l'échelle mondiale du recueil de Messages Divins JESUS EN DIRECT et de FUKUSHIMA.

 

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APPEL URGENT

pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011

URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011


____________________

 

"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."

Albert Einstein


"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,

mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

Albert Einstein

 

"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."

George Orwell

 

"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "

  Henry Miller


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Think again, think seven times again before you leap 
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006

9 mars 2008 7 09 /03 /mars /2008 11:40
10 juin
Je reçois une réponse par retour de courrier du Bâtonnier qui me propose un rendez-vous pour le 7 juillet.  Une fois de plus, je dois attendre, attendre trois semaines pour pouvoir avancer - peut-être - dans mes dossiers.  Ensuite, ce sera la période des vacances judiciaires où tout s’arrête jusqu’à la rentrée.  Le restaurant sera alors fermé depuis presque trois ans et rien, absolument rien, n’aura avancé.  Pendant ce temps, RAOUL vit tranquillement à l’étranger, tandis que femme et enfant essaient de survivre.  

Maître GUY me répond enfin après trois relances !  Tout n’est pas clair et surtout il ne répond pas à toutes mes questions.  
Il me transmet une copie du Jugement du 14 juin 1994 dans l’affaire FRANCFINE par laquelle j’apprends que FRANCFINE m’avait assignée le 28 décembre 1993, ainsi qu’une copie de son courrier du 18 octobre 1994 dans laquelle il m’avait informée de ma condamnation à verser à FRANCFINE  62.630 Francs pour solde du crédit et 5.010 Francs au titre d’indemnité, en précisant qu’un délai de deux ans m’avait été accordé pour me libérer de ma dette, soulignant que cette décision était « largement positive par rapport à la demande faite par FRANCFINE » et en me demandant de lui dire si j’accepte ou non cette décision.  Ce courrier était resté sans réponse.  Non seulement RAOUL ne m’avait pas transmis la lettre de l’avocat, mais il n’avait même pas pris la peine d’y répondre !  Maître GUY signale qu’une partie de ses honoraires, soit 1.538 Francs, n’a jamais été réglée.  Comment RAOUL a-t-il pu oser de ne pas régler l’avocat, d’autant plus qu’il aurait eu droit à l’aide juridictionnelle, au moins partielle ?  Je n’ai pas d’explications.  Pourquoi Maître GUY ne m’a-t-il pas relancée ?  Pourquoi n’a-t-il pas essayé de me joindre directement ?  Encore des problèmes avec un avocat que je dois rajouter à ma liste des problèmes à voir avec le Bâtonnier.  Encore des questions auxquelles j’aurai du mal à trouver une réponse.  Je sais que je ne suis pas sortie de l’auberge…

Cette découverte me révolte au point que je prépare immédiatement mon courrier en retour. J’informe l’avocat que
-    je n’étais pas au courant qu’une procédure était engagée contre moi,
-    je ne connaissais pas le Jugement du 24 juin 1994,
-    je n’ai jamais reçu de document me convoquant à une audience,
-    il m’a mis des mots dans la bouche que je n’ai jamais dits,
-    je n’ai jamais été convoquée par l’avocat,
-    je n’ai jamais « sollicité les plus larges délais de paiement »,
-    je n’ai pas pu me défendre ignorant absolument tout,
-    Monsieur BOULIER niait l’existence d’un crédit de voiture,
-  je n’ai appris l’existence d’un titre exécutoire à mon nom qu’en décembre 1997, soit  trois ans après mon Jugement,
-    je n’ai jamais reçu son courrier du 18 octobre 1994,
-  je suis indignée que Monsieur BOULIER n’ait pas réglé ses honoraires,
-   je souhaite savoir la date à laquelle il avait été chargé du dossier par Monsieur BOULIER du dossier,
je souhaite savoir comment il a pu accepter le dossier sans m’avoir convoquée une seule fois.
(pas de réponse)

Je suis très déçue d’apprendre par la maîtresse d’école que la Mairie a refusé sa demande de rémunérer les heures d’Anglais et d’Allemand que je donne bénévolement à l’école primaire pour la deuxième année consécutive.  Toutes les deux nous avions espéré obtenir l’accord de la Mairie qui ne semble porter aucun intérêt à l’apprentissage des langues étrangères.

Maître MATOU répond à ma lettre du 8 juin dernier concernant le Jugement de Divorce et prétend d’avoir répondu à tous les points évoqués par moi.
 « Je ne sais pas ce que vous cherchez. Vous avez des possibilités de relever appel des décisions dès réception de leur Signification.  Dès lors, je n’entends plus répondre à vos courriers. »  

C’est le comble !  Je suis tellement surprise, que je dois relire cette phrase plusieurs fois.  Il ne semble pas réaliser que je me retrouve avec un Jugement de Divorce DEFINITIF.  Comment un avocat peut-il vous laisser tomber ainsi ?

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5 mars 2008 3 05 /03 /mars /2008 20:34
28 mai
Une lettre arrive de Maître MATOU qui répond à ma question pourquoi je n’ai pas été convoquée à l’audience de divorce.  Je suis étonnée de lire qu’il ose m’écrire que « vous avez été largement au courant des différentes audiences à la suite des nombreux rendez-vous que vous aviez sollicités auprès de moi et vous étiez parfaitement au courant de l’audience du 13 mai 1997 ».  C’est faux !  Jamais je n’ai été informée de la date de l’audience de divorce.  J’aurais bien voulu y assister pour voir comment se passe une telle procédure.  Je voudrais bien avoir comme preuve de son affirmation une copie de son courrier par lequel il m’informait de la date d’audience.
(Annotation : Je ne l’ai pas pu obtenir.)
Jamais je n’ai sollicité « de nombreux rendez-vous » ; en un an et demi, j’ai vu l’avocat environ quatre ou cinq fois.  Je continue à me poser la question comment peut-il bien être possible de prononcer un divorce sans avoir entendu les deux parties, sans les avoir convoquées ?  Je suis profondément déçue de ne pas avoir pu assister à cette audience qui représente pourtant un moment crucial dans ma vie.  Pourquoi Maître MATOU ne m’a-t-il jamais expliqué quoi que ce soit sur la procédure du divorce ?
Je dois absolument lui écrire pour lui dire tout ce que je pense tout en sachant que ma lettre ne servira pas à grand-chose, à part me faire de l’air…
(Réponse le 15 juin 1998)

8 juin
Le Tribunal de Grande Instance de Perlieux m’informe que ma plainte du 17 juillet 1997 déposée contre Monsieur BOULIER pour endettement à outrance de la famille à mon insu, non-cotisation pour ma retraite à ORGANIC et interception de documents officiels recommandés à mon nom concernant le litige avec la SNIV, n’est pas recevable puisque les faits ne relèvent pas du Code Pénal.  « Motifs : autres poursuites ou sanctions de nature non pénale ».  
J’ignorais au moment du dépôt de ma plainte qu’un mari a le droit d’endetter outre mesure sa femme à son insu, de l’exploiter en tant que conjoint collaboratrice sans lui verser le moindre salaire et sans cotiser pour sa retraite et de réceptionner des documents officiels au nom de sa femme envoyés en recommandé, de les garder et empêcher ainsi sa femme de se défendre en justice.  Si seulement j’avais su cela, j’aurais demandé le divorce depuis longtemps !
Le refus de ma plainte ne me surprend pas, puisque je le savais déjà : Le 18 septembre 1997, j’avais retiré ma plainte lors de la visite de la gendarmerie, sur conseil de Maître CORNIAUD qui la considérait irrecevable.  Apparemment ma plainte n’avait pas été annulée, puisque la procédure a poursuivi son chemin pour aboutir à la réponse négative d’aujourd’hui.  

Comme je suis très déçue des consultations gratuites au Tribunal qui m’ont reconduite chez Maître CORNIAUD où j’ai dû constater que rien n’avait avancé, j’écris une nouvelle fois au Bâtonnier pour me plaindre et surtout, pour lui demander conseil, puisque je ne sais plus à qui m’adresser.  Je l’informe que l’avocat me promet à chaque fois qu’il interviendrait dans les dossiers à traiter, mais ne fait rien et ne répond à aucun de mes courriers.
Je voudrais savoir par quel moyen je pourrais faire annuler le Jugement de Divorce. J’explique que j’avais chargé l’avocat de faire appel au Jugement de Divorce, qu’il l’avait accepté par écrit, qu’il était en possession de la Signification et du dossier d’aide juridictionnelle, mais qu’il a laissé passer le délai d’appel, ce qui fait que je me retrouve avec un Jugement définitif.  L’avocat prétend ne pas avoir reçu les documents nécessaires ; or son secrétariat m’a bien confirmé qu’ils se trouvaient bel et bien dans le dossier Divorce.  L’avocat a donc menti.  Quel recours ai-je ?
Je signale que Maître CORNIAUD m’avait expliqué en septembre 1997, qu’il fallait faire appel au Jugement de Divorce pour obtenir une pension alimentaire.  Or, en avril dernier, il m’apprenait qu’une simple requête suffisait, mais il n’avait rien entrepris tout en sachant que je dois survivre avec 1.700 Francs par mois avec un jeune enfant à charge.  Il m’a ainsi fait perdre beaucoup de temps.
Je résume mes problèmes dans l’affaire POMAL en précisant que je n’ai pas été défendue correctement faute de documents, l’avocat ayant rendu le dossier des mois auparavant, mais avait déposé des Conclusions que j’ignorais, d’autres documents étant en possession de Monsieur BOULIER qui refuse de me les remettre.  Que puis-je faire ?
Je demande ce que je peux faire contre Maître GUY qui m’avait « défendue » à mon insu, dans une affaire dont j’ignorais tout, et dans laquelle j’ai été condamnée à tort à mon insu à verser une somme qu’il m’est impossible de payer.  
Je fais remarquer au Bâtonnier que je ne sais plus comment faire pour me défendre.  En refermant l’enveloppe, je reprends un peu d’espoir.
(Réponse le 10 juin 1998)

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1 mars 2008 6 01 /03 /mars /2008 19:00
14 mai
La SACEM me confirme sa créance et m’envoie des copies des accusées de réception.  Je découvre que leur première lettre avait été réceptionnée le 23 janvier 1995 par RAOUL et la deuxième le 12 janvier 1996 par une personne dont je ne reconnais pas la signature; je suppose qu’il doit s’agir du successeur du local commercial.  Cela prouve que les PTT étaient vraiment fautifs.  Le 19 mars et le 17 juillet 1996, c’est moi qui avais réceptionné les deux dernières lettres recommandées à Bornac.  Si les deux premières lettres m’avaient été remises, j’aurais pu intervenir à temps au lieu de me retrouver maintenant avec une dette majorée de pénalités et de frais disproportionnés, alors que RAOUL prétend qu’il ne doit plus rien à la SACEM vu qu’il s’était arrangé avec le responsable en négociant « musique contre repas ».
    
18 mai
Je suis actuellement si nerveuse que j’arrive à peine à sortir un bonbon de son papier d’emballage, de mettre une lettre sous enveloppe ou de glisser une feuille dans une pochette plastique.  Mes nuits sont courtes, je ne trouve pas le sommeil. Une fois couchée, tous les problèmes font le défilé incessant habituel.  De nouvelles questions me viennent. Je commence alors à rédiger mes courriers pour le lendemain, courriers à ne surtout pas oublier ; j’ai toujours peur d’oublier quelque chose depuis que je me suis aperçu que les antidépresseurs avaient joué sur ma capacité de mémorisation.  C’est par le pharmacien que j’ai eu confirmation de mon soupçon.  J’ai gardé cette peur même après avoir arrêté l’ensemble des médicaments en mai 1997 et je ne suis toujours pas convaincue d’avoir récupéré toutes mes facultés.  Comme j’ai la tête encombrée par tous les problèmes à résoudre, j’oublie forcément certains points, points que je ne devrais pas oublier pour pouvoir les rajouter au reste des dossiers.  Alors je les note : dans ma tête la nuit, dans mes courriers le jour, courriers qui n’en finissent pas…

Je retourne au Service Social à la Mairie de Perlieux pour accélérer l’obtention d’un logement social en ville et pour demander de l’appui pour trouver un emploi.  On me promet d’intervenir si je voyais une ouverture.  Mais comme toutes les portes restent fermées ...  

Vu que je n’arrive pas à digérer le Jugement de Divorce à Torts Partagés, je demande à Maître CORNIAUD de faire annuler par tous les moyens le Jugement de Divorce totalement inacceptable pour moi vu ce que j’ai dû subir.  Je lui répète qu’il était bel et bien en possession de la Signification du Jugement de Divorce que je lui avais déposée dans sa boîte aux lettres quelques jours après sa réception début janvier et que je ne continuerais pas ma vie avec un Jugement à torts partagés sur le dos, Jugement que je considère comme tout à fait injuste.
Je le prie d’intervenir dans le litige avec Monsieur JULE concernant la toile murale et la porte décorée, objets que je n’arrive toujours pas à récupérer.
J’exprime ma crainte que Maître TOUR ne vérifie pas les créances déclarées et demande comment je peux défendre mes intérêts au niveau des PRUNELLES.  
(pas de réponse, pas de suite)  

23 mai
Nous rentrons sous la chaleur d’une longue promenade en compagnie d’une copine à EMMA. Pour se rafraîchir, les filles veulent se baigner dans un petit bateau gonflable sur la terrasse, mais très vite elles constatent avec désolation qu’il est percé.  Il n’y a qu’une solution : une des filles se baigne, l’autre pompe.  Malgré cet inconvénient, elles s’amusent comme des petites folles.  Il ne faut pas grand-chose pour être heureux !  Si seulement je pouvais rire comme elles …

EMMA me fait remarquer que je ne joue pas assez avec elle ; elle a raison.  Déjà, je ne suis pas une joueuse de nature et ensuite, je dois dire, ces derniers temps, je suis si occupée et préoccupée par mille et une choses désagréables, que je n’ai aucune envie de jouer, même avec ma fille.  C’est triste de l’admettre, mais c’est la vérité.  Pourtant, je voudrais bien avoir la tête libre pour des occupations plus agréables que d’essayer de faire des recherches pour comprendre comment RAOUL a pu nous mettre dans une situation aussi catastrophique.  En fait, c’est aussi une sorte de jeu : trouver petit à petit les morceaux manquants du Puzzle et essayer de les mettre à la bonne place.  Je crains de plus en plus que je me sois lancée dans un Puzzle gigantesque…  

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26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 18:39
13 mai
Suite à mon courrier du 6 avril dernier concernant la toile murale et la porte décorée, Maître TOUR me demande de m’approcher de Maître ESTA qui a réalisé l’inventaire, si je veux les récupérer.  En lisant sa lettre, j’ai l’impression que je tourne en rond et que les parties concernées se renvoient la balle : Maître ESTA avait bien dit ne rien pouvoir faire sans instructions de Maître TOUR, et maintenant Maître TOUR me demande de voir ce problème directement avec l’huissier.  Bien que la toile murale et la porte décorée ne figurent pas dans l’inventaire, je crains que Maître ESTA saisisse ces deux objets pour les brader dans une prochaine vente aux enchères.  Pour éviter cela, je préfère ne pas passer par Maître ESTA.

A ma demande du 20 avril dernier, d’étendre ma liquidation judiciaire à Monsieur BOULIER,  comme Maître MATOU et la Chambre des Métiers me l’avaient conseillé de demander, Maître TOUR m’informe que cela n’est pas possible étant donné que Monsieur BOULIER est déjà lui-même en liquidation judiciaire.  Maître MATOU n’aurait-il pas dû le savoir ?
Concernant les PRUNELLES, Maître TOUR répond que « la procédure portant sur la réalisation de la maison en Seine et Marne est toujours en cours », sans me donner de précisions.  Une telle réponse ne me renseigne vraiment pas.
Je reçois également - comme je l’avais demandé - la copie de la déclaration de créance GENO, mais pas de justificatif.  Par contre, je découvre d’autres documents dont j’aurais dû avoir connaissance : l’Injonction et le Commandement du 19 octobre 1995 et l’Ordonnance No. 954 000423, documents que RAOUL avait tous réceptionnés sans me les transmettre. Il savait pourquoi !  Je dois le signaler à Maître TOUR pour lui démontrer une fois de plus ma méconnaissance des événements à la GOURMANDISE et lui demander le justificatif oublié.
En épluchant l’Ordonnance, je constate qu’il y est marqué : « défendeur : BOULIER, KATY
« représentant : ……………. »
C’est donc bien la preuve que je n’avais pas été représentée, que je n’avais pas pu me défendre dans cette affaire.  RAOUL ne s’était même pas présenté à ma place !   Je me demande comment il a pu oser me faire cela et pourquoi le Tribunal de Commerce n’avait pas réagi à mon absenceLa procédure avait continué quand même, sans avoir entendu toutes les parties.

Suite à ma question pourquoi l’état des créances de la GOURMANDISE fait figurer des postes qui ne concernent pas l’activité du restaurant, Maître TOUR m’explique : « Vous exerciez à titre individuel ; la procédure de la liquidation judiciaire concerne l’ENSEMBLE de votre endettement ».  
Je reste sidérée.  C’est un coup dur, puisque je croyais qu’en relativement peu de temps, les dettes de la GOURMANDISE seraient épongées avec ma part aux loyers provenant des PRUNELLES.  Ce calcul erroné est donc à oublier !  Je me retrouve confrontée à une montagne de dettes se montant à environ deux millions de Francs !  C’est de quoi perdre la tête ou de se la rentrer dans un mur !  Je suis dans tous mes états !

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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 18:38
5 mai
J’en ai assez d’attendre et de faire un courrier après l’autre pour poser toujours les mêmes questions !  Finalement j’en informe le Tribunal de Commerce des problèmes que j’ai avec Maître TOUR, à savoir :
Il ne répond pas à la plupart des courriers.
Il n’applique pas l’Ordonnance du Tribunal de Commerce rendue le 12 décembre 1996.
Il ne se procure pas la comptabilité.
Il n’applique pas le Constat d’Inventaire du 29 août 1996.
Il ne fournit pas de preuve s’il a porté effectivement plainte contre Monsieur BOULIER.
Il ne me renseigne pas sur l’état financier actuel de la GOURMANDISE

J’en profite pour poser des questions générales sur la procédure de la liquidation judiciaire dont je suis très mal informée.  Je signale également les problèmes que rencontre avec Maître ESTA et demande comment je peux me procurer la comptabilité que Monsieur BOULIER détient toujours.  
(pas de réponse)

7 mai
Je suis étonnée de recevoir par retour de courrier une réponse du Juge aux Affaires Familiales à qui je m’étais adressée, il y a seulement trois jours, pour me plaindre de la manière dont j’ai été traitée par les avocats dans la procédure de divorce.  Il m’explique que le justiciable ne peut pas intervenir à l’audience de divorce ; il ne faut donc pas avoir de regrets de ne pas avoir pu y assister faute de convocation.  Etant donné que le délai d’appel est passé, il n’y a aucune voie de recours « ce qui ne doit en aucun cas, vous conduire à la dépression ... ».  J’apprends que l’avocat doit communiquer la date de l’audience, que « les effets du divorce à l’égard de tiers interviennent à la date de la transcription du Jugement » et que lors de la liquidation du régime matrimonial, le notaire doit tenir compte des dettes.  
(Annotation : Entre mi-avril 1996, demande de divorce, et le 23 mars 1998, transcription du Jugement de Divorce, je risquais d’être tenue responsable des actes de RAOUL.  Personne ne m’en avait avertie ; j’en ai été consciente seulement beaucoup plus tard.  Malgré ma demande en 1996 de faire la séparation des corps et des biens jusqu’au prononcé du divorce pour me protéger d’éventuelles nouvelles dettes que Monsieur BOULIER pourrait faire, l’avocat n’a RIEN fait.)

Je reste étonnée de cette réponse, certes de bonne volonté, mais insatisfaisante à mes yeux, n’admettant aucune faute des avocats.  Je suis toujours du même avis qu’avant : A quoi sert un Jugement s’il ne tient pas compte de l’ensemble des faits ?  Autant d’aller signer un papier en disant : on divorce et c’est tout.  Je ne digère toujours pas qu’on m’attribue des torts, alors que je n’en vois pas, et que les reproches, avancés par RAOUL dans ses Conclusions, sont de purs mensonges.

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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 18:37
4 mai
J’ai rendez-vous avec Maître CORNIAUD.  J’y vais dans l’espoir d’avancer dans l’appel au Jugement de Divorce pour me débarrasser enfin d’un Jugement qui a été rendu sur de fausses bases et qui m’a profondément blessée et me blesse toujours dès que j’y pense.
Je suis stupéfaite d’apprendre que Maître CORNIAUD n’a toujours pas fait appel, prétendant qu’il lui manque la Signification du Jugement. Pourtant, je la lui avais déposée personnellement dans sa boîte aux lettres le 8 janvier dernier en même temps que le dossier d’aide juridictionnelle qu’il prétend ne pas avoir non plus.
Quant à la pension alimentaire, l’avocat m’informe qu’une simple requête auprès du Juge aux Affaires Familiales suffit pour en obtenir une ; il ne serait pas nécessaire de passer par l’appel au Jugement de Divorce.  Je me demande pourquoi il n’a pas fait le nécessaire depuis septembre dernier, lorsque je lui avais décrit ma situation catastrophique.  Je veux obtenir trois choses pour EMMA : une pension alimentaire puisque le père a maintenant une bonne situation, la libre circulation pour l’étranger et le transport de l’enfant exclusivement par le père et non par une tierce personne, comme le permet le Jugement. 
 
Malgré cette première déception, ne sachant à qui d’autre m’adresser, je charge Maître CORNIAUD en tout de quinze dossiers. 
Quant aux dossiers SNIV et FRANCFINE, je contredis Maître CORNIAUD qui prétend qu’une banque ne peut pas obtenir la levée de forclusion, puisque la SNIV l’a obtenue le 17 septembre 1997.  Je crains que cela soit également possible pour FRANCFINE qui détient un Jugement à mon nom.
Je demande à l’avocat de m’aider à porter plainte contre Monsieur BOULIER et d’intervenir auprès de Maître TOUR pour qu’il fasse enfin correctement son travail de syndic.
Je suis soulagée d’apprendre que la liquidation judiciaire empêcherait toute saisie sur salaire.
(Annotation : D’après le renseignement pris à la Chambre des Métiers en 2003,  le mandataire PEUT saisir une partie du salaire si toutes les dettes n’ont pas pu être réglées dans le cadre de la liquidation judiciaire.)
Je suis étonnée que Maître CORNIAUD exige de moi de prendre un rendez-vous au secrétariat si je veux obtenir une réponse à mes courriers.  Je préférerais de loin des réponses par écrit ; j’ai bien appris que SEUL l’écrit compte en cas de problèmes
Après avoir fait le tour des problèmes à résoudre,  je regagne un peu d’espoir en me disant que j’ai fait ce que j’ai pu.  Le CIDFF m’avait bien confirmé que seul un avocat pourrait m’aider à résoudre les problèmes existants.  Voyons la suite...
(Annotation : Maître CORNIAUD ne fera rien.)

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14 février 2008 4 14 /02 /février /2008 18:24
6 avril    
Comme je n’ai toujours pas de réponse de la part du Procureur de la République au sujet de l’état de ma plainte déposée le 28 mai 1997 contre Monsieur BOULIER et vu que des procédures étaient en cours tant sur le plan civil que pénal d’après Maître TOUR, je demande au syndic s’il a des nouvelles et si je peux obtenir une copie de son rapport au Procureur de la République.  
(Annotation : Je ne l’ai jamais obtenue.)

Suite à ma demande, Maître TOUR m’a fait parvenir les deux procès-verbaux des ventes aux enchères.  Je constate des incohérences entre le matériel saisi et le matériel vendu.  De nouveaux courriers s’imposent…  

9 avril
Je suis déçue : Maître ESTA m’informe qu’il n’a reçu aucun mandat d’exécution pour saisir des objets privés et professionnels entreposés au domicile de Monsieur BOULIER malgré l’Ordonnance du Tribunal de Commerce rendue le 12 décembre 1996.  A quoi sert-il de rendre des Ordonnances si elles ne sont pas appliquées ?  RAOUL avait largement le temps de bazarder tout le matériel professionnel et de partir avec les fonds récoltés au lieu de rembourser les créanciers.

11 avril
Je suis agréablement surprise de recevoir aussi rapidement une réponse du Bâtonnier, à qui je m’étais adressée dans mon désarroi pour me plaindre que depuis deux ans maintenant, je me heurtais à des murs et que d’après le CIDFF, mon seul recours consistait en l’aide d’un avocat.  Or, ces derniers ne font rien pour m’assister dans les dossiers qui s’accumulent.  J’avais précisé que je dépendais de l’aide juridictionnelle vu ma situation précaire, que j’ai dû faire l’expérience amère que je n’intéressais aucun avocat et que je ne savais plus quoi faire pour me défendre.  Mais à la lecture de son courrier je suis vite déçue : tout ce que le Bâtonnier me conseille est d’aller voir mon « conseil habituel » sinon d’aller aux consultations gratuites.  Je m’attendais à une meilleure réponse ; celle-ci ne me servira à rien.

Mes journées continuent à être occupées par des recherches difficiles pour compléter petit à petit tous les dossiers à problèmes.  Je fais le tour des quelques fournisseurs dont je connais le nom pour leur expliquer ma situation et demander de justifier leurs créances vu que tous les courriers avaient été interceptés par Monsieur BOULIER.  
Je vais mal ; je réalise lentement l’ampleur des problèmes créés par RAOUL derrière mon dos depuis plusieurs années, problèmes qu’il a essayés de me cacher par le mensonge et des actes relevant du Code Pénal.  Je n’arrête pas de me poser continuellement la même question : comment un mari peut-il nuire sciemment à sa famille et oser de regarder encore sa femme en face ?  Quelques mois avant la demande de divorce, donc début 1996, RAOUL n’en était plus capable ; son regard me semblait si faux !  

17 avril
Comme je n’ai toujours pas de nouvelles de Maître CORNIAUD ni pour l’appel au Jugement de Divorce, ni pour le dossier BENBIRA, j’appelle l’étude.  Le secrétariat me confirme ma crainte : rien n’a été entrepris par Maître CORNIAUD.  Je suis sidérée et ne sais plus à qui m’adresser, quoi faire.  Je commence à me poser la question s’il ne faut pas changer d’avocat une troisième fois….

J’ai remarqué que le prêt du docteur SABELKA de 28.000 Francs ne figure pas dans l’état des créances et demande à Maître TOUR de rajouter ce poste pour que cette personne puisse participer à la distribution des fonds, s’il y en a...
(pas de réponse)
(Annotation : Maître TOUR ne rectifiera jamais l’état des créances.)

21 avril

Suite à ma lettre du 6 avril dernier, demandant au Trésor Public des explications sur les deux postes de 1.700 et 1.334 Francs figurant dans l’état des créances, concernant la taxe professionnelle non réglée en 1995,  on me répond que la somme de 1.334 Francs, déclarée chez Maître TOUR, représente le montant de la taxe professionnelle 1995 qui n’avait pas été réglée et les 1.700 Francs à titre provisionnel représentaient le montant prévu pour celle de 1996.  Vu qu’elle ne sera pas mise en recouvrement, la déclaration est annulée.  Je suis contente : C’est déjà un poste réduit !  Si je n’avais pas interrogé le Trésor Public, le montant de la créance déclarée n’aurait pas changé.

22 avril
Maître TOUR me confirme avoir transmis au Procureur de la République mon courrier signalant l’interception de toutes les lettres recommandées à mon nom par Monsieur BOULIER et m’envoie une copie de l’attestation des PTT admettant leur faute, attestation dont j’avais transmis l’original par erreur au Tribunal de Commerce et que j’essaie en vain de récupérer ; mais malgré d’innombrables courriers, personne ne donne suite à ma demande.
Je suis tellement préoccupée par tous ces dossiers et courriers, démarches et coups de téléphone, que je délaisse un peu notre vie privée.  J’espère qu’EMMA ne m’en voudra pas.  Je me sens épuisée et vite surmenée.

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10 février 2008 7 10 /02 /février /2008 18:44
2 avril
Suite à ma demande, Maître MATOU envoie ses Conclusions du 14 avril 1997 dans l’affaire POMAL en précisant : « Les Conclusions sont celles qui avaient été développées par votre précédent avocat, Maître SACO, qui avait été signifiées le 21 novembre 1995 ».
Mais je ne connais pas les Conclusions de Maître SACO !  C’est RAOUL qui les avait approuvées à l’époque et qui les a gardées refusant toujours de me les remettre, tout comme la version finale de ses commentaires à l’expertise, documents dont j’ai besoin pour ma défense.  Je voudrais bien en savoir plus !

4 avril
Je n’arrête pas avec les courriers !  Dès que j’ai fini un pour résoudre un problème, le facteur m’apporte d’autres mauvaises nouvelles qui demandent à nouveau des courriers.  Si j’obtenais toujours une réponse à mes lettres, je pourrais économiser beaucoup de travail.  Les syndics semblent avoir tous la même maladie : de ne pas répondre aux questions qu’on leur pose.  Je rappelle à Maître CHARLOT que six courriers de 1997 sont restés sans réponse de sa part à ce jour et à Maître TOUR que je voudrais bien connaître l’issue de la procédure engagée contre les occupants des PRUNELLES.  Peut-être aurai-je plus de chances cette fois-ci ?
(pas de réponse de Maître CHARLOT, réponse de Maître TOUR le 13 mai)

En reprenant les dossiers, je constate que trop de questions restent sans réponse ; je n’ai pas le choix, je dois continuer à interroger RAOUL par courrier, coûte que coûte.  Les questions se bousculent :
Je voudrais savoir comment il était possible d’avoir été mis en liquidation judiciaire en 1993, alors que le chiffre d’affaires de 1990 à 1993 était élevé.  Comment, dans une situation de cessation de paiement, pouvait-il avoir des factures astronomiques d’hôtel et de restaurant de luxe ?  Pourquoi avait-il pris à la SNIV un crédit de 150.000 Francs sur cinq ans en 1988, l’année de naissance d’EMMA ?   Ce crédit a-t-il été remboursé ?  Où se trouvent les biens professionnels de la GOURMANDISE depuis la fermeture en décembre 1995 ainsi que la comptabilité ?  Quelle est la situation des PRUNELLES et où en est l’assurance de la propriété ?  Combien a-t-il pu tirer de la comtoise qu’il a vendue à mon insu ?  Comment et quand le prêt personnel du docteur SABELKA sera-t-il remboursé ?  Je voudrais avoir la preuve que ses cotisations pour sa retraite ainsi que les miennes ont été mises à jour et que sa sœur a été remboursée intégralement comme prétendu.  Pour quelle raison une sommation de vente avait-elle eu lieu en novembre 1996 et quels biens de la communauté avaient été vendus, quels créanciers avaient été remboursés avec le produit de la vente ?  Je l’interroge sur des noms de sociétés dont Maître CIRE, l’huissier chargé du dossier BOULIER, m’a parlé, mais qui ne me disaient absolument rien.  A qui avait-il remis les clés du local commercial en décembre 1995 ?  Quelle est la situation des comptes au 31 décembre 1995 ?  Il me faut absolument tous les documents concernant la société CARTONS DUMARS que je dois fournir au syndic.
Je lui rappelle qu’il m’avait promis en été 1997, que j’aurais des nouvelles au sujet du procès en cours contre la ROYAL SAGE.  Or, à ce jour, je suis toujours sans nouvelles.  Concernant ORGANIC, je souhaiterais savoir pourquoi les cotisations n’ont pas été réglées depuis 1988, ni rattrapées entre 1990 et 1992, années à chiffres d’affaires élevés, pourquoi la proposition de ORGANIC de verser tous les mois 6.000 Francs pour apurer le retard, n’a pas été respectée malgré l’avertissement lancé par l’huissier.  
Où est allé l’argent que nous avions gagné entre 1990 et 1992 ?  Comment a-t-il pu acheter une VOLVO à crédit et faire des frais astronomiques d’hôtel et de restaurant de luxe alors qu’il était endetté par-dessus la tête ?  Quel est l’état de ce crédit et à combien se monte le produit de vente du véhicule ?

Je rappelle à RAOUL que seize courriers de 1998 et trois courriers de 1997 sont restés sans réponse de sa part, courriers qui concernent tous les problèmes que LUI a causés et pour lesquels on me tient MOI maintenant responsable en se basant sur le fait que j’étais mariée sous le régime de la communauté.  
Aurai-je une réponse cette fois-ci ?  En refermant ma lettre, j’espère que l’avocat de RAOUL, par qui doit passer tout courrier sur exigence de RAOUL depuis 1996, la transmettra effectivement à son client.
(Annotation : D’après RAOUL, l’avocat ne l’a pas fait.  Je ne sais pas si je dois le croire puisque RAOUL ne m’a donné AUCUNE explication dans aucun des dossiers à ce jour.)
(pas de réponse)

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6 février 2008 3 06 /02 /février /2008 18:43
suite de fin mars
Cette période me pèse et m’use nerveusement à l’extrême.  Je n’ai plus d’appétit, je me sens épuisée.  Le soir, je m’écroule, mais je ne dors pas pour autant. J’ai très peur que mes problèmes de dépression recommencent, tellement cette reconstitution du passé, la recherche des faits me fait souffrir.  Me rendre compte que mon mari m’a menti depuis des années - alors qu’il savait que j’ai horreur du mensonge - c’est endurer une véritable torture.  M’apercevoir que RAOUL a souvent retourné la flèche contre moi pour se défendre lui-même, c’est voir enfin la réalité.  Plus d’une fois, il m’a lancé : « Tu ne penses qu’au fric », alors c’est LUI qui a créé tous les problèmes d’argent ; moi, je n’ai que travaillé, jusqu’à épuisement nerveux et physique ; jamais de ma vie je n’ai dû avaler autant de médicaments que pendant la période du mariage ; jamais de ma vie je n’ai eu autant de problèmes de santé alors que je n’avais pas une santé fragile ; je me suis démenée pour le bien de la famille, c’est au moins ce que je croyais, en acceptant des privations sur tous les plans pendant les meilleures années de ma vie, allant de l’habillement jusqu’aux loisirs.  Je travaillais, je faisais rentrer l’argent, mais je n’avais aucune possibilité de le dépenser pour deux raisons : Premièrement, il ne passait jamais dans mes mains, mais toujours dans les mains de RAOUL ; deuxièmement, je n’avais aucune occasion de le dépenser puisque isolée en pleine campagne, sans véhicule, comment aller faire du shopping ?  J’ai tellement honte de découvrir que mon mari a commis des actes vis-à-vis de moi relevant du Code Pénal !
 
Je réalise que la meilleure chose pour pouvoir repartir sur le bon chemin serait la vente des PRUNELLES pour éponger tout ce qui doit être épongé depuis des années, vente forcée puisque j’ai l’impression RAOUL ne s’occupe même plus de trouver lui-même un acquéreur, possibilité encore ouverte pour nous, pour en tirer un maximum, si ce n’est pas déjà trop tard.  Je ne sais plus où en est l’affaire puisque RAOUL n’a pas tenu sa promesse de 1997 de me donner des nouvelles dès le retour de vacances de son avocat, et mon syndic m’a informée d’une manière laconique que « des procédures étaient en cours ».  Moi, de mon côté,  j’ai essayé de faire passer une publicité sur Internet pour les PRUNELLES, message qui doit être mal placé puisqu’il est resté sans aucun contact et a été introuvable lorsque j’ai fait un essai de recherche.  Une fois la propriété correctement vendue, je pourrais repartir à zéro et cela au mieux à cinquante ans !   Il m’est impossible d’accepter de me retrouver dans une telle situation sans la moindre explication de la part de RAOUL.  Toutes mes questions sont restées sans réponse de sa part,  aucun effort n’a été fait pour assainir la situation.  Comment un mari peut-il traiter ainsi son épouse ?  Je sais que je n’aurai jamais de réponse à cette question, ce qui ne m’empêche pas de me la poser.  Prétendre aimer l’épouse et lui gâcher le fruit de vingt années de travail, lui gâcher son avenir, nuire aux conditions de vie de ses enfants, comment cela est-ce possible ?  Je crois qu’une personne saine d’esprit, ne peut pas comprendre, s’il y a quelque chose à y comprendre.

Lorsque je suis penchée sur les dossiers, j’ai souvent envie de vomir, l’estomac se retourne, j’ai des malaises, parfois je ne sais plus comment me tenir sur ma chaise, j’ai des problèmes de respiration.  Ce travail est tellement prenant que je n’ai même plus assez de temps pour faire mes longues balades avec TOMMY.  J’avoue que je néglige même le travail extra-scolaire d’EMMA.  Mais je n’ai vraiment pas la tête à ça !  Je n’ai qu’une seule pensée qui domine absolument tout : Comment un père de famille peut-il créer de tels problèmes à sa famille ?  Cette pensée devient une obsession qui ne me lâche plus.  Elle m’empêche de trouver le sommeil dont j’ai tant besoin pour récupérer ; cela me fait des nuits courtes et des journées dures jusqu’à ce que je m’écroule le soir d’épuisement général.  Souvent, même le verre de lait chaud ne fait plus d’effet.  Il n’est donc pas étonnant que j’aie encore maigri, j’arrive à 56 kg.  Même les copines de la gym me font remarquer que j’ai beaucoup fondu ; 17 kg en deux ans, cela se remarque !  Je dois ranger les vêtements de ma mère dans lesquels je flotte maintenant.  Oui, avoir des soucis est un excellent remède d’amaigrissement !

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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 18:42
fin mars
Je suis toujours dans les papiers, papiers qui n’en finissent pas, qui m’occupent pratiquement tous les jours.  Ainsi je n’ai plus le temps de bien suivre mes cours du CNED, ni faire mes derniers devoirs obligatoires que je dois envoyer à la correction.  Il est actuellement plus important de comprendre enfin comment RAOUL nous a pu mettre dans une situation aussi catastrophique.  Je continue à chercher les morceaux du puzzle pour les assembler ;  lentement le puzzle commence à prendre forme, ce puzzle dont je ne soupçonnais pas l’importance.  Peu à peu je complète les historiques résumant les faits, historiques que j’ai commencé à établir pour chaque dossier à problèmes.
Souvent, je reconstitue des fragments ignorant encore le vrai problème.  Mais je découvre à ma grande stupeur que le point de départ de la liquidation judiciaire de RAOUL était le non-paiement des cotisations sociales à ORGANIC de l’ordre de 64.000 Francs majorés d’environ 10.000 Francs de pénalités de retard en 1990, raison pour laquelle il fut assigné pour non-paiement de cotisations.  Il paraît que RAOUL n'ait pas respecté le plan de financement proposé par ORGANIC de verser 6.000 Francs par mois pour rattraper le retard.  En mai 1992, Maître CRAU, huissier à Couliers, avait mis en garde RAOUL d’un redressement judiciaire s’il ne régularisait pas ses cotisations sociales.  Une semaine plus tard, le redressement judiciaire de Monsieur BOULIER fut prononcé et un an plus tard, en juin 1993, sa liquidation judiciaire.  Il m’est tout à fait incompréhensible pourquoi RAOUL n’a pas profité de l’année pour assainir la situation de l’entreprise.  Je suis sûre, ENSEMBLE nous aurions pu trouver une solution au lieu de s’embourber SEUL, comme RAOUL l’a fait.
RAOUL avait toujours nié d’avoir des problèmes avec les organismes sociaux ; il m’avait raconté une histoire d’appels de cotisations injustifiés pour l’ancien employé.  Malgré un chiffre d’affaires cumulé de plus de 1 Million de Francs en 1990 et 1991, RAOUL n’avait pas payé les cotisations.  Qu’a-t-il fait de tout l’argent qui lui passait entre les mains ?  Par son attitude d’autruche, RAOUL a fait perdre ainsi à sa famille environ 2 millions de Francs en bien immobilier !  Il faut être fou pour se mettre dans une telle situation !  Je n’ai pas d’autres explications, mais peut-être n’ai-je pas encore découvert le fond de l’histoire ?  Ou peut-être, RAOUL est-il effectivement devenu fou ?  Je le crains et je crains ne pas encore avoir découvert tout.

Je ne reviens pas des nombreux problèmes créés par RAOUL derrière mon dos depuis 1989, alors qu’EMMA n’avait qu’un an et que je croyais les affaires marchaient bien. La seule chose que je ne comprenais pas à l’époque, c’était le fait que malgré tout le travail que je sortais de l’atelier, nous n’arrivions pas à mettre de l’argent de côté, que nous vivions toujours du jour au jour, manière de vivre qui me déplaisait fortement et que je souhaitais changer.  Je voulais avoir une réserve de 60.000 Francs, réserve qui nous aurait permis de survivre cinq mois en cas de gros pépins.  Je me souviens très bien de la réponse de RAOUL à l’époque : « Tu ne te rends pas compte ce que les PRUNELLES nous coûtent !  Je ne mets rien dans ma poche ».  La réponse ne me satisfaisait pas, puisque depuis un certain temps, nous ne faisions plus de « gros » achats, ni de travaux, mais j’étais loin d’imaginer la vraie raison de nos problèmes permanents de trésorerie.  

Je me demande comment, un jour, je pourrai expliquer à GREG les problèmes créés par son père, problèmes qui le concernent directement puisqu’il perd, comme sa soeur, tout son héritage et risque d’être appelé à payer les dettes de ses parents le jour où il aura un salaire. Mais lui en parler n’aura de sens que le jour où il voudra bien me croire.  Il est donc de mon devoir de reconstituer dans la mesure du possible le passé depuis 1989, ce qui est une tâche extrêmement difficile puisque je constate que je me heurte partout à des murs de silence au lieu qu’on m’aide : Tribunaux de Commerce, syndics, avocats, banques, Procureur de la République, huissier, créanciers, tous semblent être du côté du coupable.  De quoi se rentrer la tête dans un mur !  

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