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  • : FUKUSHIMA ATTENTION DANGER
  • : avertissements et conseils à l'Humanité - warnings and advice to Humanity - But du blog : œuvrer pour un monde meilleur en publiant - des messages reçus du Monde Invisible - des articles sur l'environnement et la santé aim of this blog : help to make the world a better place by publishing messages from the Invisible World and articles on environmental and health issues - le témoignage sur les risques et conséquences du régime matrimonial légal
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Recherche éditeur - Looking for editor

Recherche éditeur pour la publication et diffusion à l'échelle mondiale du recueil de Messages Divins JESUS EN DIRECT et de FUKUSHIMA.

 

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APPEL URGENT

pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011

URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011


____________________

 

"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."

Albert Einstein


"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,

mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

Albert Einstein

 

"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."

George Orwell

 

"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "

  Henry Miller


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Think again, think seven times again before you leap 
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006

30 juillet 2007 1 30 /07 /juillet /2007 10:12
13 mai
Le Jugement de divorce est prononcé.
(Annotation : Maître MATOU me l’envoie le 5 juin)
 
Je me sens toujours très mal et ne sais pas comment passer la journée. J’ai hâte de pouvoir joindre le médecin de campagne que je n’ai jamais encore rencontré depuis que nous habitons ici, pour lui demander conseil et avoir un autre avis. Il est en tournée et je dois attendre son retour. L’attente me paraît une éternité. Je ne sais plus comment me tenir, je ne tiens ni debout, ni assise, ni couchée ; tout me fait mal, je suis mal à l’aise dans toutes les positions. Lorsque je l’ai enfin au bout du fil, le médecin n’est absolument pas étonné de ce qui m’arrive et me conseille de reprendre une demie dose de somnifère pour pouvoir au moins retrouver un peu de sommeil. Mais la nuit est aussi longue que les précédentes passées sans somnifère. Le lendemain matin, je me lève complètement épuisée. Inutile donc de reprendre ces saletés-là. Pourquoi le psychiatre ne m’a-t-il pas hospitalisée pour le sevrage ?
 
14 mai
Je ne tiens plus debout. Je passe ma journée dans le fauteuil ; la position debout est trop pénible, j’ai très peur de tomber à tout moment. Je ne suis même plus capable de me faire à manger et je me contente de grignoter un peu juste pour me couper la faim. Les nausées ne m’encouragent pas non plus de faire un vrai repas. En raison du manque de sensibilité dans les doigts, je ne peux plus taper correctement à la machine ou écrire à la main. Avec le plus gros mal, je réussis à sortir une lettre à Maître TOUR pour lui demander conseil sur mon intention de porter plainte contre Monsieur BOULIER, la question me tracassant trop pour la repousser. Mais je suis dans l’impossibilité d’en faire plus ; mes autres courriers doivent attendre des jours meilleurs. J’ai si peur qu’il m’arrive un accident et qu’EMMA me trouve étalée dans la maison. Surtout pas ça ! C’est ma hantise numéro un, je n’arrête pas d’y penser.
 
Dans la nuit, je me réveille complètement trempée de sueur, totalement épuisée. J’ai l’impression de suffoquer sous un énorme poids sur la poitrine. Du jamais vécu ! J’essaie en vain de reprendre une respiration normale - mais cela m’est impossible, je manque d’air. L’énormité du poids sur ma poitrine est trop forte. J’ai l’impression que je n’arriverai jamais à sortir du lit ; je retombe à plusieurs reprises. Je regarde EMMA qui dort paisiblement à côté de moi et ne se doute pas heureusement de ce qui arrive à sa maman. Tout ce que j’espère en ce moment, c’est qu’elle ne se réveille pas pour ne pas me voir dans cet état-là ; je lui ferais peur. Après de longs et d’énormes efforts, tout en sueurs, je réussis enfin à me lever très péniblement. Arrivée à l’escalier, j’ai à nouveau très peur, j’ai trop le vertige. Je descends l’escalier comme une mort vivante pour me traîner jusqu’au téléphone. Epuisée, je me laisse tomber sur une chaise avant de décrocher le combiné. Je ne vois pas d’autre solution que de contacter le SAMU pour pouvoir parler à quelqu’un et demander conseil. J’ai peur de claquer. J’ai l’impression que ma dernière heure est arrivée et je m’inquiète à l’extrême pour EMMA : si elle me trouvait morte demain matin ? Des idées noires, mais parfaitement réalistes, me traversent la tête. Mais je suis trop occupée de mon état physique pour les poursuivre jusqu’au bout, réfléchir est devenu trop difficile. Je me sens si mal que je ne sais pas comment me tenir sur la chaise à côté du téléphone. Composer le numéro du SAMU devient une difficulté qui me paraît insurmontable. Je suis soulagée lorsque j’y arrive après plusieurs tentatives. J’ai toujours du mal à respirer ; cette bête qui m’écrase la poitrine ne veut pas bouger. Dès que j’entends le médecin au bout du fil, je me sens un peu moins seule. Si je devais mourir maintenant, au moins il y aurait quelqu’un avec moi, même si ce n’était qu’à distance.  Au moins quelqu’un serait prévenu, pour s’occuper d’EMMA, pour s’occuper de tout le reste en cas de décès. Je résume avec difficulté ma situation et décris mon état. Le médecin n’est pas étonné : j’ai développé tous les symptômes d’un « sevrage », probablement trop brutal, d’après lui. Il me prévient que les prochains jours seront aussi pénibles, mais qu’il n’y a pas d’autre solution si je veux m’en sortir pour de bon. C’est ce que je souhaite - réussir, m’en sortir, c’est mon seul but actuellement. Lorsqu’il commence à me conseiller de reprendre une dose plus importante de l’antidépresseur et de reprendre le somnifère juste pour surmonter cette crise, je refuse catégoriquement. Je veux bien souffrir, tant que je n’en crève pas.  Mais en aucun cas, je ne ferai marche arrière. Je lui fais comprendre très clairement que je veux à tout prix me débarrasser de cette saleté de traitement pour retrouver toutes mes facultés dont le traitement m’a privée. J’ai l’impression qu’il me comprend et me dit que cela sera la meilleure chose à faire, mais que le chemin sera long et extrêmement dur. Pour atténuer les terribles angoisses qui me provoquent des troubles respiratoires, il me conseille de reprendre un peu de calmant. Je le fais à contrecoeur puisque mon état devient insupportable ; j’ai toujours l’impression que je vais m’étouffer d’un moment à l’autre, mais je n’ose pas sortir pour prendre l’air frais, j’ai trop peur…
 
Je ne voudrais qu’une seule chose : dormir - au moins un peu. Je prends tout mon courage pour remonter l’escalier ; je me tiens à la balustrade et me tire péniblement d’une marche à l’autre, une vraie ascension de force. Totalement épuisée, je m’écroule sur mon lit. Heureusement que je n’ai pas fait couper le téléphone comme je l’avais envisagé de le faire, il y a un certain temps, pour faire des économies. Jamais je n’aurais eu la force de me traîner jusqu’à la cabine téléphonique publique en face de la maison. Peut-être irai-je un tout petit peu mieux demain, assez au moins pour pouvoir m’occuper d’EMMA. Il ne faut surtout pas qu’elle s’aperçoive de mon état qui l’angoisserait, c’est sûr. Je souhaite profondément trouver un peu de sommeil qui m’arracherait pour quelques heures de mes souffrances atroces. Je me cramponne à l’espoir …   Toutes les religions, ne sont-elles pas basées sur l’espoir ? Petit à petit le calmant fait son effet ; je réussis à m’assoupir à côté d’EMMA qui dort toujours tranquillement.
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