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  • : FUKUSHIMA ATTENTION DANGER
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Recherche éditeur - Looking for editor

Recherche éditeur pour la publication et diffusion à l'échelle mondiale du recueil de Messages Divins JESUS EN DIRECT et de FUKUSHIMA.

 

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APPEL URGENT

pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011

URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011


____________________

 

"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."

Albert Einstein


"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,

mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

Albert Einstein

 

"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."

George Orwell

 

"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "

  Henry Miller


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Think again, think seven times again before you leap 
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006

23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 10:49
6  - 7 juin
A ma plus grande stupéfaction, les PTT m'informent par lettre recommandée qu'il ne leur est pas possible d'ouvrir un compte courant au nom d'EMMA.  Je soupçonne que l'interdiction bancaire qui pèse toujours sur moi, fait barrage à ma demande d'ouvrir un compte courant à son nom sur lequel j'aurais procuration en tant que représentant légal.

Pour avoir le cœur net, j'appelle les PTT à la première heure pour demander des explications.  J'apprends que je suis fichée au Fichier Central Des Chèques, raison pour laquelle les PTT me refusent d'ouvrir un compte courant.  Je n'en savais rien.  On me conseille d'aller me renseigner auprès de la BANQUE DE FRANCE et demander une attestation de droit au compte.  Je ne pourrais pas avoir un chéquier mais une carte bancaire m'explique-t-on, carte dont je n'ai pas besoin ; il me faut un chéquier pour ne plus être une handicapée dans la vie active.

Dès l'ouverture de l'après-midi, je me présente à la BANQUE DE FRANCE située dans des locaux anciens luxueux intimidants et aux boiseries sombres.  J'apprends que je suis fichée depuis 1999 et que je serai radiée le 31 octobre 2004.  Jusque là, je n'ai pratiquement aucune chance d'obtenir un prêt si je voulais demander un.  Je suis fichée pour non-paiement du crédit de la ROYAL SAGE, crédit dont RAOUL n'avait jamais réglé une seule mensualité à mon insu.  Suite à SON acte caché, moi je suis punie puisque je suis co-signataire mariée sous le régime de la communauté.  Par l'intervention de la BANQUE DE FRANCE je peux demander l'ouverture d'un compte courant, la banque m'attribuant un institut bancaire dans la région.  On me confirme que l'interdiction bancaire a été ramenée de dix à cinq ans en avril 2001 ; je pourrais donc enfin avoir un chéquier si je n'étais pas fichée !  Je ne comprends pas pourquoi Maître POPA ne m'en a jamais parlé.  La dame au guichet me parle de désolidarisation du prêt, mais me fait aussitôt remarquer que dans mon cas, il est de toute façon trop tard pour en faire la demande.  Jamais, aucun des avocats à qui j'ai eu à faire, n'en a jamais fait mention.  Je ne m'explique pas pourquoi je n'ai jamais été informée que je figure sur la liste des mauvais payeurs.  Jusque quand serai-je poursuivie par les conséquences des actes irresponsables de mon ex-mari, actes pour lesquels lui ne sera jamais inquiété  ?  Apparemment personne ne tient compte du préjudice moral que subit la victime.  Il est inadmissible qu'un mari ait le droit de nuire ainsi à sa femme.  Il y a une lacune dans la Loi, lacune qu'il faudrait combler.  Comment la Loi peut-elle permettre de punir une personne pour des actes qu'elle n'a pas commis ?  Comment j'aurais pu intervenir, alors que je ne soupçonnais pas les agissements crapuleux de mon mari ?  Pourquoi n'y a-t-il aucun moyen de recours ?  Une fois de plus, je maudis le régime de la communauté !

Après un coup de fil inhabituel de la part de GREG pour me demander de ne surtout pas me mêler sous aucun prétexte dans leurs affaires au Maroc, je suis inquiète et appelle MINNIE.  Elle m'apprend que le Juge a autorisé SALA de prendre toutes les affaires qu'elle voulait  puisqu'il a bien vu qu'il avait à faire à un escroc et menteur.  Il a donc été très sévère condamnant RAOUL au paiement d'une amende et de tous les frais de procédure et depuis, il le fait étroitement surveiller.  Il ne resterait que les affaires financières à régler.  SALA ne sera pas tenue responsable des problèmes financiers créés par son ex-mari suite à ses explications aux autorités marocaines.  Peut-être ma dernière lettre y a-t-elle contribué un peu ?

Malgré un esprit troublé,  je retourne à mes dossiers.  Je dois relancer Maître TOUR pour qu'il réponde enfin à mes nombreuses questions qui remplissent trois pages :
Avez-vous pu vous procurer la confirmation écrite de Monsieur JULE que Monsieur BOULIER lui a bien remis deux peintures miniatures sur ivoires anciennes en compensation des loyers en retard ?
Que devient le procès en responsabilité civile que vous avez engagé contre la SCP PERNANGE  concernant les indemnités d'occupation me revenant ?
Avez-vous effectivement convoqué Monsieur BOULIER comme vous me l'aviez promis en octobre 1996 pour l'interroger ?
Suite à mes demandes renouvelées, avez-vous rajouté la créance de 8.000 Deutsche Mark majorée des intérêts depuis février 1994 du docteur SABELKA à la liste des créances ?
Avez-vous signalé au Procureur de la République les problèmes que Monsieur BOULIER m'a causés auprès de la banque TACO ?
Avez-vous bien noté le remboursement préférentiel de la sœur de Monsieur BOULIER (prêt de 40.000 Francs)  pratiqué par ce dernier à mon insu ?
Qu'avez-vous entrepris pour annuler le Jugement rendu dans le litige POMAL pour faute de procédure ?
Avez-vous tenu compte du versement de 35.000 Francs par Maître VARON à Madame POMAL ?
   Quelles seront les conséquences du fait que c'est Monsieur BOULIER qui a rempli et signé les déclarations de début et de fin d'activité sans me consulter ?
D'après le secrétariat du Parquet, ma plainte contre Monsieur BOULIER leur a été retournée fin 2001 par la Police Judiciaire qui est dans l'impossibilité d'interroger Monsieur BOULIER (non-présentation malgré deux séjours à Perlieux), mais en contact par e-mail.  Il m'est impossible d'apprendre quoi que ce soit et je suis dans l'attente d'un procès depuis maintenant cinq ans.  Pourriez-vous intervenir et en apprendre quelque chose ?  
Avez-vous enfin exigé la comptabilité de Monsieur BOULIER ?  Je répète une nouvelle fois que de nombreux postes sont à vérifier puisque je soupçonne d'innombrables irrégularités.  
Dans combien de temps pensez-vous que ma liquidation judiciaire sera clôturée ?
Est-ce que je risque la faillite personnelle ?  Quelles en seraient les conséquences ?
Quelle est ma situation actuelle ?  Quels sont les risques ?
Puis-je enfin décrocher ma toile murale et la porte décorée ?
En février 2002, je vous ai fourni une liste complétée du matériel détourné.  L'avez-vous ajouté à la procédure et signalé ce fait au Procureur de la République ?
Qu'avez-vous entrepris pour récupérer le matériel ou les fonds détournés ?
Je vous ai signalé que les déclarations d'impôts 1994/95 avaient été rédigées et signées par Monsieur BOULIER à mon insu ; l'avez-vous signalé au Procureur de la République ?
Que puis-je faire pour que Monsieur BOULIER me renseigne enfin sur le passé ?  
Pourquoi n'avez-vous pas donné le feu vert à Maître POPA pour engager un procès contre les PTT pour faute professionnelle (remise de toutes les lettres recommandées à Monsieur BOULIER alors qu'il n'avait pas procuration), bien que j'aie constitué un dossier complet avec chiffrage du préjudice ?  
Pourquoi n'avez-vous pas donné le feu vert à Maître POPA pour engager un procès contre la maison BIRABEN pour faute professionnelle, bien que j'aie constitué un dossier complet avec chiffrage du préjudice ?  

Je préfère signaler à Maître TOUR une nouvelle fois que dans les Conclusions de Divorce, Monsieur BOULIER affirme qu'en raison du Jugement du Tribunal de Commerce de Menau (mise en liquidation judiciaire) il avait mis l'affaire à mon nom de jeune fille.  Je demande au syndic de tenir compte de cet élément important.

Je réclame la dernière version de l'état des créances.  Depuis mes commentaires du 6 août 1999, je n'ai pas eu de nouvelles quant à la vérification des créances déclarées.
Je souhaiterais également connaître les sommes qui sont parvenues à Maître TOUR depuis le début de ma liquidation judiciaire (la part aux loyers provenant des PRUNELLES  et le produit des ventes aux enchères), ainsi que les frais qui ont été occasionnés depuis et comment ils seront couverts.
A ce jour, je n'ai toujours aucune preuve que Maître TOUR ait effectivement porté plainte  contre Monsieur BOULIER auprès du Procureur de la République et je demande me fournir comme preuve le numéro de procédure et une copie de ses courriers.
Je rappelle que je suis dans l'impasse dans le litige CASO, étant donné qu'aussi bien CASO que Maître ESTA, se renvoient la faute.  Je demande donc une nouvelle fois d'exiger de Maître ESTA le double du document établi lors de l'enlèvement du matériel chez CASO pour me permettre de vérifier les faits.
Je répète que depuis octobre 2000, Monsieur BOULIER ne paie plus la pension alimentaire pour sa fille qui vit dans des conditions précaires et demande d'intervenir auprès du syndic de Monsieur BOULIER pour qu'elle soit réglée sur les loyers perçus.
Je renouvelle ma demande d'intervenir auprès de Maître TEX pour enfin apprendre les dettes enregistrées chez lui au nom de BOULIER, RAOUL.
(pas de réponse)

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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 10:48
22 avril
Suite à son appel téléphonique du 19 et l'entretien avec MINNIE, j'écris finalement à SALA pour lui transmettre des documents qui pourraient lui être utiles à sa défense.  Après avoir fini ma lettre, je me sens soulagée, le poids de la décision « est-ce que je dois le faire ? » m'ayant trop pesé.  Tout ce que j'espère est que ma lettre sera utile et aidera cette femme à se défendre contre un homme malhonnête.  Je souris toute seule : Ayant toujours pour but de créer une association d'entre aide pour femmes lésées par le mariage, la première femme que j'aurais peut-être un peu aidée, est la future ex-femme de mon ex-époux !  Jamais je n'aurais pu me l'imaginer !  

27 mai
Maître POPA m'envoie une copie du Certificat de Non-appel reçu de l'huissier chargé de la transmission des documents concernant la révision de la pension alimentaire à Monsieur BOULIER.  Elle m'informe que le dossier est CLOS pour elle.  Je suis stupéfaite, puisqu'elle m'avait promis d'intervenir auprès du liquidateur de RAOUL pour essayer d'obtenir le paiement de la pension alimentaire courante sur les loyers perçus par le liquidateur des occupants de la propriété en Seine et Marne.  Elle n'a donc pas tenu promesse !  Je m'en veux d'être toujours aussi naïve.  Par contre, l'avocate me conseille d'étudier avec l'huissier par quel moyen les pensions alimentaires en retard pourraient être récupéréesEtant donné que le père réside à l'étranger, la récupération des sommes dues paraît extrêmement difficile.  J'ai peu d'espoir, mais je suis décidée de prendre quand même rendez-vous.  Ainsi je pourrais dire que j'ai tout essayé, mais sans la moindre conviction !

Je suis étonnée de ne toujours pas avoir obtenu des nouvelles de la part de la CAF qui devrait recouvrer les arriérés.  J'appelle le Service des Contentieux dont la responsable m'explique laconiquement qu'elle n'a pas eu le temps de s'en occuper.  Pour cette raison, moi, j'attends depuis avril 2001 !  J'en ai marre d'attendre !  Dans tous les dossiers que je traite, je ne fais que d'attendre.  Je veux avancer.  Seule, je ne le peux pas, il faut que les Instances « compétentes » s'activent enfin.  C'est à désespérer.  Je m'efforce de faire ce que je peux et je me heurte à chaque fois à l'inertie des autorités publiques, des avocats, huissiers, des personnes impliquées dans les différentes affaires.  Le mutisme fait la loi.  C'est une arme redoutable, vous ne pouvez rien contre elle.  Faites le mort et vous bloquez  un dossier !

28 mai
J'apprends par un coup de fil inattendu que RAOUL est mêlé dans plusieurs sombres affaires, qu'il est parti avec les meubles de son ancien employeur sans les régler, qu'il a menti dans son CV, qu'il ne cesse de mentir, qu'il est tout simplement un escroc.  Actuellement, un procès serait en cours contre lui pour des actes relevant du Code Pénal.  Sur conseil de son avocat, la personne qui m'appelle envisage d'informer le Procureur de la République à Perlieux des agissements de Monsieur BOULIER au Maroc.  Il aurait été en contact avec la Police Judiciaire à Perlieux qui lui a simplement dit que le dossier a été retourné au Procureur étant donné qu'ils ne pouvaient rien faire, Monsieur BOULIER ne s'étant pas présenté à l'interrogatoire.
Ce coup de fil me retourne, je passe une nuit blanche, tourmentée par des questions sans réponses, dégoûtée d'avoir été l'épouse d'un homme que les gens appellent un escroc et menteur.  Il est donc si simple de se soustraire à une convocation par la Police Judiciaire !  Je n'en reviens pas et suis renforcée dans ma conviction que le système judiciaire actuel ne vaut pas grand-chose.  Je sais que la prochaine journée sera dure.

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13 avril 2009 1 13 /04 /avril /2009 10:46
23 mars
Je me pose de plus en plus souvent la question si tout mon travail de reconstitution a un sens et parfois, je commence à en douter.  Mais ne pas le poursuivre jusqu'au bout cela signifierait baisser les bras et commencer à oublier.   Je ne veux pas oublier tant que je n'ai pas compris.  Je dois donc maintenir mon organisation que je me suis imposée depuis août 2001 : écrire le matin, peindre l'après-midi.  Un jour, j'aurai bien fini et pourrai consacrer tout mon temps à la peinture,  cela reste mon objectif professionnel.  Sans la peinture, je ne serais pas là où je suis aujourd'hui : J'ai un logement correct, j'arrive à faire face au quotidien, je vis en paix, j'ai une toute petite voiture qui m'a transformé la vie, j'ai retrouvé un état de santé suffisamment satisfaisant pour pouvoir travailler à temps partiel ; de temps à autre, nous pouvons nous permettre un petit extra.  Je me sens utile et retrouve un certain sens dans la vie ; je reste persuadée que la vie n'a que le sens que chacun lui donne.  Par moments, je ressens même un certain bonheur : une tasse de café au balcon à minuit, l'odeur de la terre mouillée après la pluie, le chant des oiseaux avant la tombée de la nuit, la satisfaction après un travail réussi, l'impression d'être redevenue une personne dite normale.  Je n'en demande pas plus.  

25 mars
Etant donné que je n'ai aucun papier en main me démontrant les démarches que la CAF aurait entreprises pour recouvrer les arriérés de pension alimentaire depuis que je l'avais chargée de s'en occuper en avril 2001, je demande à la Caisse de faire le point de toutes les actions engagées.  Je soupçonne que rien n'ait été fait depuis onze mois.  
(pas de réponse)
(Annotation : rien n'a jamais été fait par la CAF)

19 avril
Je suis déjà couchée, lorsque le téléphone sonne très tard dans la soirée.  EMMA décroche et m'appelle : « Maman, c'est une amie à toi ! »   Etant donné que je n'ai pas d'amie qui m'appellerait si tard, je suis sceptique lorsque je prends le combiné.  Une voix un peu rauque me dit « bon soir Madame ».  Je sais tout de suite, que ce n'est pas une « amie » qui m'appelle.  Ensuite, tout va très vite, tout se bouscule.  J'ai du mal à suivre, à comprendre de quoi il s'agit jusqu'à ce que je me rende compte qu'une sœur de SALA, jeune épouse de RAOUL, m'appelle du Maroc pour me mettre au courant de la demande de divorce déposée cette semaine par RAOUL.  Je n'en reviens pas et j'ai du mal à saisir tout ce qu'elle me dit un peu en hâte, avec coupure de la ligne et rappel avec une nouvelle carte téléphonique.  Enfin, j'ai SALA elle-même au bout du fil.  Elle me raconte que RAOUL avait demandé le divorce suite à une violente dispute ; dans sa demande de divorce il l'aurait présentée comme hystérique et dangereuseIl aurait pris plusieurs crédits sur son compte à elle.  Il aurait été logé et nourri pendant sept mois par elle, le temps qu'il était au chômage.  Elle me donne le numéro de téléphone de sa grande sœur mariée à Paris en me demandant de l'appeler.  D'après elle, RAOUL est un escroc.  Elle me remercie de ma lettre du mois d'octobre dernier, lettre que RAOUL avait interceptée et fait traduire.  Depuis, elle a été plus vigilante.  Elle ne parle pas de la cassette sur laquelle j'avais enregistré la chanson HONESTY de Billy Joël ; peut-être ne l'a-t-elle jamais reçue.  J'apprends que RAOUL attend en effet une grosse rentrée d'argent de son ancien premier employeur à Rabat.  SALA me paraît bien énervée ; moi, je suis également sous haute tension.  Nous sommes une nouvelle fois coupées, cette fois définitivement.  Pas de rappel.  

Je n'en reviens pas : à peine marié, déjà divorcé !  Mes soupçons se confirment donc : Dès que j'avais appris de son mariage en août dernier, je me suis dit qu'il doit bien y avoir une raison pour qu'il se marie.  Je passe une nuit blanche, les propos de l'appel téléphonique me passent par la tête, me laissant toujours perplexe.  RAOUL se serait donc servi de SALA comme je l'ai soupçonné !  

21 avril
Je prends tout mon courage pour appeler la sœur aînée de SALA, MINNIE.  Je suis frappée par la voix dure de la femme qui me répond au téléphone.  Elle m'apprend que SALA habite à nouveau chez ses parents, RAOUL lui refusant l'accès à l'appartement loué à son nom à lui depuis une altercation avec SALA et son frère, un militaire qui ne plaisante pas.  Elle non plus d'ailleurs ne digère pas d'avoir été insultée par RAOUL.  J'ai l'impression qu'il a un intérêt d'éviter de croiser les membres de la famille qui malgré son désaccord au moment du mariage, se rangent maintenant derrière SALA.  Depuis cette semaine, SALA ne peut plus rentrer chez elle chercher ses affaires, puisque RAOUL a fait changer les serrures pendant son absence.
MINNIE fera tout pour que RAOUL soit jugé au Maroc pour les actes criminels qu'il a commis et elle ira même au Consulat pour informer les autorités des problèmes causés par lui.  Elle avait prédit à SALA qu'elle allait épouser un escroc à plusieurs visages.  
« De toute façon, il escroque toutes les femmes.  C'est un profiteur !   Il a fait signer à SALA plusieurs crédits en remerciement de l'avoir logé et nourri, ainsi que GREG, pendant sept mois lorsqu'ils étaient au chômage !  Cela lui servira de leçon.  »
Elle me remercie d'avoir averti SALA par ma lettre du mois d'octobre qui probablement a limité les dégâtsLorsque SALA a commencé à mettre son nez dans les affaires financières, des tensions auraient surgi.  Sa sœur serait une personne naïve, facilement influençable qui croit tout.  Je me dis : une personne comme moi alors...  
RAOUL lui aurait demandé plein de services, entre autres lorsqu'il cherchait du travail au Venezuela.
Minnie m'apprend que RAOUL aurait corrompu plusieurs personnes, qu'il était parti avec les meubles de son ancien employeur sans les avoir payés.  D'après elle, il est un être dangereux qui ne fait que mentir et qui ne mérite pas la liberté.  Elle répète plusieurs fois que « la Loi marocaine ne plaisante pas avec des gens comme ça. »   

Je suis toute bouleversée par ce que j'apprends et stupéfaite que notre entretien ait duré presque une heure.  
A midi, RAOUL appelle EMMA comme d'habitude.  Il ne dit pas un mot sur sa situation actuelle,  rien sur SALA.  Pendant combien de temps essayera-t-il de cacher la vérité à sa fille ?

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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 10:46
12 février
Concernant la facture de Maître SELLE, pour laquelle l'avocat m'a envoyé un rappel il y a une semaine, je contacte l'assistante sociale qui ne peut pas m'aider.  Je m'adresse alors au Bureau d'Aide Juridictionnelle qui ne voit aucune autre solution que de régler Maître SELLE en plusieurs fois, et ensuite, au Conciliateur qui me confirme que je n'ai pas d'autre choix que de régler les honoraires demandés.  Il me conseille de laisser tomber mes démarches qui n'aboutiront à rien.  Peut-être a-t-il raison en me conseillant d'avoir la paix en réglant 91 Euros au lieu d'obtenir justice en me tracassant.  
Comme je réalise que je n'avancerai pas en me bagarrant, je mets 90 Euros sous enveloppe que j'adresse à contrecœur à Maître SELLE, accompagnés de mes commentaires et en lui réclamant de me retourner mes dossiers et la demande d'aide juridictionnelle.  

3 mars
Maître SELLE me réclame le solde de 1 Euro et 16 Cents de sa facture de 91 Euros et 16 Cents.  Il suggère de déposer une demande au Bureau d'Aide Juridictionnelle qui désignera un avocat s'il juge ma réclamation fondée.  Ce conseil est contraire à celui de Maître POPA qui avait conseillé de chercher un avocat EXTERIEUR au barreau de Perlieux, raison pour laquelle je me suis adressée à Maître SELLE à Briac.  L'avocat me fait savoir qu'il tient à ma disposition le dossier que je lui avais remis.  Apparemment il n'a aucune intention de me le retourner par courrier.
Je téléphone aussitôt à son secrétariat pour demander comment je peux leur envoyer le solde et récupérer mes dossiers.  La secrétaire me suggère de venir à Briac !  Je lui explique ma situation.  Finalement, elle me promet de me retourner mes papiers par courrier dès qu'elle aura reçu le solde.  Je n'ai pas d'autre choix que de mettre sous enveloppe une pièce de un Euro, de dix, cinq et un Cent en espérant qu'ils arriveront bien à destination.  
(Annotation : Suite à la régularisation du solde de 1 Euro 16 Cents, mes dossiers me sont effectivement retournées.)

21 mars
Je reçois la réponse de Maître TOUR à ma lettre du 18 février dernier :
Il envoie une copie de sa lettre du 4 mars dernier adressé à Monsieur JULE, propriétaire du local commercial, réclamant une copie de l'état des lieux de sortie et de la réponse de Monsieur JULE du 8 mars. Je ne crois pas mes yeux lorsque je lis :
« Madame BOULIER, KATY, fait perdre du temps et de l'énergie à tout le monde... »
« Sa créance à notre encontre dont elle est à l'origine, est d'un montant de 5.767 Euros. »
« Conformément aux clauses et conditions du bail, il était convenu que tous les embellissements, améliorations et installations faits par le preneur dans les lieux loués resteront, à la fin du présent bail, la propriété du bailleur. »
« Madame BOULIER a donné congé pour ce local en 1995 ; il a été loué à un nouveau locataire AVEC la toile et la porte décorée. »
« Il n'y a jamais eu d'état des lieux de sortie, c'est le locataire sortant qui a remis directement les clés au nouveau locataire ; de plus avec le nouveau locataire, il n'y a pas eu d'état des lieux d'entrée. »
« A toutes fins utiles, nous vous précisons, que Madame BOULIER a déposé une plainte auprès de Monsieur le Procureur de la République pour cette affaire et que la Police Judiciaire nous a entendus à ce sujet. »
Je suis dégoûtée de cette lettre, truffée d'innombrables fautes d'orthographe, et survole la lettre d'accompagnement de Maître TOUR qui dit laconiquement :
« Suite à mon courrier du 4 mars 2002, vous trouverez sous ce pli, copie de la réponse de Monsieur JULE suite à votre demande.  Veuillez agréer... »
C'est tout.  Aucun commentaireMaître TOUR ne fera donc rien de plus pour m'aider à récupérer ma propriété artistique.   Je n'en reviens pas et sens que je vais être perdante en raison des actes sans scrupules de RAOUL !  Pourtant, Maître MATOU m'avait bien précisé et cela par écrit, qu'en cas de besoin, je pouvais assigner Monsieur JULE devant le Tribunal, et maintenant, personne ne veut bouger le petit doigt pour m'aider.  Quoi faire de plus que de signaler les faits aux avocats, au syndic et à la Police Judiciaire ?  Les uns disent « blanc », les autres disent « noir ».  Qu'est-ce qu'il faut croire ?  Qui a raison ?  Pourquoi personne ne veut m'aider ?  Tout ce que je veux c'est de faire appliquer la Loi et récupérer ma propriété artistique que je n'ai ni donnée ni vendue à Monsieur JULE, mais qu'un époux sans scrupules a volontairement omis d'enlever pour une raison que j'ignore.  

Je ne peux pas laisser cette lettre sans réponse, je ne m'arrêterai pas là.  Voici ma réponse au syndic :
« En effet, Monsieur BOULIER n'a pas réglé à mon insu des loyers pour un montant de 5.767,91 Euros.  Je vous ai signalé à plusieurs reprises que Monsieur BOULIER a remis à Monsieur JULE deux peintures miniatures sur ivoire anciennes pour compenser les loyers impayés.  Je vous ai demandé plusieurs fois de vérifier cette affirmation ; or à ce jour, je n'ai aucune preuve que vous soyez intervenu suite à ma demande.  
Je vous redemande donc une nouvelle fois d'obtenir la confirmation de Monsieur JULE et d'en tenir compte dans l'état des créances. »
(Annotation :  rien n'a été fait)

« Je répète ce que j'ai déjà dit : tout embellissement AMOVIBLE peut être retiré par un locataire ; seuls les embellissements FIXES doivent rester (à noter : nous avions fait des travaux d'aménagement pour au moins 40.000 Francs).
La porte décorée et la toile murale sont AMOVIBLES puisque la toile a été simplement agrafée sur ma demande pour éviter justement ce point de discorde.  Etant donné que je ne l'ai jamais vendue ni offerte à Monsieur JULE, je considère que j'ai parfaitement le droit de la récupérer.
Je vous demande donc une nouvelle fois d'intervenir pour que je puisse la défaire.

Le locataire sortant était Monsieur BOULIER ; c'est lui qui a déménagé (et vendu) tout le matériel et remis les clés au nouveau locataire.  Je ne pouvais pas intervenir puisqu'il m'avait INTERDIT d'une manière menaçante de mettre les pieds au local commercial.  

Il n'est pas normal qu'aucun état des lieux n'ait été fait ni à la sortie ni à l'entrée.  Raison de plus que j'ai le droit de retirer ma toile qui porte ma signature d'artiste.  Je vous demande d'exiger de Monsieur JULE de prouver que la toile murale et la porte décorée sont SA propriété et non la mienne.

Quant au refus de ma plainte auprès du Procureur de la République, il m'est tout à fait incompréhensible que l'affaire n'ait pas abouti.  J'ignore l'instruction, je n'ai reçu aucun rapport.  Je vous demande conseil comment je dois procéder pour pouvoir déposer une plainte une nouvelle fois puisque je considère que je suis dans mon droit (d'ailleurs confirmé par Maître MATOU feu et confirmé verbalement par Monsieur JULE en 1996).

Je compte sur votre assistance juridique puisque je ne sais plus à qui m'adresser et comment procéder pour faire valoir mon droit. »
(Réponse le 16 mai 2002)

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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 10:41
4 février
J'informe finalement Maître POPA de la lettre de la SCP PERNANGE du 30 janvier dernier et lui demande qui des syndics a raison en joignant une copie de la lettre du 14 novembre 2001 de Maître TOUR. Etant donné qu'aussi bien Maître CORNIAUD que Maître TOUR m'avaient confirmé que la moitié des revenus des PRUNELLES me revenait, et que le syndic de Monsieur BOULIER semble être d'un tout autre avis, je souhaiterais savoir enfin qui a raison.  Comme Maître TOUR garde le silence absolu, je demande à Maître POPA d'essayer d'apprendre à quel stade se trouve le litige entre les syndics et d'obtenir un décompte des sommes effectivement perçues par Maître CHARLOT.  Je voudrais également savoir si les créances déposées au nom de BOULIER chez des huissiers de Perlieux, qui refusent de me renseigner se basant sur le fait que je suis divorcée, me concernent.  Comme je m'inquiète, j'interroge l'avocate sur l'éventualité de la prononciation d'une « faillite personnelle ».
(pas de réponse)

5 février
Je reçois une lettre de Maître POPA qui me confirme qu'elle se mettrait en rapport avec le syndic de Monsieur BOULIER pour essayer d'obtenir le paiement de la pension alimentaire, mais me met également en garde que je ne suis pas prioritaire et que le syndic ne peut payer que s'il a des fonds.  Elle semble ignorer que la CAF est prioritaire sur la pension alimentaire courante et que le syndic devrait recevoir tous les mois 6.500 Francs (990 Euros) dont 3.250 Francs (445 Euros) devraient revenir à ma liquidation judiciaire, sauf si les affirmations de la SCP PERNANGE sont correctes.  Je crois ce que l'avocate m'écrit et continue à espérer et à attendre.
(Annotation : Elle ne fera rien.)

7 février
Je reçois une copie du Jugement du 31 janvier 2002 concernant la révision de la pension alimentaire et des dates de visite.  Je ne peux même pas me réjouir de l'augmentation à 2.000 Francs par mois, soit 304,90 Euros, sachant très bien que son application sera difficile, voir impossible vu que le père réside à l'étranger.  
Une fois de plus, une décision a été prise par le Tribunal sans que RAOUL n'ait fourni de justificatifs de sa situation financière.  A moi, on demande à chaque fois d'ouvrir les comptes du ménage avec des justificatifs certifiés à l'appui !  Je pense le Tribunal devrait appliquer la même mesure à tous.  Pourtant j'avais signalé à Maître POPA que je n'accepterai pas de Jugement sans qu'il n'y ait eu de présentation de justificatifs de la part du père.  Elle n'en a pas tenu compte et ne semble pas avoir perdu un mot à ce sujet lors de l'audience.  

11 février
Une nouvelle fois, je vais me renseigner auprès du Parquet pour voir où en sont mes plaintes.  Le secrétariat me confirme que le dossier de non-paiement des pensions alimentaires est revenu du Commissariat et qu'il est en attente tout comme ma plainte déposée contre RAOUL, il y a cinq ans maintenant.  Il faudra donc continuer à attendre !  Je sors révoltée du bureau comme à chaque fois, en sachant que m'énerver ne servira à rien, mais il est si dur de garder son sang froid lorsque l'attente devient interminable.  Le tumulte de la rue et mes préoccupations en ville me changent les idées.

Sur demande de Maître TOUR du 8 février, je lui transmets une copie du Jugement de Divorce et l'informe qu'il n'existe pas de contrat de mariage.  J'en profite pour réclamer une nouvelle fois que Monsieur BOULIER soit convoqué pour remettre la comptabilité et rendre compte de ses actes.  
Concernant le dossier POMAL, je signale à Maître TOUR ce qui est à mes yeux une irrégularité de procédure. Dans sa lettre du 23 septembre 1996 Maître TOUR avait écrit :
« Dès la mise en liquidation judiciaire toutes les poursuites individuelles des créanciers sont suspendues (Article 47 de la loi du 25 janvier 1985) ».  
Pourtant, j'ai été jugée le 10 mars 1998 dans l'affaire POMAL.  Je me demande s'il n'y a pas la possibilité de faire annuler le Jugement pour faute de procédure.  Je ressens ce Jugement d'autant plus injustifié que la cliente avait reçu 34.570 Francs de Maître VARON en 1995, montant saisi de janvier à juin 1995 sur les indemnités d'occupation en provenance des PRUNELLES.  Il n'y avait donc aucune raison que Madame POMAL engage une procédure, sinon dans l'espoir d'être réglée deux fois par inadvertance, ce qui est effectivement en train de se préparer.   Elle doit bien être au courant du dysfonctionnement des Instances locales.
Je rappelle à Maître TOUR qu'il m'avait transmis seulement le 25 juin 1998 la copie de la Signification de Jugement du 10 mars 1998 en me demandant mes commentaires.  Je lui reproche d'avoir laissé passer le délai d'appel, alors que je lui avais demandé bien avant de faire absolument appel.  Je rappelle également que le 10 novembre 1998, il affirmait ne pas avoir reçu la Signification et « que l'appel était donc toujours recevable », ce qui était faux.  C'est donc par SA faute que je me retrouve avec un Jugement DEFINITIF, Jugement totalement injustifié.  Je demande au syndic de faire le nécessaire pour faire annuler ce Jugement.
Par précaution, j'envois une copie de ma lettre à Maître POPA et au Procureur de la République pour information.
(pas de réponse, pas de suite)

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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 18:03
Février
Je suis toujours dans la réactualisation des dossiers.  Ce travail m'occupe à  mi-temps et je me demande si un jour je vais en voir la fin.  Parfois, j'ai envie de tout arrêter, de laisser tomber ; mais je ne le peux plus : je suis déjà allée trop loin, je dois continuer sinon tout le travail effectué jusqu'à présent aurait été pour rien ou presque.  Même si j'arrêtais maintenant, il m'aurait quand même permis de voir enfin un peu plus clair, même si je ne m'explique pas encore tout, même si je n'ai pas encore pu retrouver et assembler tous les morceaux du PUZZLE, mais surtout pas encore compris comment RAOUL ait pu oser faire ce qu'il a fait.  Ou a-t-il vraiment un caractère crapuleux, caché savamment depuis de longues années ?  Je reste convaincue que le titre que j'ai donné spontanément depuis le début à mon Journal, LE PUZZLE, lui va comme un gant.  Je n'ai pas encore fini à rassembler toutes ses pièces, mais un gros morceau est fait, LE PUZZLE commence à prendre forme.

Ce travail de reconstitution est extrêmement pénible, car je continue à remuer le passé, un passé dont je me déchargerais volontiers.  Mais je veux voir plus clair, je veux comprendre ce que RAOUL a fait derrière mon dos, essayer de comprendre le comportement irraisonné d'un homme qui prétendait être un bon père de famille et qui se vantait « d'être le mari idéal », dans l'espoir d'obtenir peut-être quelques réponses que RAOUL me refuse obstinément depuis que les tensions avaient commencé entre nous, pour mieux pouvoir me défendre.  Cette page noire de ma vie ne peut pas encore être tournée, et pourtant je le souhaiterais tant.  Je me suis juré que je réussirai ma cinquantaine, ma quarantaine ayant été gâché à fond par RAOUL.  

1er février
Je reçois enfin la réponse du Bâtonnier de Briac qui dit que la facture de Maître SELLE est due, l'avocat ayant étudié mon courrier, elle est donc justifiée.  Je lui dois 91 Euros et 16 Cents  très exactement.  Je n'ai pas trop l'intention de régler cette facture puisque je considère le prix prohibitif, surtout sans avoir avancé dans le dossier.  Je vais la faire attendre un peu et préfère me renseigner d'abord auprès d'autres Instances pour vérifier si je dois effectivement ces honoraires.

La SCP PERNANGE m'envoie sa réponse à mes courriers du 20 novembre et 14 décembre 2001, réponse qui ne reprend que quelques-uns des points évoqués par moi :
« La liquidation judiciaire de Monsieur BOULIER durera tant que l'ensemble des actifs dépendant de ladite liquidation ne seront pas réalisés, et ce compris l'immeuble sis à Boisières qui fait, l'objet d'un litige pendant devant le Tribunal de Grande Instance de Menau. »
Je suis étonnée de lire que Maître CHARLOT n'a perçu que la somme de 7.927,35 Euros (soit 52.000 Francs, ce qui correspond à huit mensualités de 1996) au titre de l'indemnité d'occupation.  Il reste à recouvrir la plus grosse partie de l'indemnité d'occupation qui doit revenir à la SCP PERNANGE.  Je ne peux pas croire que le syndic n'ait pas régulièrement encaissé les 6.500 Francs d'indemnité d'occupation depuis SIX ANS ; serait-il négligeant ?

J'apprends que Maître CHARLOT n'a jamais autorisé les versements des indemnités d'occupation entre les mains de Monsieur BOULIER entre août 1992 et avril 1996.  Je me demande comment RAOUL a donc pu faire pour les recevoir pendant presque quatre ans.  D'ailleurs, dès que j'avais appris la liquidation judiciaire de RAOUL, j'étais étonnée que c'est lui qui les encaisse.

Contrairement aux propos tenus par Maître TOUR, la SCP PERNANGE ne s'oppose pas à la vente des PRUNELLES.  C'est Maître TOUR qui bloque la vente en ayant autorisé d'abord la vente, mais en se désistant ensuite sans en avoir averti Maître CHARLOT.  Malgré de nombreuses relances, Maître TOUR n'a pas répondu aux courriers de Maître CHARLOT, mais l'a assigné le 8 février 2000 devant le Tribunal de Grande Instance de Menau en réclamant le paiement de la moitié des sommes recouvrées par la vente des PRUNELLES et des indemnités d'occupation, demande qui est contestée par la SCP PERNANGE qui évoque un principe confirmé par la jurisprudence, selon lequel « la première liquidation judiciaire appréhende l'ensemble des biens de la communauté qui serviront à désintéresser les créanciers de la liquidation ».  
Je lis : « Je vous rappelle, qu'à la date de la procédure de liquidation judiciaire à l'encontre de Monsieur BOULIER, vous étiez mariée sous le régime de la communauté.  Les dates de votre divorce et celle de votre liquidation sont postérieures au 22 juin 1993, date de la liquidation judiciaire de Monsieur BOULIER ».  

Je continue à lire :
« Le passif de Monsieur BOULIER n'est pas encore définitif car il subsiste des contestations ».  
Je me demande comment après NEUF ANNEES de procédure, les comptes ne soient toujours pas arrêtés ?  
« Concernant votre liquidation judiciaire, dès lorsque celle-ci sera clôturée pour insuffisance d'actifs, vos dettes seront éteintes et les créanciers ne pourront agir à votre encontre en application des dispositions de l'article L 622-32 du Code de Commerce, SAUF si le Tribunal qui a à connaître de votre dossier, prononce à votre encontre une faillite personnelle ».
Inquiète, je me demande dans quel cas, le Tribunal prononce-t-il la faillite personnelle ?  Je ne sais pas quelles conséquences cette procédure pourrait avoir pour moi.  Je commence à me poser un tas de questions auxquelles je n'ai pas de réponse et auxquelles personne ne m'en donnera - comme d'habitude : Qu'est-ce qu'il m'arrivera encore ?  Quel sera mon avenir ?    Tout ce que je sais, c'est que ma liquidation judiciaire traînera encore tant qu'il y aura des procédures en cours.  Pourtant, je voudrais enfin savoir, si j'ai encore à craindre des saisies ou si je peux enfin avoir un gagne-pain décent.  Je ne vois pas d'autre solution que d'interroger Maître POPA, mais je préfère dormir d'abord sur cette lettre de la SCP PERNANGE qui perturbe ma tranquillité d'esprit à nouveau à fond.  

Heureusement que j'ai la peinture !  Je suis contente de moi : J'ai fini quatre tableaux dits « du bricoleur », des collages faits avec des clous et des vis, des pièces de tout genre comme on en trouve dans n'importe quelle boîte à outils.  De l'art moderne !  EMMA n'en revient pas ; elle n'aurait jamais soupçonné « sa maman d'être capable de tels exploits » comme elle m'avoue.  Ma première critique d'art n'économise pas ses compliments ; j'en suis heureuse !  Que ferais-je sans mon activité artistique ?  Je crois que je n'aurais pas tenu bon et que je n'aurais jamais réussi à remonter la pente !  

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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 19:01
2002


POURSUITE DU COMBAT POUR LA PENSION ALIMENTAIRE,
CONSOLATION DANS LA PEINTURE,
CLASSEMENT SANS SUITE DE MA PLAINTE

 
Cette nouvelle année commence comme l'ancienne s'est terminée, par des courriers !  Si seulement les gens répondaient, je pourrais gagner beaucoup de temps et me consacrer à des activités plus constructives que de faire tous ces courriers rébarbatifs

9 janvier
Suite à la convocation reçue avant les fêtes de fin d'année,  je vais au Commissariat pour déposer une plainte pour fausse déclaration sur l'honneur par Madame REINE BOULIER, mère de RAOUL, et PIERRE BOULIER, son neveu, en novembre 1996, l'année du divorce. 
J'en ressors comme j'y suis entrée : incertaine, dégoûtée, me demandant si effectivement ma plainte aboutit.  Je sais que le fait de faire de fausses déclarations sur l'honneur est un délit ; mais est-ce que la Loi sera appliquée ?  J'en veux à Maître MATOU, avocat chargé de mon divorce, qui ne m'avait pas transmis les pièces fournies par RAOUL.  Je n'ai donc pas pu démontrer en temps utile que les déclarations sur l'honneur de sa mère et de son neveu étaient de purs mensonges, faits dans le seul but de me nuire.  Etant donné que le divorce fut prononcé en mai 1997, le Procureur de la République tiendra-t-il encore compte de ma plainte cinq ans après les faits ?  Perdue dans mes pensées négatives, je quitte les bureaux sinistres du Commissariat.

En rentrant, je trouve une lettre de Maître POPA qui me fait parvenir une copie des commentaires de RAOUL à ma lettre à SALA et de sa lettre adressée au Juge aux Affaires Familiales.  Comment a-t-il pu en avoir connaissance ?  Ma lettre était adressée à SALA et non à lui. 
Je commence à lire et ne crois pas mes yeux !  Que de mensonges et de mauvaise foi !  Quand changera-t-il ?  Est-il encore capable d'arrêter de mentir ?  Pourquoi continue-t-il à chercher à me nuire, sachant fort bien en essayant de me nuire, il nuit à sa fille.  Je suis outrée. 
Après avoir lu et relu les copies, je suis à bout.  Impossible de laisser ces propos sans commentaires.  Immédiatement je commence à rédiger mes commentaires mentalement, les réponses se bousculent, c'est un peu le foutoir qu'il faudra organiser.  Je dois d'abord dormir dessus, à condition que j'y arrive.

10 janvier
Après le cours de peinture d'aujourd'hui, j'ai une longue discussion avec une de mes élèves.  Je constate qu'elle aussi a rencontré de gros problèmes familiaux auxquels elle a dû faire face seule, les Instances dites compétentes s'étant révélées parfaitement incompétentes.  Je suis persuadée comme elle, que des réunions entre femmes en situation difficile pourraient être utiles à de nombreuses personnes et les aider à mieux affronter leurs problèmes en échangeant leurs expériences, en ayant un endroit pour parler, déchargeant au moins pendant un court moment leur lourde charge pour la reprendre ensuite mieux armées.  Si seulement j'étais plus avancée dans mes propres dossiers, si seulement j'avais plus de temps disponible, si seulement j'avais le courage d'initier de telles rencontres !  Ce n'est pas encore le moment, mais dès que je serais plus disposée, je souhaiterais mettre sur pied une association d'entre aide pour personnes lésées par le mariage.  Que de drames vécus, que de souffrances en silence !  Je suis sure, je ne chômerais pas ! 

Je me fais la réflexion que la souffrance rend plus fort et qu'elle est source de créativité et d'inspiration.  Même si la souffrance est dure à vivre, elle n'est donc pas inutileToutes les religions voient en la vie une seule souffrance qui mène à une vie meilleure dans l'au-delà.  Je dois alors être sur la bonne voie.  A poursuivre ! 

20 janvier
Les propos de RAOUL dans sa lettre du 2 janvier 2002 adressée au Juge aux Affaires Familiales me démangent tellement, que j'ai hâte de rédiger au plus vite mes commentaires comme Maître POPA me le demande, pour me libérer des tensions internes qui me déchirent à la lecture de ses commentaires mensongers
RAOUL prétend d'être « en contact avec les services juridiques de l'Ambassade de France pour étudier une action en justice contre Madame KATY NESTOR afin qu'elle cesse définitivement ses nuisances ».  Je ne vois absolument pas ce qu'on pourrait me reprocher et je n'ai aucune idée quelle action en justice il pourrait mener à mon encontre.  L'avenir me le montrera.  J'ai la conscience tranquille, mais j'en parlerai quand même à Maître POPA.

Je prends finalement tout mon courage pour rédiger mes commentaires à ceux de RAOUL à ma lettre à SALA du 9 octobre 2001.  J'ai tant de choses à dire, il y a tant de choses à rectifier à ses propos qui ne sont que des mensonges, que je ne peux pas rester muette.  Je sais que tout mon dimanche y passera.  Tant pis !  Je veux que la vérité gagne !

Etant donné qu'il s'agit de la traduction vers le français à partir d'un texte en arabe traduit à partir du français, mon texte original a été rendu dans un mauvais français, mais l'essentiel y est quand même.  Je pense que RAOUL n'a pas dû être enchanté lorsqu'il a lu ma lettre à sa femme, lettre écrite dans le seul but de mettre en garde sa jeune épouse.

En résumé, RAOUL m'accuse de mentir sur tous les plans, alors que je n'ai dit que la VERITE.  Le menteur c'est LUI, un menteur qui ne recule devant rien.  J'ai tellement honte d'avoir été la femme d'un menteur chevronné, point noir que je n'arrive pas à surmonter.

Je rédige un courrier à Maître POPA dans ce sens en lui transmettant des documents qui soutiennent toutes mes affirmations, comme l'état des créances de la SCP PERNANGE, la liste « séjours du père avec sa fille », la copie de l'extrait de compte à la TACO et un résumé d'environ cinq pages de mes démarches entreprises pour récupérer les biens professionnels, les fonds et la comptabilité, accompagnés du texte original de ma lettre à SALA.
(ni de réponse ni de suite)

Ce travail sur ordinateur m'épuise à cent pour cent.  Je m'écroule dans mon lit sans trouver le sommeil.

31 janvier
Je fais appel au Médiateur dans l'espoir qu'il pourra m'aider à régler certains dossiers « faciles » où je suis convaincue de pouvoir me passer d'un avocat, dossiers qui d'ailleurs n'intéressent aucun avocat, j'en ai la preuve depuis plusieurs années déjà !  Ce cher monsieur, qui bénévolement essaie de trouver des solutions à l'amiable, ce que je souhaite, me fait comprendre que je ferais mieux de laisser tomber les dossiers pour ne pas me gâcher la vie.  J'en suis outrée !  Il n'a donc rien compris !  Laisser tout tomber maintenant où je me bats depuis 1995 sans succès, cela voudrait dire que tout mon travail, c'est-à-dire des centaines de lettres, des centaines de pages d'écriture et de longues années de reconstruction du passé petit morceau par petit morceau, auraient été inutiles, du temps perdu, des nerfs laissés en vain.  Accepter l'injustice, cela jamais !  En fin de compte, sa réponse probablement bien intentionnée, pour que je retrouve une vie paisible, m'encourage encore plus à continuer mon combat.  Je me jure de ne pas baisser les bras, même si parfois je n'en suis pas loin, au moins par moments, des moments de doute, d'hésitation, de désespoir, de solitudeJe veux que mes enfants connaissent la VERITE, surtout GREG qui me semble complètement détourné par les mensonges continus de son père auquel il s'est tant attaché malgré leurs heurts violents dans le passé.
 
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19 mars 2009 4 19 /03 /mars /2009 10:18
6 décembre
En téléphonant à la BROT pour leur demander des justificatifs afin de pouvoir vérifier si leur créance de 69.000 Francs est effectivement justifiée, j'apprends à ma plus grande surprise que cette dette ait été annulée, la banque n'ayant pas respecté les délais de déclaration.  J'ai du mal à le croire, mais la dame que j'ai au bout du fil, me promet même de me le confirmer par écrit.  C'est un très joli cadeau de Saint Nicolas !
(Annotation : Je n'ai pas reçu de confirmation écrite en 2001, mais dans l'état des créances de la SCP PERNANGE, reçu en octobre dernier, la créance a effectivement été rejetée.  Ce n'est qu'en février 2004, que je réussis à me procurer une copie de leur courrier du 17 décembre 2001, confirmant notre entretien téléphonique.)

11 décembre  
Je me rends au Commissariat de Police où je suis convoquée suite à mon courrier du mois d'août au Procureur de la République l'informant de mes problèmes avec le père.  Je me sens mal à l'aise dans ces lieux grisâtres, mal entretenus.  Après avoir été interrogée par un officier de police fort antipathique, fumeur en chaîne de cigarettes roulées et mauvais dactylo, une plainte est rédigée pour non-paiement de la pension alimentaire depuis octobre 2000.  Je n'ai pas droit à un double de ma déposition.  Il faudra que je patiente à nouveau, la procédure mettra environ six mois.  Tant que Monsieur BOULIER n'aura pas été condamné, il peut circuler librement, m'explique-t-on.  Il a donc tout son temps pour s'éclipser s'il le veut pour échapper à ses obligations de père de famille.  
Je sors du Commissariat sans grands espoirs.  J'ai fait mon devoir pour défendre les intérêts d'EMMA, tout en sachant que RAOUL fera tout son possible pour se soustraire à son devoir de père.

14 décembre
Comme je n'ai pas reçu de réponse du Conciliateur de Justice depuis mi-novembre, j'écris dans mon désarroi au Bâtonnier de Briac pour lui demander de l'aide dans le conflit avec Maître SELLE qui m'a envoyé une relance pour sa facture de 598 Francs que je lui dois toujours, mais que je n'ai pas trop l'intention de régler.  Je considère que c'est trop cher payé pour la lecture d'un courrier et une réponse insatisfaisante.  Je souhaiterais obtenir encore un autre avis.
(Réponse le 1er février 2002)

17 décembre
Je vais à mon rendez-vous au CIDFF dans l'espoir d'obtenir de l'aide pour avancer dans le dossier DIVORCE.  Après un long entretien, je ressors du bureau avec des réponses théoriques dont j'ai l'impression qu'elles ne m'aident pas réellement, en tout cas pas pour avancer : Je dois attendre la réponse du Bâtonnier de Briac à qui j'ai exposé mon problème avec Maître SELLE.  Le CIDFF n'a pas pu me dire si je dois effectivement régler sa facture.  
Pour prouver la faute de Maître CORNIAUD, il se pose la difficulté de la preuve qu'il a effectivement été en possession de la Signification du Jugement de divorce et de mon dossier d'aide juridictionnelle.  
Quant au Jugement à torts partagés, je dois me consoler du fait « que c'est malheureusement  un cas classique » et que ce genre de jugement sera aboli prochainement.  
Concernant le divorce à torts exclusifs, il paraît qu'il faut apporter la preuve pour chaque affirmation, chose très difficile d'après la juriste.  
Tout ce que j'apprends est que l'acte d'acquiescement raccourcit le délai de Signification qu'il n'était pas normal que je n'aie pas été convoquée à l'audience de divorce, c'est au Greffe de convoquer les parties.  
Je ressens cette nouvelle tentative d'obtenir du conseil concret auprès du CIDFF comme un autre échec.  Je me pose la question auprès de qui je peux encore obtenir du conseil concret.  Je ne le sais pas.  Je réalise que je dois me débrouiller seule.  Tout ce que je veux est d'être défendue, chose impossible lorsque l'on est sans un sou et sans un nom.  

24 décembre
Suite à ma demande formulée auprès du Greffe du Tribunal de Grande Instance, le Juge aux Affaires Familiales a eu la gentillesse de me répondre.  « ...seuls les avocats sont avisés des dates d'audiences à charge pour eux d'en informer leurs clients ».  Le CIDFF m'a pourtant dit autre chose...
Maître MATOU aurait donc dû m'en avertir ; il ne l'a pas fait.  C'est agréable de l'apprendre un 24 décembre !  

31 décembre

En tirant le bilan de l'année, je suis désenchantée : Je n'ai pas avancé d'un pouce dans aucun dossier !  Voyons ce que 2002 me réservera ...

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14 mars 2009 6 14 /03 /mars /2009 10:17
29 novembre
Pour une fois les choses vont vite !  La SCP PERNANGE prétend ne pas pouvoir répondre à mes questions « ne connaissant pas l'état de votre dossier qui relève de la compétence de Maître TOUR ».  Le syndic de RAOUL semble oublier que les questions que je lui pose, relèvent de SON ressort, Maître TOUR ne pouvant pas y répondre.  Une nouvelle fois, j'ai l'impression que les syndics se déchargent comme ils le peuvent et je ne suis toujours pas renseignée.  Comment alors me procurer des informations si tout le monde se tait ?  Je décide d'écrire encore une fois à la SCP PERNANGE pour leur dire ce que je pense et pour leur demander une copie de la lettre de Maître CHARLOT datant de l'été 1994 demandant au Tribunal de Commerce de Menau d'autoriser Monsieur BOULIER de se mettre à son compte ; je voudrais vérifier si l'affirmation de RAOUL est vraie que son syndic attendait une réponse à sa demande formulée auprès du Tribunal de Commerce de Menau.
(Annotation : Je n'ai jamais obtenu la copie réclamée.)

30 novembre
J'ai enfin pu récupérer le dossier DIVORCE au cabinet de Maître MATOU, décédé depuis peu, après l'intervention du Bâtonnier à qui j'avais fait appel début septembre.  En parcourant le dossier, je découvre - contrairement à ce que Maître MATOU avait affirmé en mai 1999 au Bâtonnier de m'avoir rendu « l'intégralité des documents » - des documents dont je n'ai JAMAIS eu connaissance auparavant, entre autres de documents fournis par RAOUL, que l'avocat aurait dû me faire parvenir.  Je découvre ainsi entre autres, des déclarations sur l'honneur complètement fantaisistes de sa mère, Madame REINE BOULIER, et de son neveu, PIERRE BOULIER.  
En regardant plus en détail, je constate que le 5 novembre 1996, RAOUL a communiqué les pièces suivantes à son avocat :
No. 1 : attestation sur l'honneur de sa mère du 2 novembre 1996
(Annotation : Sa mère a menti plusieurs fois en faveur de son fils.)    
No. 2 : attestation sur l'honneur de Madame CASSOULET du 3 novembre 1996
(Annotation : Madame CASSOULET ne connaissait que la version des faits de MONSIEUR, ne nous ayant jamais rendu visite.)
No. 3 : attestation sur l'honneur de Monsieur PIERRE BOULIER du 2 novembre 1996
(Annotation : Il ne connaissait que la vérité de MONSIEUR ; il habite à Paris et ne nous a rendu qu'une seule fois visite à Bornac pendant un week-end ; il ne pouvait donc porter aucun jugement sur la situation familiale.)
No. 5 : Attestation du Greffe du Tribunal de Police de Perlieux du 16 juin 1995
(Annotation : L'attestation démontre que le permis de conduire avait été retiré à Monsieur BOULIER, ce qui ne l'a pas empêché de conduire pendant la période de suspension.)
No. 6 : Attestation d'assurance du 24/5/96 au 7/12/96 chez  SOLZAR
(Annotation : RAOUL n'a jamais voulu me fournir de preuve qu'il était bien assuré pour le véhicule.)
No. 7 : Permis de conduire de Monsieur BOULIER
(Annotation : RAOUL m'avait demandé de le conduire à la Gendarmerie pour le récupérer, alors que je n'avais pratiquement jamais conduit la VOLVO,  mais avait refusé de me dire pourquoi le permis lui avait été retiré.)

Les fausses déclarations sur l'honneur et les fausses affirmations faites par RAOUL dans ses Conclusions dont je ne me rappelais plus, les ayant retournées par erreur à Maître MATOU avec mes commentaires, ne quittent plus mon esprit.  Je n'arrive pas à trouver le sommeil.  Je commence déjà à rédiger mes courriers dans ma tête.  Pourquoi  l'avocat ne m'avait-il pas fait parvenir ces documents qui me concernent directement ?  J'aurais pu les corriger tant que le procès du divorce était en cours.  J'aurais pu me défendre ; maintenant, c'est trop tard.  Je suis décidée de le signaler quand même au Procureur de la République. Faire de fausses déclarations sur l'honneur, cela relève du Code Pénal.  Je ne peux pas laisser passer ça !

3 décembre
Le Tribunal d'Instance de Perlieux m'apprend qu'en tant que particulier, je n'ai pas le droit d'obtenir des renseignements auprès du Parquet ; seul l'avocat a accès au dossier.  Il n'y a donc pas d'autre solution que de passer par Maître POPA pour obtenir l'information qu'on me refuse bien qu'il s'agisse d'un incident survenu lors de la période de mariage : Pour quelle raison le permis de conduire avait-il été retiré à Monsieur BOULIER pendant environ neuf mois en 1994 ?

Je suis de plus en plus dégoûtée à la lecture du dossier DIVORCE.  Je constate que des pièces fournies par moi à mon avocat pour SA propre information ont été communiquées par ce dernier à l'adversaire : mes observations concernant les Conclusions de Monsieur BOULIER du 12 mars 1997 (je n'ai jamais eu les siennes aux miennes), mes observations concernant l'enquête sociale (je n'ai jamais eu les siennes), les copies des factures d'hôtel/restaurant de Monsieur BOULIER démontrant son grand train de vie bien qu'il fut déjà fortement endetté et que nous nous serrions la ceinture à la maison.
En relisant le rapport médico-social, je réalise à quel point l'enquête sociale est fausse, rédigée par une « spécialiste ».  En de nombreux points, elle est à côté de la réalité.  J'ai dû apporter environ 70 rectifications, dont personne n'a tenu compte par la suite, travail inutile, à part de me donner l'impression d'avoir corrigé des erreurs pour rétablir la vérité.

Par contre, des pièces fournies par RAOUL à MON avocat le 11 mars 1997 ne m'ont jamais été communiquées.  Je découvre les pièces suivantes :  
No. 1 : liste des affaires personnelles de Monsieur BOULIER « mentionnées par Madame BOULIER dans sa lettre du 5 juin 1996 »
(Annotation : sous le poste « outillage » RAOUL a rajouté : (elle rendra) « sauf le nécessaire pour son activité portes décorées que Madame BOULIER semble exercer en tant qu'activité parallèle comme l'indique une enseigne devant son domicile et comme le confirme sa lettre du 5 juin 1996 »)
Les pièces No 2 - 6 ne se trouvent pas dans le dossier divorce ; je n'en ai jamais eu connaissance.
No. 7 : la lettre de Madame KATY BOULIER du 20 avril 1996
(Annotation : Il s'agit d'un EXTRAIT d'une lettre à Monsieur BOULIER lui confirmant après  consultation avec lui, d'indiquer vis-à-vis de la CAF comme date de séparation début avril 1996, date de notre demande de divorce, et  non le 1er décembre 1994, date à laquelle RAOUL avait quitté le domicile conjugal, pour éviter des problèmes au niveau des allocations familiales.)
No. 8 : le certificat médical d'hospitalisation du 18 au 21 septembre 1994 de Monsieur BOULIER
(Annotation : Il s'agit du certificat d'hospitalisation de RAOUL BOULIER suite aux coups reçus dans l'œil par Madame POMAL dans une violente dispute avec la cliente.  RAOUL l'a-t-il fourni pour soutenir son affirmation disant que j'étais violente, alors que je ne l'étais pas ?  Je m'en suis rendu compte seulement début 2003 !)
No. 9 : billet d'avion pour Montréal (Annotation : pour démontrer la vie commune, alors qu'il ne voulait pas m'emmener à Montréal pour faire un voyage de reconnaissance au niveau travail)
No. 10 et 11 : les lettres de Monsieur BOULIER du 4 et 8 avril 1996
(Annotation : Elles manquent dans le dossier divorce.)
No. 12 : le certificat de mon hospitalisation du 13 au 22 octobre 1994, établi par le docteur REAU (psychiatre), soit disant établi sur ma demande, fourni le 17 mars 1997 par Monsieur BOULIER à son avocat
(Annotation : Je ne l'avais jamais demandé.)    

Je réalise que RAOUL s'est servi de deux attestations d'hospitalisation pour les retourner contre moi : Il prétend que j'étais « violente », alors c'est MOI qui avais subi des violences physiques et morales de sa part, et pour me calmer, qu'il fallait m'hospitaliser, alors que c'était MOI, qui lui avait demandé de me conduire à l'hôpital, seul lieu où je me sentais en sécurité devant ses agressions insupportables.  Je ne reviens pas de son culot.

Je constate que nulle part, il n'est fait mention d'avoir demandé le divorce entre autres pour me protéger d'éventuelles nouvelles dettes que Monsieur BOULIER pourrait faire.  Ce point principal de ma demande de divorce a tout simplement été SUPPRIME !

En relisant les Conclusions de RAOUL du 17 mars 1997, que j'avais retournées par erreur à Maître MATOU accompagnées de mes commentaires, je m'aperçois à quel point RAOUL est faux, menteur, destructeur et capable d'une grande méchanceté.  Cela me prouve que je ne dois en aucun cas avoir de regrets d'avoir demandé le divorce.  
(voir 17 mars 1997)

Je me décide enfin de rédiger mon courrier au Procureur de la République pour me plaindre de la non-communication de pièces fournies par l'adversaire, mais surtout des fausses déclarations sur l'honneur faites par la famille BOULIER.
Je l'informe que je me suis aperçu entre autres, que Madame REINE BOULIER a menti dans son attestation sur l'honneur.  Elle écrit :
«...je certifie que mon fils n'a jamais abandonné le domicile conjugal  »
Commentaire : Monsieur BOULIER est parti du domicile conjugal avec son fils début décembre 1994 sans m'en avertir alors que j'étais gravement malade, en déménageant des meubles à volonté, pour s'installer à Perlieux dans un appartement loué, d'après lui, par sa mère.  A partir de ce moment-là, il ne rentrait que le samedi soir, pour repartir le dimanche soir en créant une atmosphère invivable, m'empêchant même de me nourrir.

« Sa femme KATY .....souhaitait une séparation qui a fini par être conseillée par son médecin traitant pour l'intérêt des enfants ».
Commentaire : Je n'ai jamais souhaité une séparation, ni un divorce à cause des enfants.  Je l'ai d'ailleurs expliqué dans mes commentaires aux Conclusions déposées par Monsieur BOULIER. Mon médecin traitant avait conseillé, fin 1994, de nous séparer PROVISOIREMENT le temps que mon état de santé s'améliore, mes problèmes de santé ayant été provoqués par le comportement inhumain de Monsieur BOULIER qui faisait tout pour m'enfoncer encore d'avantage dans la dépression nerveuse au lieu de m'aider à m'en sortir.  Jamais le médecin n'a demandé une séparation « dans l'intérêt des enfants ».  N'ayant jamais assisté à la consultation, la mère ne pouvait que répéter les propos de son fils.

« Que mon fils n'a jamais été violent, ni dangereux... »
Commentaire : Le 15 novembre 1994 au soir, j'avais dû appeler au secours la Gendarmerie en raison des violences de Monsieur BOULIER en présence de ma fille terrorisée, alors âgée de six ans.  La Gendarmerie s'était tout de suite déplacée.  Le lendemain, j'avais fait faire un constat à l'hôpital de Perlieux, le certificat médical du 16 novembre 1994 prouvant les violences subies.
La mère de Monsieur BOULIER n'avait pas assisté à cet incident.  
Cela n'était pas le seul cas de violences physiques, mais le seul pour lequel j'ai une preuve.  Le certificat médical n'a pas été présenté par Maître MATOU comme pièce d'évidence lors de la procédure de divorce.

« Sa femme KATY a dû être hospitalisée »
Commentaire : La première fois j'étais à bout de nerfs, la deuxième fois, je m'y étais REFUGIEE tellement Monsieur BOULIER m'avait terrorisée.  Les deux fois, je suis allée à l'hôpital DE MON PROPRE GRE.

On me reproche d'avoir présenté Monsieur BOULIER comme « être dangereux ».  
En 1996, j'avais signalé à mon avocat que sa conduite automobile était dangereuse ; à l'époque, il ne respectait nullement les limitations de vitesse et avait perdu - d'après ses propres dires - la vue sur un oeil, ce qui le gênait à manoeuvrer et évaluer les distances.  Il avait des problèmes d'assurance de son véhicule, ce qui lui avait valu le retrait de son permis de conduire (remis le 17 juin 1995) ; j'ignore toujours les raisons exactes, Monsieur BOULIER me refusant tout renseignement.  
Pour la sécurité des enfants, je ne souhaitais donc pas qu'il les emmène en voiture jusqu'à Paris.

«...souhaitant qu'ils (les enfants) restent aussi proches de lui et de leur mère »
Commentaire : En juillet 1996, Monsieur BOULIER avait quitté Perlieux, alors que sa fille habitait à environ 20 km, pour s'installer dans la région parisienne chez sa mère (environ 500 km).  En juillet 1997, il s'était expatrié en Egypte et depuis, n'a cessé de changer de pays.
Ce n'est pas ainsi qu'un père peut rester « proche » de son enfant mineur.

« Retenue (fille) par sa mère »
Commentaire : Je n'ai jamais retenu l'enfant.  J'avais demandé à Monsieur BOULIER de voir avec les avocats son droit de visite puisqu'il n'était plus possible de communiquer avec lui.  Je lui avais même régulièrement emmené l'enfant sur son lieu de travail, la GOURMANDISE, les mercredis.  Depuis que l'Ordonnance du Juge aux Affaires Familiales avait réglementé le droit de visite et d'hébergement du père, je n'ai jamais fait obstacle à ce qu'il rende visite à sa fille en France.  Par contre, Monsieur BOULIER ne respecte pas les termes de l'Ordonnance, à savoir : un week-end sur deux, la moitié des vacances.  En avril 2000, il a passé dix jours avec l'enfant, ensuite, seize jours en août 2001 !  Ce n'est pas ainsi qu'il peut entretenir de bonnes relations avec son enfant.

«... je ne l'avais pas vue (l'enfant) depuis un an ... »
Commentaire : Je viens de retrouver un passage dans mes Commentaires aux Conclusions de Monsieur BOULIER, commentaires du 17 mars 1997, adressés à mon avocat, Maître MATOU, où je dis : « Monsieur BOULIER a eu sa fille tout le mois de juillet 96, plusieurs fois jusqu'à la fin d'année, ensuite pour le jour de Saint Sylvestre et depuis, un week-end sur deux. ... ».  
Madame  REINE BOULIER ne peut donc pas affirmer ne pas avoir vu l'enfant depuis un an, c'est-à-dire entre novembre 1995 et novembre 1996, date de son attestation sur l'honneur, sauf si son fils n'était pas allé la voir, dont je doute fort.

Je dois souligner que toutes les attestations sur l'honneur qu'a fournies Monsieur BOULIER ont été établies par les membres de sa famille et par aucune personne extérieure à la famille.  Où est l'objectivité ?
Personne ne m'a jamais demandé de fournir de telles attestations.
Je demande au Procureur de la République de bien vouloir tenir compte de mes commentaires et joins une copie du certificat médical du 16 novembre 1994 du Centre Hospitalier.
(Annotation : pas de réponse du Procureur de la République, mais convocation début janvier 2002 au Commissariat pour déposer une plainte ; aucune suite donnée par le Procureur)

Après une longue journée passée à l'ordinateur et dans les papiers, je n'arrive pas à dormir ; ma nuit se limite à trois heures en tout.  Je me lève plusieurs fois la nuit pour noter des points qui me passent par la tête et que je risque d'oublier le lendemain.
Il n'y a rien de pire que de subir de l'injustice.  Elle me ronge, me détruit lentement, mais sûrement.  Le matin, je me réveille en pensant aux problèmes ; le soir, je me couche en rédigeant le courrier pour le lendemain ; la nuit, je me réveille en sursaut, parce qu'un élément nouveau me vient à l'esprit que j'ai hâte de noter de crainte de l'oublier.  Je suis torturée ; l'injustice est plus dure à supporter que la souffrance physique.  Elle me poursuit, elle ne me lâche jamais.  Elle me rend infiniment triste et têtue, mais elle me donne une énergie et une volonté insoupçonnées.
Je réalise que la reconstitution du passé lourdement chargé en problèmes est pour moi une souffrance par laquelle je dois passer pour faire connaître la vérité, et aussi en soi, une certaine sorte de justice.  

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9 mars 2009 1 09 /03 /mars /2009 10:15
20 novembre
J'ai accumulé beaucoup de questions au fil du temps ; il devient urgent que je les pose ou que je les répète au syndic de RAOUL en espérant qu'il voudra bien y répondre cette fois-ci :
Je le remercie de m'avoir enfin fait parvenir une copie de l'état de créances que j'ai essayé de me procurer depuis 1994 !  
Combien de temps durera encore la liquidation judiciaire ?  
Etant donné que l'ensemble des dettes ne pourra pas être réglé faute de fonds, quelle sera la situation après la clôture de la procédure ?
Pourquoi Maître CHARLOT n'a-t-il jamais ordonné une saisie lors de la prononciation de la liquidation judiciaire de Monsieur BOULIER ? (au moins j'aurais été au courant de la situation)
Pourquoi a-t-il permis l'encaissement de l'indemnité d'occupation par Monsieur BOULIER qui l'a utilisée pour vivre et non pour rembourser ses dettes ?   C'est à partir de mai 1996 que Monsieur BOULIER prétend d'avoir demandé de lui-même aux occupants des PRUNELLES de verser l'indemnité d'occupation directement à son syndic.
(Annotation : réponse partielle le 30 janvier 2002)
Quelle est la situation pour moi ?  En quoi la liquidation judiciaire de Monsieur BOULIER me concerne-t-elle directement ?  Si j'avais un salaire, pourrait-il être saisi ?  
Pourquoi Monsieur BOULIER n'est-il pas saisi sur salaire, alors qu'il occupe depuis 1997 des postes de cadre dans les pays arabes et y mène une vie confortable ?

Je lui transmets l'Historique du problème d'assurance des PRUNELLES pour que la propriété soit enfin assurée comme il le faut, et l'Historique du coffre-fort à la SNIV en demandant de me renseigner s'il avait effectivement été vidé par Monsieur BOULIER qui lui avait menti sur le contenu et qui ne m'a jamais remis l'argent m'appartenant.
Je rappelle mes courriers de 1999 restés sans réponse de la part de Maître CHARLOT, courrier auxquels je souhaiterais recevoir une réponse, puisque je ne suis pas en mesure d'obtenir des renseignements de la part de Monsieur BOULIER qui depuis son redressement judiciaire garde le silence absolu ou ne me raconte que des mensonges.

Concernant la créance de la ROYAL SAGE, je signale que Monsieur BOULIER a menti à trois reprises lors de la signature du contrat de crédit et je reprends les explications données au Procureur de la République.  Moi-même co-signataire, j'ignorais à l'époque absolument tout de la situation financière, de la nature et de l'utilisation du crédit.  Je ne recevais que des mensonges de la part de Monsieur BOULIER à mes questions.  
Quelles seront les conséquences de ces mensonges ?

Je demande s'il est vrai que la SCP PERNANGE s'oppose à la vente des PRUNELLES comme j'ai appris par Maître TOUR ; je voudrais savoir quelle est la situation actuelle.

Pourquoi Maître TOUR ne perçoit-il pas ma part aux indemnités d'occupation, soit 39.000 Francs par an ?

Etant donné que les Autorités ne bougent pas, je demande au syndic de RAOUL s'il est possible de payer la pension alimentaire courante sur les loyers qui lui reviennent tous les mois de la propriété en Seine et Marne.  
(Réponse le 4 juillet 2002)

Je souhaiterais également l'aide du syndic dans ma recherche du concessionnaire VOLVO, devenu agent CITROEN à Couliers à partir de 1991, qui avec la connaissance de Monsieur BOULIER, avait dû falsifier ma signature sur le contrat de crédit pour l'achat d'une VOLVO en 1990 (expertise graphologique existe), contrat dont j'ignorais absolument tout, Monsieur BOULIER ayant toujours nié d'avoir eu recours à un crédit.  Vu que Monsieur BOULIER ne payait plus les mensualités à partir de mai 1992 et vu que sa mise en liquidation judiciaire le protégeait, FRANCFINE m'avait fait condamner à mon insu en 1994, Monsieur BOULIER interceptant tous les documents, même recommandés.  Je demande de bien vouloir m'aider à retrouver le concessionnaire dont je ne sais pas plus, le Tribunal de Menau exigeant nom, prénoms, adresse exacte des sociétés pour pouvoir faire des recherches.
 
J'explique au syndic mon problème concernant mes cotisations pour la retraite et demande à la SCP PERNANGE d'intervenir auprès de Monsieur BOULIER pour que la situation soit assainie.  J'ai travaillé toute ma vie et risque par le comportement irresponsable, voir criminel, de mon ex-époux, ne jamais atteindre les cent soixante trimestres requis.

Je rappelle qu'après la fermeture de l'affaire, Monsieur BOULIER était parti avec la comptabilité, les fonds, le matériel sans la moindre explication, me laissant couverte de dettes à mon insu.  A l'époque, j'étais gravement malade, sans ressources, avec un jeune enfant à charge.  Les nombreux courriers que je lui ai envoyés sont tous restés sans réponse à ce jour.  Je demande s'il peut obliger Monsieur BOULIER de me rendre les comptes.

J'informe le syndic que de nombreuses dettes ont été déclarées chez des huissiers à Perlieux au nom de Monsieur BOULIER.  Etant divorcée, les huissiers me refusent tous le droit à l'information bien que les dettes encourues par Monsieur concernent encore la période du mariage.  Je demande s'il peut en apprendre plus et me tenir informée. 

Cette lettre m'épuise.  Obtiendrai-je enfin un peu d'aide ?
(Réponse le 29 novembre et réponse insatisfaisante le 30 janvier 2002)
 
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