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Recherche éditeur - Looking for editor

Recherche éditeur pour la publication et diffusion à l'échelle mondiale du recueil de Messages Divins JESUS EN DIRECT et de FUKUSHIMA.

 

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APPEL URGENT

pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011

URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011


____________________

 

"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."

Albert Einstein


"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,

mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

Albert Einstein

 

"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."

George Orwell

 

"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "

  Henry Miller


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Think again, think seven times again before you leap 
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006

25 mars 2008 2 25 /03 /mars /2008 11:48
21 juillet
J’ai rendez-vous avec Maître CORNIAUD.  L’entretien est très désagréable, mais je réussis, bien que mal, à tenir bon.  L’avocat est mécontent de ma démarche auprès du Bâtonnier à qui j’ai signalé le manque d’action de sa part malgré toutes ses promesses.  L’entretien devient pénible, je ne peux même pas finir mes phrases.  A un moment, je veux reprendre mes dossiers.  Mais l’avocat préfère d’un seul coup de « faire le point d’ici le week-end prochain », dossier par dossier, et « de faire le tri des papiers si je souhaite le décharger ».  
« J’ai l’impression que vous n’avez aucune confiance en moi » me lance-t-il.  « Tout est une question de confiance. »   
Il ne semble pas réaliser que depuis août 1997, je lui ai fait confiance en croyant à ce qu’une bonne relation m’ait dit de lui, qu’il était « un jeune loup qui savait se battre ».  J’y avais cru, je n’y crois plus, d’autant plus qu’il n’hésite pas à continuer à me mentir puisqu’il soutient toujours qu’il n’a pas la copie de la Signification du Jugement de Divorce.  Je sais que cette affirmation est un mensonge, j’ai eu confirmation par sa secrétaire que tous les papiers sont dans le dossier.  Comment faire confiance à un homme qui ment ?

J’ai hâte de quitter le cabinet.  Je comprends que j’ai perdu un an.  Je me sens très mal dans ma peau, je suis en colère, j’ai envie de pleurer pour évacuer les émotions refoulées lors de l’entretien. Je suis décidée de faire un procès pour faute professionnelle à Maître CORNIAUD, mais je veux d’abord attendre sa lettre pour voir où en sont les dossiers.

Sur mon chemin retour, les pensées se bousculent : J’avais chargé Maître CORNIAUD par écrit de faire appel et il avait accepté par écrit, mais qu’il n’a pas fait appel.  Que pouvais-je faire de plus ?  Jamais je n’aurais pu imaginer qu’un avocat pourrait laisser passer un délai d’appel !  Je suis donc condamnée pour le reste de ma vie à porter le poids moral écrasant d’un Jugement de Divorce « à torts partagés », sans avoir à me reprocher quoi que ce soit, sans savoir ce que RAOUL me reproche, ses mensonges mises à part.  Jamais je n’ai rien fait pour détruire le ménage.  Au contraire, j’ai repoussé à plusieurs reprises l’idée de demander le divorce, mais je ne l’ai pas fait à cause des enfants.  Je me suis démenée pour le bien de la famille au point d’y laisser ma santé.  Jamais de ma vie j’ai dû avaler autant de médicaments que pendant la période du mariage ; avant, je n’étais jamais malade.  Lorsque j’étais en pleine dépression nerveuse, n’ayant eu comme seul souhait de quitter ce monde que RAOUL m’avait rendu si invivable, il m’a laissé seule avec EMMA, quittant le domicile en décembre 1994 pour s’installer avec GREG sous les toits de Perlieux.  A partir de ce moment-là,  j’avais appris à ne manger que le strict minimum et à vivre dans une maison froide, à me poser toujours la question si une dépense était vitale ou non et si elle ne l’était pas, alors il ne fallait pas la faire.  J’avais pitié pour EMMA qui mangeait sans broncher pendant des mois les mêmes céréales les moins chers que j’avais pu trouver, et qui avait appris à vivre dans des conditions précaires ; elle a tenu bon, elle s’est endurcie, j’en suis sûre.

Malgré la chaleur et la côte raide qui mène aux JASMINES, où le Service Social de la Mairie m’a proposé un logement, je fais les trois kilomètres à pieds pour économiser un ticket de bus.  L’appartement est vétuste mais bien coupé, tranquille et clair.   Je ne peux pas m’empêcher de penser que nous avons fait une « belle » descente au niveau habitation : D’abord notre première maison que nous avions quittée lorsqu’elle était finie et enfin agréable après de longues années d’aménagement, pour aller nous installer contre mon gré au Moulin des PRUNELLES qui était encore en plein chantier, vétuste et inchauffable.  Après cinq années de travaux et d’aménagements et deux années de relative tranquillité, RAOUL souhaitait soudainement à tout prix quitter les PRUNELLES.  Par une petite annonce, j’avais pu dénicher une superbe maison avec piscine taillée dans la roche à Sourlac que nous avions dû quitter un an plus tard faute de pouvoir l’acquérir pour aménager dans une maison isolée assez ordinaire, dont je ne voulais à aucun prix, à Elieux !   
J’étais habituée à vivre toujours en maison individuelle avec jardin et maintenant, je vais me retrouver dans un appartement social !   Je suis arrivée tout en bas de l’échelle sociale, sans y  être pour quelque chose.  Je subis les conséquences des actes irresponsables de mon ex-mari.  Si seulement j’avais des fautes à me reprocher !  J’ai simplement fait confiance à mon mari.   C’était certainement ma plus grosse faute.  Je peux à la rigueur me reprocher de ne pas avoir cru certains faits que RAOUL avait toujours niés ou déformés à sa manière pour les rendre inoffensifs, dont j’avais eu connaissance petit à petit.  Mais jamais il ne me serait venu à l’esprit qu’un père de famille pourrait être capable de nuire à sa propre famille.  Pourtant, c’est ce qui est arrivé !  Tant que je n’aurai pas trouvé d’explications pour ce comportement irraisonné, voir fou, j’aurai l’esprit tourmenté, préoccupé et des troubles du sommeil.  Je ne peux dormir qu’une nuit sur deux ; la deuxième nuit, je m’écroule d’épuisement nerveux pour rattraper la précédente.  

Je suis affolée par l’idée que je pourrais avoir les clés de l’appartement à partir du 1er août prochain, c’est-à-dire dans dix jours !  J’ai un préavis de trois mois à Bornac ; comment vais-je m’en sortir ?   Je ne dirai rien à EMMA pour lui faire la surprise.  Comme elle sera partie en vacances avec son père en août, il me restera trois semaines pour les travaux.  
L’idée du déménagement imminent et l’importance des travaux de rénovation me rendent extrêmement nerveuse.   Je n’arrête pas d’étudier le plan de l’appartement et à pousser les meubles sur le papier à petits carreaux.  La liste des matériaux à acheter se rallonge au fur et à mesure que j’aménage l’appartement dans ma tête.  J’ai même déjà trouvé une possibilité pour emprunter une fourgonnette gratuitement ; manquent encore quatre gros bras que je dois dénicher en très peu de temps au mois d’août !  Mais comment financer une telle opération ?
Les préparatifs du déménagement m’empêchent de dormir.  Tout se bouscule dans ma tête, aussi bien le passé que le présent.  J’ai l’impression, que j’ai raté beaucoup de choses dans ma vie, que je « n’ai pas vécu », comme on dit.  Je voudrais me rattraper un peu et me promets de réussir ma cinquantaine.

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