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  • : FUKUSHIMA ATTENTION DANGER
  • : avertissements et conseils à l'Humanité - warnings and advice to Humanity - But du blog : œuvrer pour un monde meilleur en publiant - des messages reçus du Monde Invisible - des articles sur l'environnement et la santé aim of this blog : help to make the world a better place by publishing messages from the Invisible World and articles on environmental and health issues - le témoignage sur les risques et conséquences du régime matrimonial légal
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Recherche éditeur - Looking for editor

Recherche éditeur pour la publication et diffusion à l'échelle mondiale du recueil de Messages Divins JESUS EN DIRECT et de FUKUSHIMA.

 

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APPEL URGENT

pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011

URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011


____________________

 

"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."

Albert Einstein


"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,

mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

Albert Einstein

 

"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."

George Orwell

 

"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "

  Henry Miller


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Think again, think seven times again before you leap 
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006

22 mai 2007 2 22 /05 /mai /2007 18:27
5 août
J’apprends que le Magistrat a classé ma plainte du 22 juin dernier que j’avais déposée après avoir été renversée par RAOUL avec la voiture, le 24 juin. Il avait interrogé RAOUL et GREG avant de rendre son verdict. Malheureusement, je ne connais pas le compte-rendu de cet entretien ; je voudrais bien savoir comment les hommes ont présenté les faits pour que le Magistrat ne donne pas suite à ma plainte. Pourquoi ne m’a-t-il pas convoquée pour entendre MA version des faits ?
J’en suis si bouleversée que je me mets aussitôt à la machine à écrire pour en informer Maître MATOU et l’appeler à l’aide puisque je ne peux pas croire qu’un mari ait le droit de renverser sa femme en voiture et la laisser étalée dans la rue. Troublée par cette suite inattendue, je lui envoie l’original de l’Avis du Tribunal de Grande Instance de Perlieux ne sachant pas quoi faire. 
(Annotation : Pas de suite. Je n’ai jamais pu récupérer l’original de l’Avis du Tribunal de Grande Instance.)
 
12 août
Je suis de mauvais poil : L’hôtel des ventes BENBIRA m’envoie une estimation de 600 à 800 Francs pour un Kilim caractérisé « usé » sans en préciser la référence. Or, le Kilim que j’ai déposé, était en PARFAIT état. Je soupçonne un problème d’étiquetage et le signale immédiatement par téléphone à l’hôtel des ventes. On me promet de faire des « recherches ».   Je demande de bloquer la vente tant que ce problème n’est pas résolu. 
 
14 août
Maître TOUR me confirme par écrit que le 2 août 1996, le Tribunal de Commerce de Perlieux a prononcé la liquidation judiciaire à mon nom et qu’il a été nommé liquidateur. Il me convoque pour le 29 août et me demande de fournir à cette occasion entre autres la comptabilité. Je sais qu’il me sera impossible de répondre à cette demande puisque je ne suis pas en sa possession. Il faudra que le syndic se la procure lui-même.
(Annotation : Il ne l’a jamais fait.)
 
19 août
Je reçois un nouveau coup bas : Maître CACO, chargé du litige avec la SNIV, m’informe que le Jugement est devenu DEFINITIF puisque je n’ai pas fait appel, le délai d’appel s’étant écoulé le 12 août 1995. Comment aurais-je pu faire appel, puisque c’est RAOUL qui avait le dossier que je n’avais jamais vu auparavant ! ? Pourquoi n’a-t-il pas fait appel ? Pourquoi ne m’en a-t-il pas parlé ?
Maître CACO me demande de fournir des éléments pour demander au Juge de l’Exécution des délais de paiement. Des délais de paiements ? Pour quoi faire ? J’ai actuellement un revenu de 1.400 Francs par mois pour deux personnes après loyer et je suis dans l’impossibilité de payer quoi que ce soit ! Je me dis tout ce que je peux encore faire est de demander à l’avocat de faire appel pour faire annuler le Jugement qui d’après mes connaissances se base sur de faux éléments.
(Annotation : J’ignore que cela n’est plus possible vu que le délai d’appel - terme qui ne me disait absolument rien - est passé, le jugement devenant définitif.)
Je lui demande de prendre contact avec Maître PERNEAUD qui avait prétendu en juin 1994 que je n’avais « rien à craindre vu la caducité du jugement intervenu », pour obtenir plus de précisions comment elle avait pu faire une telle affirmation, alors qu’en fin de compte, je suis condamnée, condamnée à mon insu !
(pas de réponse)
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19 mai 2007 6 19 /05 /mai /2007 18:26
1eraoût
J’ai pu me procurer une attestation par laquelle les PTT reconnaissent leur faute d’avoir remis à Monsieur BOULIER tout le courrier, même recommandé, adressé à MON nom, bien qu’il n’ait eu pas de procuration pour réceptionner les lettres recommandées. Pour prouver que je n’étais pas au courant des problèmes de la GOURMANDISE, que Monsieur BOULIER faisait tout pour me les cacher, j’envoie cette attestation au Tribunal de Commerce pour information et intervention.
(pas de réponse, pas de suite)
(Annotation : J’ai fait l’erreur de leur avoir transmis l’original de l’attestation des PTT. Je n’ai jamais pu le récupérer, le Tribunal de Commerce n’ayant jamais répondu à mes demandes répétées.)
 
Je reçois enfin la liste d’estimation de l’hôtel des ventes BENBIRA pour les objets déposés en juillet. J’y découvre une erreur que je signale le jour même par téléphone et confirme l’entretien par écrit. Je leur demande de retrouver impérativement le grand Kilim pour qu’il soit estimé, et de bloquer la vente de tous les autres objets déposés tant que je n’aie pas reçu l’estimation pour les deux dépôts.
(Annotation : En juillet, des objets ont déjà été vendus SANS estimation ! )
 
2 août
Je retrouve Maître MATOU au Tribunal de Commerce pour l’audience de ma mise en liquidation judiciaire que j’ai demandée sur son conseil. Personne ne me pose de questions. Je n’ai qu’un formulaire à remplir où je marque que j’ai été utilisée comme prête-nom par l’époux. Je me dis que dès maintenant, tous les problèmes vont être arrangés au mieux par des personnes compétentes et que je ne me retrouve plus seule en face de tous les problèmes créés à mon insu. J’ai l’espoir que les Instances obligeront RAOUL de me renseigner et de me remettre la comptabilité avec laquelle il est parti à la fermeture du restaurant.
Le Tribunal désigne Maître ESTA comme huissier ; je me demande à quoi il servira, et Maître TOUR comme syndic dont je ne réalise pas la vraie fonction : liquider les biens de la communauté pour régler au mieux les créanciers. 
(Annotation : Je crois naïvement que le syndic m’assistera dans toutes les démarches nécessaires à résoudre l’ensemble des problèmes.)
 
Le Jugement rendu par le Tribunal de Commerce dit en gros que :
 
Madame BOULIER est en état de cessation de paiements
elle demande l'ouverture d'une procédure de redressement judiciaire
les difficultés sont dues à une mésentente entre les époux
passif exigible déclaré : 80.000 Francs (estimation approx. faite par Madame)
trésorerie inexistante
Madame a déclaré d'avoir été utilisée comme prête-nom par Monsieur BOULIER qui est en liquidation judiciaire
Madame n'a pas de connaissance précise sur la situation réelle de l'exploitation
d'après la déclaration de Madame, l'essentiel de l'actif aurait été déménagé et détourné par Monsieur BOULIER et figurerait au domicile de ce dernier ou aurait déjà été vendu
l'exploitation a cessé
redressement judiciaire impossible vu l'arrêt de l'activité
date de cessation de paiements : 31 décembre 1995
prononce la liquidation judiciaire de Madame BOULIER
 
Je rentre soulagée avec l’espoir que les Instances vont enfin m’aider à me sortir de ma situation dramatique
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16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 20:26
23 juillet
Je n’ai toujours pas digéré que GREG ne veut pas me croire que je n’aie pas demandé le divorce exclusivement « pour des motifs de violences physiques et morales ». Il m’a menacé de ne plus entretenir de contact avec moi si je ne retire pas ces motifs de divorce figurant dans ma requête ; il considère qu’ils ne sont pas vrais. GREG, est-il au courant des motifs que son père a indiqués dans SA requête de divorce ?   Croit-il qu’ils sont vrais ?
Pour convaincre GREG qu’il s’agissait d’une formulation choisie par l’avocat et non d’une mauvaise intention de ma part vis-à-vis de son père, je lui envoie - sur sa demande - une copie de mon premier courrier concernant la requête de divorce ainsi qu’une copie de ma lettre adressée à Maître MATOU le 22 avril 1996, dans laquelle je demande de changer les raisons indiquées par lui. Les violences physiques et morales sont un fait, je les ai subies, GREG voudrait les ignorer, mais elles ne sont en aucun cas la principale raison de ma demande de divorce. Mon souci premier était de pouvoir me protéger contre tout nouvel endettement par RAOUL ; seul le divorce pouvait me protéger.
 
Je reçois une 4ème lettre recommandée de la SACEM ; le problème n’est donc toujours pas réglé malgré mon intervention auprès de RAOUL ! Pourtant, il ne s’agit que d’une dette de 1.379 Francs qu’il ne faudrait pas inutilement gonfler par des frais de procédure. Je ne comprends pas pourquoi il ne règle pas cette affaire. J’ai l’impression qu’il ne veut s’occuper de rien, qu’il n’a aucune intention de résoudre quoi que ce soit. Je suis tellement déçue. Pourquoi ne pouvons-nous pas résoudre les problèmes ensemble ?
 
24 juillet
Je fais déposer à l’hôtel des ventes BENBIRA un lot de tapis, dont un grand Kilim pour faire un peu d’argent de ménage ; je suis trop juste. J’attends l’estimation promise des tapis avant de les mettre définitivement en vente.
 
25 juillet
Suite à ma relance, j’apprends que l’UTIM a demandé à l’avocat de Monsieur BOULIER, « d’intervenir auprès de son client pour qu’il leur transmette les feuilles de maladie que Madame a rassemblées sur deux ans. » 
Cela voudrait dire que RAOUL n’est pas allé voir l’organisme en février dernier pour leur remettre les feuilles de maladie, comme il me l’avait fait croire ! Que sont-elles devenues ? 
Je reprends l’espoir en lisant qu’il y aurait la possibilité de saisir la commission de recours amiable.  
(Annotation : pas de suite donnée ni par l’avocat, ni par RAOUL)
 
26 juillet
Aujourd’hui, j’ai eu la désagréable surprise, que RAOUL a quitté son domicile sans laisser d’adresse. Je voulais déposer à son appartement ma lettre concernant mon cadeau pour le bac à GREG, lorsque je l’ai appris. Je le soupçonne d’avoir plié bagage entre le 23 et 25 juillet. Je me demande comment le matériel professionnel et la VOLVO pourront être saisis maintenant. Ce que j’ai craint est arrivé …
J’en informe aussitôt Maître MATOU et le Tribunal de Commerce. Pour être sûre que RAOUL ne quitte pas la France, puisque j’avais l’impression qu’il tenait toujours à son projet d’immigration au Québec, je demande au Tribunal de Commerce d’intervenir. Je ne voudrais en aucun cas qu’il s’éclipse à l’étranger sans avoir régularisé notre situation.
(Annotation : pas de suite donnée ni par l’avocat ni par le Tribunal de Commerce)
 
En rentrant, je trouve un mot manuscrit de RAOUL confirmant son départ avec GREG. Il me demande d’utiliser l’adresse de sa mère ou de son avocat, qui lui transmettra son courrier.
 
31 juillet 
RAOUL m’appelle. Il est très en colère parce que j’ai écrit à l’UTIM, en leur disant entre autres, que je vivais en dessous de seuil de pauvreté, ce qui est un fait, mais qu’il ne veut pas admettre. Petit à petit, RAOUL devient menaçant au point de me faire peur : « Tu vas avoir une belle surprise ! » crie-t-il et me raccroche au nez. Je me demande ce qu’il va bien encore m’arriver. 
 
J’ai toujours mal dans mon épaule droite et retourne voir le rhumatologue. Pour traiter la périarthrite, il me fait une nouvelle fois une infiltration à la Cortisone. Je voudrais tellement en finir avec ces douleurs qui me handicapent beaucoup dans la vie de tous les jours. Mais d’après le médecin, mes problèmes physiques sont liés aux problèmes psychiques et tant que je vis sous ce stress continu, il y aura peu de chances que les choses rentrent dans l’ordre. Si seulement RAOUL voulait faire un effort pour assainir la situation, se mettre à parler, arrêter de mal me traiter comme il le fait, je pourrais guérir…
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13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 20:18
22 juillet
Après avoir passé trois semaines avec les deux enfants en vacances, RAOUL raccompagne EMMA à la maison. Je profite de l’occasion pour lui remettre le dossier AIPAL en demandant de le régler au plus vite pour éviter davantage de frais inutiles.  Je l’informe que Maître MARTY m’a confirmé avant-hier qu’il n’a reçu qu’un seul versement de 500 Francs de sa part en août 1995 et qu’il n’a pas respecté ses engagements. A mon grand étonnement, RAOUL considère le dossier toujours comme CLOS. Comment peut-il dire cela, alors que nous devons encore 8.000 Francs ? Aurait-il vraiment perdu la tête ? Pourquoi ment-il une fois de plus ?
 
Pour me conformer au plus vite à l’Ordonnance de Non-Conciliation, je m’empresse de rendre à RAOUL ses objets personnels qu’il réclamait « sa propriété personnelle », objets que j’avais déjà préparés.   Mais cela ne lui suffit pas : Sans dire un mot, il enlève également mon plus bel oranger de la terrasse et SON barbecue. RAOUL et GREG repartent aussitôt la VOLVO chargée.
Je ne sais toujours pas comment faire respecter l’Ordonnance de Non-Conciliation par RAOUL qui ne m’a rendu RIEN des quelques affaires personnelles que je lui ai demandées, demande pourtant très modeste. Moi, je lui ai rendu TOUT ce qu’il ma réclamé sans la moindre discussion, entre autres les cadeaux de mariage qu’il a fait figurer dans sa liste des biens de la communauté. Peut-être Maître MATOU pourra-t-il m’aider ?
(Annotation : L’avocat se dit incompétent. Il faudra attendre la liquidation des biens de la communauté. Elle n’est pas intervenue à la clôture du PUZZLE.)
 
Après leur départ, je m’aperçois que RAOUL a profité des cinq minutes pendant lesquelles je discutais avec les enfants au salon, pour emporter les deux caisses de vaisselle blanche et le matériel de pâtisserie, de cuisine et de chocolaterie, entreposées dans la véranda, protégées par des couvertures. Sans mon accord, il n’aurait pas dû y toucher  puisque premièrement, c’est le matériel de la GOURMANDISE et deuxièmement, je suis chez MOI, le contrat de location de la maison étant à MON nom depuis le 1er mai dernier.
 
Après avoir téléphoné au cabinet de Maître MATOU pour signaler l’incident, la secrétaire me conseille de porter plainte auprès de la Gendarmerie. Mais la Gendarmerie trouve ma plainte irrecevable  partant du principe qu’il n’y a pas vol entre époux. Ils n’ont pas tenu compte du fait que nous sommes séparés depuis maintenant un an et demi et que le contrat de location est établi à MON nom depuis le 1er mai 1996. Je ne sais donc pas qui a raison, l’avocat ou la Gendarmerie.
Je fais un résumé pour Maître MATOU puisqu’il s’agit bel et bien de détournement de biens professionnels et que je ne peux pas rester sans agir puisque je crains que RAOUL vendra les biens enlevés et partira avec les fonds comme il l’a fait avec l’équipement professionnel.
(Annotation : C’est ce qu’il a fait.)
Je souligne l’urgence de faire saisir les biens professionnels stockés au domicile de Monsieur BOULIER, ainsi que lé véhicule, biens qui risquent de disparaître à jamais puisque RAOUL m’a prévenue que lui et GREG quitteront prochainement Perlieux, mais sans me préciser où ils iront. Je ne sais donc pas où je pourrai joindre mon fils.
(Annotation : aucune suite donnée par l’avocat)
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10 mai 2007 4 10 /05 /mai /2007 20:17
10 juillet
Maître MATOU dépose sa Requête auprès du Tribunal de Commerce pour obtenir la prononciation de la liquidation judiciaire à mon nom. Le texte dit :
                           
Monsieur BOULIER a utilisé son épouse comme prête-nom pour l’exploitation de la     GOURMANDISE (s’ayant inscrit comme conjoint collaborateur).
Monsieur BOULIER a écarté l’épouse de l’affaire et l’a tenue dans   l’ignorance complète.
Monsieur BOULIER a abandonné le domicile conjugal le  1er décembre 1994.
Monsieur BOULIER a créé de nombreuses dettes.
Monsieur BOULIER recevait seul tout le courrier à Perlieux, même le courrier personnel  de l’épouse.
Madame BOULIER a procédé à la radiation après avoir découvert la situation   catastrophique.
   (Annotation : faux, c’était Monsieur BOULIER)
Madame BOULIER avait une méconnaissance des nombreuses dettes existantes.
Si Madame BOULIER avait eu connaissance plus tôt de la situation réelle, « elle aurait déposé le bilan plutôt que d’avoir procédé à une simple radiation. »
Madame BOULIER ignore l’état exact du passif.
Madame BOULIER se trouve poursuivie à titre personnel par les nombreuses dettes créées par son mari.
Elle gagne 2.500 Francs par mois en faisant un CES.
Captation des biens mobiliers de l’activité commerciale ainsi qu’une partie du matériel d’exploitation par Monsieur BOULIER, entreposé à son domicile.
                                  
L’avocat demande donc ma liquidation judiciaire et son extension à Monsieur BOULIER et de prendre des mesures pour empêcher la disparition du mobilier et du matériel.
 
Je suis contente de constater que tout ce qu’avance Maître MATOU - sauf un point - est juste et qu’il a bien compris la situation.
 
11 juillet
Suite à la Notification de Décision au Défendeur que je viens de recevoir dans le litige des PRUNELLES, j’envoie mes commentaires à Maître NOIR qui m’a été désigné comme avocat:
Je fais remarquer qu’en aucun cas, Maître CHARLOT, le syndic de Monsieur BOULIER, ne me représente, puisque la liquidation judiciaire a été prononcée sur MONSIEUR BOULIER, mais non sur MOI comme il est mentionné par erreur dans la Notification, et que je ne m’associe pas non plus aux Conclusions de Maître CHARLOT par l’intermédiaire de son conseil, contrairement à ce qu’il est stipulé dans le texte. Je souhaite que les occupants actuels restent aux PRUNELLES et je m’oppose catégoriquement à la vente aux enchères de la propriété.
 
15 juillet
Je fais déposer à l’hôtel des ventes BENBIRA des objets du ménage dont je peux me passer dans l’espoir de faire un peu de trésorerie. Je demande une estimation qu’on me promet de m’envoyer rapidement, avant de donner le feu vert pour la vente. 
 
17 juillet
Aujourd’hui, j’ai signé au Tribunal de Commerce la déclaration de cessation des paiements en signalant une nouvelle fois, que j’ai été utilisée comme prête-nom par Monsieur BOULIER ; j’espère que le Juge en tiendra compte.
 
A ma plus grande surprise, Maître PERNEAUD, avocate chargée par RAOUL du litige des PRUNELLES, m’envoie ses Conclusions et me demande mes commentaires. Je ne comprends plus rien : Elle m’avait pourtant écrit en avril dernier qu’elle ne pouvait plus défendre mes intérêts en raison de la demande de divorce et maintenant, elle veut mon avis sur ses Conclusions ?   Malgré cette situation confuse, je lui réponds quand même pour lui faire connaître mon point de vue dans ce litige :
J’exprime ma surprise qu’elle s’occupe toujours du dossier vu que Maître NOIR m’a été désigné comme avocat dans le litige des PRUNELLES.
J’approuve ses Conclusions et souhaite que les occupants actuels restent aux PRUNELLES. Je lui signale que Monsieur BOULIER m’a menti à maintes reprises et que je crois qu’il existe un crédit de 350.000 Francs sur les PRUNELLES.
(Annotation : En fait, le crédit s’élève à 700.000 Francs.) 
Je voudrais savoir pourquoi Maître CHARLOT ne saisit pas Monsieur BOULIER sur salaire pour régler les créanciers, et connaître les conséquences qu’aura la demande de divorce sur la liquidation judiciaire de Monsieur BOULIER qui est toujours en cours.
(pas de réponse)
 
Maître NOIR m’informe que je dois déposer une nouvelle demande d’aide juridictionnelle si je veux engager une nouvelle procédure dans le litige des PRUNELLES. Comme je ne sais pas comment faire, je demande son aide et lui envoie un nouveau dossier complet, ce qui me demande de nouvelles photocopies, de nouvelles démarches, de nouveaux frais dont je voudrais bien me passer.
(Annotation : démarche parfaitement inutile
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7 mai 2007 1 07 /05 /mai /2007 20:24
1er juillet
Je continue à découvrir les dettes laissées par RAOUL à la fermeture du restaurant fin 1995 et commence à réaliser que le montant que j’ai indiqué au Tribunal de Commerce, est largement insuffisant. Chaque fois, que je fais une nouvelle découverte, je le signale à Maître MATOU qui finalement me conseille de demander ma propre mise en liquidation judiciaire « compte tenu de l’état des créances, du comportement de votre mari et des détournements d’actifs qu’il commet, de façon à ce que tous les créanciers soient effectivement bloqués et que le liquidateur puisse appréhender tous les biens susceptibles d’être vendus. Votre mari ne pourrait plus, dès lors procéder à des détournements et tous les biens feraient l’objet d’une saisie ».  
(Annotation : Il était déjà trop tard !)
« Vous serez ainsi plus tranquille, Madame » me dit-il pour me convaincre de la nécessité de cette demande. Je lui crois. Je ne souhaite qu’une seule chose : l’assainissement de la situation pour avoir enfin la paix !
C’est ainsi que je demande ma propre mise en liquidation judiciaire, sans connaître la situation exacte laissée par RAOUL à la fermeture du restaurant, puisqu’il ne m’a toujours pas remis la comptabilité que je lui ai réclamée si souvent, ni les conséquences qu’aura cette démarche. 
 
2 juillet
Je me pose toujours des questions ce que les 50.000 Francs que j’ai remis à RAOUL, sont devenus. Il aurait dû régler les cinq loyers en retard et la facture de 13.000 Francs de frais d’école pour GREG qui n’avaient pas été réglés malgré les virements réguliers par mes parents qui prenaient en charge la totalité des frais scolaires. 
La seule chose dont RAOUL m’a informée par écrit le 7 avril 1996, est que « les 15.587 Francs de la CAF du 13 avril 1995 ont été entrés officiellement dans la caisse de la GOURMANDISE, puisqu’elle a servi de source de prélèvements privés pour subvenir aux besoins de la famille. » Et où est allé le reste ?
Comme il est inconcevable pour moi qu’un mari ne renseigne pas sa femme sur les finances du ménage, et comme RAOUL garde le silence absolu sur l’utilisation de l’argent que je lui ai remis, je ne vois pas d’autre solution que de demander de l’aide à Maître MATOU
(pas de réponse, pas de suite) 
 
5 juillet 
Comme promis, Monsieur ZINTKO m’envoie une photocopie de son compte bancaire qui démontre que le chèque du mois d’avril pour la location des PRUNELLES, a bel et bien été débité de son compte et qu’il ne lui a pas été retourné, comme RAOUL me l’affirmait par écrit le l9 avril 1996. Pour pouvoir l’encaisser, RAOUL a dû transformer le « K » en « R », puisqu’il était établi - comme toujours - à MON nom d’épouse, je ne sais pour quelle raison. Rien de plus facile que de transformer un K en R, transformation qui passe inaperçue à la banque. 
Je fais des photocopies pour Maître MATOU dans l’espoir qu’il signalera l’incident lors de la procédure de divorce. 
(Annotation : L’avocat ne fera rien. Il n’y aura aucune suite.)
 
Je suis affolée de lire que Monsieur ZINTKO se porte avec l’idée de quitter les PRUNELLES si aucune solution n’est trouvée avant l’hiver. Il faudrait absolument qu’il y reste pour que la maison soit habitée. Nous ne serions pas en mesure de l’entretenir à distance ni d’assurer sa sécurité. Il faut qu’il y reste à tout prix !
 
Une nouvelle fois j’ai la confirmation que RAOUL a un caractère pourri, caractère sur lequel je commençais à avoir certains doutes, mais que je ne croyais pas aussi pourri. Je crois qu’il n’est pas possible de tomber beaucoup plus bas que lui. Je suis soulagée d’avoir demandé le divorce puisque l’idée d’être la femme d’un homme aussi malhonnête m’est parfaitement insupportable. Comment avait-il réussi à me cacher son vrai visage pendant tant d’années ? Ai-je été dupe ? Il est vrai, certains aspects dans son comportement ne m’avaient pas plu depuis plusieurs années déjà. Mais je me suis toujours dit que tous les couples rencontrent des moments de mésentente, la différence de caractère, nos nationalités et cultures différentes y ayant contribué certainement aussi. Pendant longtemps, j’ai ainsi excusé nos points de vue divergents. Je réalise maintenant que je me suis trompée.
 
GREG a passé son baccalauréat avec mention. Il l’avait donc bien préparé. Comme je ne suis pas bien riche actuellement, mais que je voudrais lui faire plaisir pour récompenser ses efforts, je demande à RAOUL par écrit de lui remettre 2.500 Francs comme cadeau de ma part pour son baccalauréat, somme à prendre sur l’argent qui était entreposé dans le coffre-fort à la SNIV à Couliers, auquel il m’a toujours refusé l’accès en me promettant à chacun de ses voyages à Paris qu’il ramènerait le contenu et qu’il me le remettrait, reconnaissant qu’il s’agissait de MA tirelire, promesses jamais tenues. Au début, je l’ai cru et attendu ; après j’ai douté et attendu ; maintenant, je voudrais encore pouvoir attendre, mais je n’y crois plus…
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4 mai 2007 5 04 /05 /mai /2007 20:22
28 juin
Nous avons gagné le procès des PRUNELLES ; le Tribunal de Grande Instance de Menau déclare Monsieur ZINTKO irrecevable en ses prétentions et confirme en tous points le Jugement du 16 juin 1994.
 
J’apprends qu’une facture EDF de 2.071 Francs est toujours impayée. Je ne sais pas si elle concerne la GOURMANDISE ou l’appartement à RAOUL. Combien de dettes découvrirai-je encore petit à petit ?   Pourquoi RAOUL ne m’en a-t-il pas parlé ?
 
29 juin
Mes blessures aux genoux et aux mains sont enfin guéries. J’ai été très embêtée pendant une semaine. J’ai réussi à réparer mon pantalon que j’aime bien, mais la réparation se voit et restera un mauvais souvenir de la méchanceté dont un mari peut être capable.
 
Fin juin
RAOUL passe à la maison pour me remettre quelques dossiers à problèmes en me disant : « Maintenant, débrouille-toi ! » sans me donner la moindre explication. Une fois qu’il est parti, je jette un coup d’œil aux documents, ils ne me disent absolument rien. Comment vais-je faire ?
 
Je m’aperçois que les terribles cauchemars que je faisais à Sourlac et à Elieux, ne reviennent plus, cauchemars où je n’arrêtais pas de courir : Je courais avec EMMA à travers des rues, des endroits bizarres, de grands bâtiments, des gares ou stations de métro, où je n’arrêtais pas de courir tout essoufflée, toujours la petite à la main, qui avait du mal à suivre et me freinait dans ma course folle, mais que j’avais peur de perdre, possédée d’une énorme angoisse, les yeux grand ouverts de peur, terrorisée par cette poursuite, la peur au ventre de ne pas pouvoir m’échapper, peur de me prendre les pieds, de tomber et être attrapée, sachant un monstre terrifiant indéfini derrière moi qui essayait me coincer à tout prix, une course effrénée menée jusqu’au bout de mes forces et de souffle pour me réveiller complètement trempée de sueur et totalement épuisée. 
J’espère que ces cauchemars ont disparu pour toujours. Ils m’épuisaient la nuit, alors que le sommeil aurait dû me permettre de reprendre des forces pour affronter le lendemain. J’en avais parlé à RAOUL qui ne s’en inquiétait guère. Je n’ai probablement pas su les interpréter, mais je suis persuadée maintenant, qu’ils me montraient la situation dans laquelle je me trouvais d’où je cherchais à m’échapper avec EMMA avec toutes mes forces, toujours avec la peur au ventre de ne pas y arriver. Par la demande de divorce, j’y suis enfin arrivée, avec EMMA, qui reste avec moi, je l’espère…
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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 10:24
24 juin
Je reçois l’Assignation en Divorce et suis assez stupéfaite des raisons évoquées par RAOUL pour justifier sa démarche. Je relis plusieurs fois le même paragraphe qui dit que je suis tenue « responsable de faits constituant une violation grave et renouvelée des devoirs et obligations du mariage rendant intolérable le maintien de la vie commune ». Je n’ai absolument pas la moindre idée de ce que RAOUL peut me reprocher en tant qu’épouse. J’ai beau chercher, je ne trouve rien, à part le fait que je n’aie plus couché avec lui depuis que la mésentente s’est installée chez nous et que RAOUL est devenu imbuvable, voir répugnant. Je reste convaincue que je me suis toujours parfaitement bien occupé des enfants et de la maison, que j’ai toujours fait de mon mieux pour le bien de la famille croyant de travailler pour la cause commune sans me rendre compte à quel point RAOUL m’exploitait. Vu dans quel état piteux de santé je suis suite au comportement odieux de RAOUL qui a tout fait pour m’enfoncer dans cette grave maladie, je pense que j’ai plus à reprocher à lui que lui à moi. Je suis persuadée obtenir un jugement aux torts exclusifs de RAOUL pour avoir détruit ma vie professionnelle, ma famille, mes biens et surtout ma santé.
J’envoie aussitôt mes commentaires à Maître MATOU pour lui démontrer les mensonges et la mauvaise foi de Monsieur BOULIER. Je lui demande comment il peut être possible que le divorce soit demandé au PROFIT de Monsieur BOULIER vu ses actes irresponsables en tant que mari et père.
 
RAOUL a transmis à son avocat la liste des objets personnels que je lui ai proposés de rendre selon l’Ordonnance de Non-Conciliation. Sous le poste « outillage » il a souligné que « Madame BOULIER semble exercer en tant qu’activité parallèle la décoration de portes décorées comme l’indique une enseigne devant son domicile et comme le confirme sa lettre du 5 juin dernier. »
(Annotation : Je lui avais simplement demandé de «pouvoir garder de l’outillage le strict nécessaire pour bricoler en cas de besoin et tout ce qui touche au travail des portes et boiseries ».)
 
Je suis étonnée de lire en gros caractères : « L’ORDONNANCE de NON-CONCILIATION rendue le 20 mai dernier, ordonne de remettre les vêtements et objets personnels AVEC L’ASSISTANCE DE LA FORCE PUBLIQUE SI BESOIN EST ».
Il ne manquait que ça ! Faire appel à la Force Publique pour rendre quelques affaires !
Je continue à lire : « Afin d’éviter toute nouvelle tension et, si possible, éviter l’intervention de la Force Publique, il sera simplement demandé à Madame BOULIER de motiver par écrit l’absence éventuelle de certains objets réclamés (refus, disparition suite à vente etc.). »
« Ce document sera remis aux avocats qui décideront du suivi éventuel à donner en concertation avec leurs clients. »
Je me demande comment RAOUL peut prendre une attitude aussi exagérée et menaçante. Si quelqu’un devait faire appel à la Force Publique, ce serait plutôt à MOI vu ce qui s’est passé avec le matériel professionnel ! 
 
25 juin
RAOUL est assigné en divorce à ses torts exclusifs.
(Annotation : Je n’ai jamais reçu une copie de l’Assignation.)
 
27 juin
Dans un petit mot que je donne à EMMA pour qu’elle le remette à son père, j’explique qu’elle a besoin d’un certificat de non-contagion pour la colonie de vacances et demande de le faire établir mercredi prochain lorsqu’elle reviendra le voir. Comme je travaille actuellement à plein temps, il ne m’est pas possible de l’emmener au centre médico-social. C’est pour cette raison que je demande à RAOUL ce petit service.
 
La réponse ne tarde pas, EMMA me la donne le soir même lorsque je la récupère : 
 « KATY, tu peux garder tes ordres pour quelqu’un d’autre et je te dispense de m’imposer un programme avec EMMA. »
« Je n’ai pas l’intention compte tenu du peu de temps que je vois EMMA, de consacrer ces moments-là à faire la queue dans les salles d’attente des médecins et dispensaires. Je t’ai déjà expliqué cela avec son vaccin, je ne reviendrai pas là-dessus. »
Concernant le service au dépôt-vente que je lui ai demandé, RAOUL écrit : « Il est hors de question que je te serve de coursier à la TROC après le cinéma que tu as créé. Essaie de retrouver la notion d’amour-propre et de ridicule !!! »
 
J’avoue, je ne saisis pas le sens de la dernière phrase. Quant au reste de ses remarques, je ne comprends pas RAOUL : Ne pas vouloir faire une démarche médicale pour sa fille, alors que la mère travaille à plein temps, tandis que le père a la journée libre, est-ce un comportement normal ? Je garderai soigneusement ce petit mot en souvenir d’un père indigne. Que dira EMMA le jour où elle le lira ?
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28 avril 2007 6 28 /04 /avril /2007 10:24
14 juin
Aujourd’hui se tient l’audience au Tribunal de Grande Instance de Menau dans le litige des PRUNELLES. Suis-je représentée ? Je n’en sais rien. Pourtant j’ai tout fait pour qu’on me désigne un avocat.
 
17 juin
Je rappelle une nouvelle fois à RAOUL que le matériel professionnel doit servir à payer les dettes de la GOURMANDISE, dettes que j’évalue à présent, d’après ce que j’ai pu apprendre petit à petit, à environ 120.000 Francs. Nous sommes loin des cinq loyers en retard et des 1.000 Francs de cotisations ORGANIC, comme RAOUL essayait de me faire croire en février dernier !
 
20 juin
Le locataire des PRUNELLES, Monsieur ZINTKO, me confirme par téléphone, que RAOUL ne lui a jamais retourné le chèque pour le loyer de 6.500 Francs comme il le prétend, mais qu’il a bel et bien été encaissé. Il me promet de m’envoyer comme preuve un extrait de son compte bancaire. J’en informe immédiatement Maître MATOU. Je pense que RAOUL m’a menti une fois de plus !
 
Je suis inquiète : Les enfants vont partir en voiture en vacances avec leur père et je n’ai toujours aucune preuve que la VOLVO est assurée comme il le faut. Comme je ne suis pas encore divorcée, je crains qu’en cas de problème, on me tienne responsable. Si seulement RAOUL voulait m’apporter une preuve !
 
22 juin
Je ne peux pas laisser la liste des biens de la communauté établie par RAOUL sans commentaires et écris à Maître MATOU ce que j’en pense. RAOUL et moi, nous ne sommes pas du même avis sur tous les postes, RAOUL cherchant dans toutes ses observations à me nuire. 
Je profite de l’occasion pour signaler à l’avocat que contrairement à ce que Monsieur BOULIER affirme, je suis à jour dans le règlement des factures d’eau pour la maison à Bornac. Les factures impayées de 2.188 Francs concernent la consommation antérieure. J’attire l’attention que Monsieur BOULIER avait fait venir les factures à son domicile à Perlieux à partir de décembre 1994. Je ne pouvais donc pas être au courant du non-paiement. 
Concernant les dettes de la communauté que Maître MATOU m’avait demandé de chiffrer, je suis très mal informée et tâte dans le noir, Monsieur BOULIER refusant de me répondre à toutes mes questions depuis deux ans.
J’informe l’avocat du prêt que Monsieur BOULIER avait demandé à mon insu à Madame FRAIS, une vieille dame trop gentille pour refuser quoi que ce soit, surtout à RAOUL à qui elle avait sauvé la vie en 1982 lorsqu’il était en train de faire une hémorragie interne. Elle attend toujours d’être remboursée intégralement, Monsieur BOULIER n’ayant pas tenu ses promesses. Pourtant, sur la liste des dettes, il a barré ce poste.   J’avais conseillé à Madame FRAIS de déposer sa créance chez l’huissier, ce qu’elle a fait. Je regrette de ne pas connaître la suite.
(Annotation : Maître MATOU transmet mes courriers concernant le matériel professionnel, les biens de la communauté vendus, les biens existants de la communauté, les dettes de la communauté et les dettes de la GOURMANDISE à l’avocat de RAOUL.)
 
RAOUL passe, en VOLVO, avec GREG à la maison pour venir chercher quelques bricoles, avant de monter à Paris comme il le fait assez souvent actuellement ; il semble avoir suffisamment d’argent pour pouvoir financer l’essence et l’entretien de la VOLVO bien qu’il soit toujours sans travail.
Ils sont déjà dans la voiture, lorsque je veux lui passer des appuie-tête dont je ne ferai jamais rien, alors qu’ils seraient précieux pour leurs longs trajets ; mais RAOUL refuse. J’insiste. Il refuse toujours et veut démarrer. J’essaie alors de les lui passer par la fenêtre entr’ouverte. A ce moment-là, RAOUL démarre en trombe. Sans savoir ce qui m’arrive, je me retrouve étalée dans la rue. Après un court instant, je reprends tous mes esprits et me relève avec difficulté. Je m’aperçois que je saigne des genoux et des mains, de petits cailloux noirs s’y étant incrustés. Mon joli pantalon de toutes les couleurs est déchiré. Je m’effondre en larmes. Je ne peux pas croire que mon mari ose me renverser en voiture. Il a dû me voir couchée sur l’asphalte, mais il ne s’est pas arrêté. La voisine qui est en train d’étendre son linge, a dû suivre l’incident, mais n’est pas venue me voir. Je rentre péniblement à la maison, mes genoux et mains en feu. J’appelle immédiatement le médecin de famille pour faire un constat médical, on ne sait jamais à quoi il pourra me servir. 
Dans la soirée, GREG m’appelle pour prendre de mes nouvelles. Je me demande ce qu’il a dû penser lorsque son père a démarré comme un fou ; je ne le saurais jamais. Ce que je sais, par contre, est que j’aurais du mal à marcher et à me servir de mes mains pendant plusieurs jours. Comment vais-je pouvoir aller au travail et faire la saisie sur ordinateur ? 
 
Sur conseil de Maître MATOU je porte immédiatement plainte auprès de la Gendarmerie  Dans l’après-midi, le médecin de famille passe pour me faire un certificat médical. Je l’envoie à l’avocat pour prouver l’incident en espérant que le document lui serait utile dans la procédure de divorce.
(Annotation : Sans suite. J’ai fait l’erreur d’envoyer l’original ; je n’ai jamais pu le récupérer.) 
Ce soir, j’ai du mal à m’endormir : mes genoux et mains me font trop souffrir. 
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25 avril 2007 3 25 /04 /avril /2007 10:23
4 juin
Maître MARTY me relance en disant « mon précédent courrier étant resté sans réponse », courrier du 19 avril 1996 que je n’ai pas reçu, par lequel il réclamait 1.330 Francs pour régulariser les cotisations sociales ORGANIC pour le premier et deuxième semestre 1995. 
Je suis affolée de lire : « Sans règlement, des poursuites s’imposent ». 
Je ne vois pas d’autre solution que de demander à l’huissier par retour de courrier de saisir le matériel professionnel stocké dans l’appartement de Monsieur pour régler ORGANIC.
(Annotation : pas de réponse, pas de suite donnée par l’huissier)
 
6 juin
J’envoie à l’UTIM le récapitulatif de nos frais médicaux que nous avons eus depuis deux ans, récapitulatif que j’ai péniblement établi. Sans l’aimable aide du pharmacien je ne m’en serais pas sorti. Nous avons avancé plus de 20.000 Francs. J’espère que mes explications aideront à nous faire rembourser au moins une partie ; nous manquons chroniquement d’argent.
(Réponse le 25 juillet)
 
9 juin
En réponse à ma lettre du 5 juin, dans laquelle je lui ai expliqué que je n’avais pas encore eu connaissance de l’Ordonnance de Non-Conciliation, mais dès que je l’aurai reçue, je lui remettrais tous les objets qu’il considère les siens, à condition qu’il me rende les miens, RAOUL me reproche de ne pas respecter l’Ordonnance de Non-Conciliation et de fixer mes conditions préalables pour lui rendre ses objets au lieu « d’avoir une discussion intelligente autour de certains problèmes urgents à résoudre à savoir les vacances d’EMMA, les dossiers des PRUNELLES et POMAL. Il trouve « navrant et désespérant » que je m’arrête à « des détails qui n’ont aucune importance. » Je suis retournée à la lecture de sa lettre, croyant naïvement d’avoir tout fait pour que les choses se fassent correctement
 
Concernant le dossier POMAL, il me reproche « comme il le craignait », d’avoir fait intervenir Maître MATOU sans aucune concertation préalable à l’audience du 4 juin dernier, d’autant plus « que nos intérêts dans cette affaire sont convergents » et fait remarquer que nous nous retrouvons « en face d’un escroc (Madame POMAL) qui a beaucoup de relations et qui nous a menti depuis le début ».   Il me reproche que Maître MATOU a soulevé la contradiction de nos intérêts dans ce litige, ce qui arrange bien l’adversaire qui doit « rigoler » et « qui va gagner sur toute la ligne ».   Il ne voit donc aucun intérêt de se rencontrer comme prévu, puisque d’après ma lettre, il a compris que « je suis ouverte au dialogue à la seule condition qu’il se plie à toutes mes conditions ». 
Tout ce que je peux dire est que RAOUL a très mal compris ma lettre. J’ai essayé de faire tout pour le mieux, mais je ne récolte que des reproches ! Il préfère que « nous passions par nos avocats respectifs pour régler les problèmes qu’il pensait pouvoir traiter directement entre nous ».   Qu’il le fasse ! Notre communication ne peut pas être pire qu’actuellement ! Au moins il m’épargnera ses lettres blessantes si injustes.
 
Dans ma réponse, je fais remarquer à RAOUL qu’il faut trouver au plus vite des solutions par tous les moyens pour régler les dettes de la GOURMANDISE. Je lui reproche de m’avoir menti lors du voyage à Montréal en prétendant qu’à part 1.000 Francs et cinq mois de loyers en retard, toutes les factures de la GOURMANDISE étaient payées, alors que cela n’était pas le cas.  
Je veux savoir ce qu’est devenue la comtoise qu’il a retirée sans mon accord chez l’horloger où nous l’avions mis en dépôt-vente, et à quel prix il faudrait vendre l’agrafeuse pour l’encadrement. Je lui conseille vivement de participer à la résolution des problèmes et d’arrêter « sa politique d’autruche » pour éviter de nouveaux litiges.
J’adresse une copie de ma lettre à l’avocat de RAOUL pour qu’il connaisse ma version de la situation. 
 
13 juin
« Suite à ta liasse de courriers et de notes manuscrites que j’ai encore ramassées dans ma boîte aux lettres et en concertation avec mon avocat, celui-ci me demande de te faire les commentaires suivants :
« La Loi t’interdit de prendre directement contact avec l’avocat de l’adversaire. »
« Le Jugement de Non-Conciliation donne à chacun des parents un droit de visite sur l’enfant qui réside chez l’autre. Maître BELLE m’a confirmé que cette disposition devait uniquement permettre une présence physique et que l’emploi du temps ne devait supporter AUCUNE CONTRAINTE de la part du parent ayant la garde de l’enfant. »
« Le fait de décider et d’ordonner que sous prétexte que je dispose de plus ou moins de temps libre que toi, je devrais faire ceci ou cela, ne te regarde plus et n’est plus de ta compétence. »
« Il reste cependant évident que je peux, à l’occasion, te rendre un service concernant EMMA, mais qu’en aucun cas je ne donnerai suite à tes injonctions impératives comme celles que tu prends l’habitude de me donner. »
« Nous avons décidé de divorcer, ce n’est pas pour continuer à recevoir des ordres de la part de l’autre. Si tu penses le contraire, je te conseille de reprendre conseil auprès de Maître MATOU qui t’expliquera les conséquences d’un divorce. »
« Les problèmes matériels de la vie de tous les jours et les dépenses doivent être réglés par chacun des parents ayant la garde. L’autorité parentale CONJOINTE s’applique aux dispositions importantes concernant les décisions à prendre pour le bien-être et l’avenir de l’enfant. »
« Maître BELLE me demande de te retourner les factures de cantine pour EMMA qui ne m’incombent pas. Je te remercie d’avoir eu la délicatesse de demander au Trésor Public de me les adresser directement ! Je ne te demande pas, malgré mes difficultés, de prendre en charge les frais pour GREG qui sont incomparablement plus élevés que ceux auxquels tu dois faire face pour EMMA. »
Je reste stupéfaite du ton qu’emploie RAOUL et de certaines déformations de la vérité. Je ressens un grand besoin d’y répondre immédiatement pour me faire de l’air :
Je n’ai toujours pas reçu l’Ordonnance de Non-Conciliation.
J’ignorais que je n’ai pas le droit d’envoyer des documents à son avocat.       
Concernant l’autorité parentale, je n’avais que cité FRANCOISE DOLTO dans une de mes lettres, mais en aucun cas n’ai-je remis en question la notion légale.
Quant aux frais de cantine, jamais je n’ai demandé au Trésor Public de lui adresser les factures. Par contre, je lui rappelle que la plupart du temps, je lui avais remis l’argent pour qu’il règle la facture du mois par chèque, moi-même étant sans chéquier. Je lui reproche de ne pas avoir jugé bon de payer la cantine pour sa propre fille. Je fais remarquer que moi, je ne fais pas de dettes, je réglerai toujours tout dans la mesure de mes possibilités. Je trouve injustifiée sa comparaison des frais qu’occasionnent les enfants. Je ne cache pas mon étonnement qu’il n’ait toujours pas trouvé d’emploi malgré toutes les demandes dans l’hôtellerie dans la région, au moins pendant l’été.
Je demande une nouvelle fois de me fournir la preuve que la VOLVO est bien assurée, ainsi que la facture de la réparation du véhicule.
Que me répondra-t-il ?
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