Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Presentation

  • : FUKUSHIMA ATTENTION DANGER
  • : avertissements et conseils à l'Humanité - warnings and advice to Humanity - But du blog : œuvrer pour un monde meilleur en publiant - des messages reçus du Monde Invisible - des articles sur l'environnement et la santé aim of this blog : help to make the world a better place by publishing messages from the Invisible World and articles on environmental and health issues - le témoignage sur les risques et conséquences du régime matrimonial légal
  • Contact

Recherche éditeur - Looking for editor

Recherche éditeur pour la publication et diffusion à l'échelle mondiale du recueil de Messages Divins JESUS EN DIRECT et de FUKUSHIMA.

 

Merci de me contacter par le formulaire de CONTACT.

 

Looking for an editor for publication and worldwide distribution of the compilation of the Divine Messages JESUS LIVE and FUKUSHIMA.

 

Please use the CONTACT form to get in touch with me.

Archives

 

APPEL URGENT

pour informer de la nouvelle réalité depuis le 11 mars 2011

URGENT APPEAL to inform on the new reality since March 11, 2011


____________________

 

"A foolish faith in authority is the worst enemy of truth."

Albert Einstein


"Le monde est dangereux à vivre. Non pas à cause de ceux qui font le mal,

mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire."

Albert Einstein

 

"During times of universal deceit, telling the truth becomes a revolutionary act."

George Orwell

 

"Les hommes répugnent à accepter ce qui est facile à saisir. "

  Henry Miller


icono

 

 

Think again, think seven times again before you leap 
and start construction of new nuclear power plants.
Mikhail Gorbachev
June 2006

5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 12:08
3 octobre
A la réunion des parents d’élèves, la maîtresse m’apprend qu’elle s’efforce auprès de la Mairie pour que je sois rémunérée cette année pour les cours d’allemand et d’anglais que j’ai l’intention de donner comme je l’avais fait bénévolement déjà l’année dernière.  Il paraît qu’il ne faut rien espérer de la part de l’Education Nationale qui ne finance pas de telles initiatives, elle ne finance que des postes.  Apparemment, Monsieur le Maire n’a pas l’intention non plus de faire un effort ; pourtant il sait bien dans quelle situation précaire je suis.  Déjà il m’avait sorti fin août qu’il ne me fera jamais une demande de RMI.  D’après lui, trop de gens se font la belle vie en touchant le RMI avec quelques travaux à côté.  « Vous n’avez qu’à travailler » m’avait-il dit sans se douter à quel point sa remarque me faisait mal vu mon mauvais état et ma situation précaire.  Il aurait transmis aux instances compétentes mon projet d’enseignement des langues étrangères à l’école primaire et qu’il fallait attendre la réponse. 
(Annotation : aucune rémunération accordée)

J’informe Maître CORNIAUD que l’assurance m’a confirmé que les PRUNELLES ne sont plus assurées depuis le début d’année.  Avant de régler une nouvelle fois, comme je l’avais déjà fait en 1996, la prochaine prime d’assurance pour six mois à partir d’octobre, je voudrais savoir si Monsieur BOULIER a assuré la propriété éventuellement chez une autre compagnie.  A ce jour, il ne m’a pas répondu à ma question.  Je fais remarquer que j’ai mis au courant le syndic de Monsieur BOULIER du problème d’assurance, mais j’ai l’impression que rien n’a été fait pour régulariser la situation.  Comme je ne dispose pas des 1.200 Francs pour régler la prochaine prime et que Monsieur BOULIER touche un salaire de cadre, je voudrais savoir s’il est possible de l’obliger de payer cette fois-ci. 
(pas de réponse)

4 octobre
RAOUL m’apprend que nous avons gagné le procès contre les occupants des PRUNELLES, mais sans me donner de précisions.  Il est étonné que ni Maître MATOU, ni moi, n’ait reçu le Jugement.  Il me promet de m’en faire parvenir une copie, mais me fait remarquer aussitôt qu’il n’était pas du tout obligé de le faire.  

Pendant mon absence, quelqu’un nous a apporté deux poulets, deux cailles et des oeufs ; je ne m’explique pas cet arrivage.  Depuis des mois,  je n’en ai pas acheté, et justement aujourd’hui où je suis allée en chercher un poulet, un tel cadeau nous arrive !  Je me retrouve donc avec trois poulets à la maison, ce qui ne m’est pas arrivé depuis fort longtemps.  Peut-être, que suite à la réunion des parents d’élèves d’hier soir, un des parents a voulu me remercier du service que j’ai rendu aux enfants depuis un an ?  Cela me paraît la seule explication, bien que j’aie du mal à y croire.  Toute la journée je me pose des questions sur cette livraison inattendue.
Dans la soirée, le mystère des poulets s’éclaircit : Le monsieur qui les a apportés, revient pour se faire payer, alors que je ne lui ai jamais rien commandé.  Il réalise qu’il a dû se tromper d’adresse ; pourtant on lui avait bien précisé de livrer « en face du restaurant »  et  la seule maison habitée est la nôtre.  Ni lui, ni moi, nous comprenons à qui sont destinées les volailles.  Il reprend tout et repart en s’excusant.  Je suis bien déçue, EMMA aussi ; nous avions déjà fait des projets de bons petits plats.  Je rie tristement de ma naïveté ...

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0
1 novembre 2007 4 01 /11 /novembre /2007 17:29
1er octobre
Le contrat d’assurance pour les PRUNELLES est résilié pour non-paiement de cotisation.  Je regrette presque d’avoir payé naïvement une cotisation, somme importante pour mon maigre budget, croyant pouvoir préserver la propriété en l’assurant comme le contrat le crédit nous l’impose.  Mais apparemment tout le monde s’en fout, aussi bien les syndics que RAOUL.

Je reçois une lettre de RAOUL qui m’énerve tellement que j’ai du mal à manger et à trouver le sommeil le soir.  Même divorcée, je suis encore sous son emprise, même à distance, il réussit à me gâcher ma journée ! 
RAOUL me reproche d’avoir tout fait pour entraver son départ avec GREG au Canada, alors que je n’ai voulu qu’écarter tout risque qu’il y emmène aussi EMMA.  Il trouve « comique » d’avoir demandé qu’EMMA ne puisse pas être sortie du territoire français et être la première maintenant à avoir à demander l’autorisation de sortie de territoire pour pouvoir aller en Allemagne. 
Il trouve l’inventaire de nos biens privés établi par moi en juillet 1996 « complètement fantaisiste », alors que j’ai essayé de faire pour le mieux.  Il n’aurait pas reçu de réponse de Maître MATOU malgré ses trois relances à ce sujet. 
RAOUL me reproche mes commentaires au rapport de l’enquête sociale.  Je suis très étonnée qu’il en ait eu connaissance.  Qui lui aurait transmis mes commentaires qui étaient exclusivement destinés à mon avocat et à l’enquêtrice ?   Je ne connais pas ses commentaires à LUI ! 
(Annotation : Je n’ai jamais pu me procurer SES commentaires !)
Il trouve qu’il « est plus sage d’attendre la désignation d’un notaire qui sera chargé de la liquidation de la communauté ».  Je me demande quand aura lieu cette « liquidation de la communauté » ; de toute façon il n’y aura pas grand-chose à liquider à part des dettes. 
(Annotation : A ce jour de publication, la liquidation de la communauté n'a toujours eu lieu, aucune date n'est fixée.)

RAOUL prétend que GREG aurait mal pris que je ne lui aie pas fait de cadeau pour son bac.  Pourtant, j’avais chargé RAOUL de prendre 2.500 Francs du dépôt dans le coffre-fort pour les lui offrir de ma part.  Il aurait également pris de travers mon refus qu’EMMA vienne le voir pour ses dix-huit ans.  Aurait-il oublié que j’avais proposé une réunion de nous quatre, même à Paris s’il le fallait, mais que toutes mes propositions avaient été refusées ?  J’avais très mal pris que GREG et RAOUL aient voulu à tout prix m’exclure des dix-huit ans de mon fils. 
RAOUL annonce qu'il me fera parvenir 3.000 Francs dès son arrivée en France et promet la même somme pour le premier trimestre 1998.  Ce serait bien s’il tenait sa promesse pour UNE fois…

Je rédige ma réponse immédiatement pour m’en débarrasser et avoir l’esprit un peu plus tranquille.  Je lui rappelle que s’il souhaite réellement m’aider, il n’a qu’à répondre à mes questions, sinon tout reste bloqué. 
En refermant ma lettre, je me demande si RAOUL fera enfin un effort pour assainir la situation ou s’il continuera son attitude  « d’autruche ».   Réalisera-t-il enfin que je ne peux guérir que s’il arrête son insupportable mutisme ?

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0
31 octobre 2007 3 31 /10 /octobre /2007 21:37
HALTE A LA VIOLENCE CONTRE LES FEMMES DANS LE COUPLE

CLIQUEZ
Partager cet article
Repost0
28 octobre 2007 7 28 /10 /octobre /2007 17:28
25 septembre
Maître TOUR me confirme que des procédures sont en cours contre Monsieur BOULIER, en civil et en pénal.  Combien de temps faudra-t-il attendre pour en connaître l’issue ?
(Annotation : classement sans suite le 24 septembre 2002) 

Concernant la toile murale et la porte décorée que je souhaiterais récupérer, il me demande de lui fournir un écrit de la part du propriétaire pour qu’il puisse l’interroger.  Je lui transmets une copie de l’ensemble de mes courriers adressés au propriétaire des lieux en espérant que le syndic m’aidera enfin.

Je rédige un long courrier à Maître CORNIAUD dans lequel je lui pose les questions que j’ai déjà posées à Maître TOUR sans avoir reçu de réponse, dans l’espoir que l’avocat pourra me procurer les renseignements que je recherche.  Je lui rappelle que j’ai demandé ma mise en liquidation judiciaire suite aux conseils de Maître MATOU, mais qu’à ce jour, j’ai l’impression qu’il m’a jetée dans la gueule du loup : Tout se retourne contre moi, rien n’a été résolu en deux ans, je ne peux entamer aucune procédure judiciaire, j’ai les mains liées, je me retrouve sans revenu.  Je lui demande de m’aider à me sortir de cette situation que je vis très mal.
(pas de réponse)
(Annotation : L’avocat ne fera rien pour m’aider.) 

27 septembre
Je ne digère pas comment RAOUL a pu faire pour que je sois condamnée dans le litige avec la SNIV, condamnée à tort, d’après moi,  puisque la caution sur laquelle se base le Tribunal, était caduque, RAOUL et Maître PERNEAUD me l’avaient confirmé tous les deux.  Ils m’avaient même affirmé que je n’aurais rien à craindre.  Au moment où il m’avait remis le dossier, j’ignorais l’existence du délai d’appel, je ne savais même pas ce que c’était « l’appel ».  Je me demande toujours pourquoi la SNIV figure sur la liste des créanciers puisque la dette n’a aucun rapport avec la GOURMANDISE. 
(Annotation : J’ignorais que ma liquidation judiciaire porte sur l’ENSEMBLE des dettes du ménage et non seulement sur les dettes de l’activité professionnelle, vu que l’affaire commerciale était inscrite à mon nom.)

Toute cette affaire me travaille à l’extrême.  Vivre avec une condamnation injustifiée sur le dos sachant qu’elle aurait pu être évitée si RAOUL avait tenu parole et s’en était réellement « occupé » comme il me l’avait promis, est une situation intenable.  Je n’en dors plus.  Je me pose beaucoup de questions auxquelles je ne trouve pas de réponses. 

Maître TOUR me répond enfin à mon courrier du 17 juillet ; je commence à avoir l’impression qu’il ne faut pas être pressé avec les syndics. De toute façon, en un an, la liquidation judiciaire n’a pas progressé à part du fait que j’ai été saisie immédiatement des biens privés et professionnels en ma possession, la seule et unique action rapide, tout comme l’envoi de la note d’honoraires peu de temps après ma mise en liquidation judiciaire !  Mais tous les biens en possession de RAOUL, par contre, c’est-à-dire pratiquement tout l’équipement du restaurant, stocké dans son appartement à Perlieux, ainsi que la VOLVO, sans parler du compte en banque ouvert au nom de Monsieur BOULIER, n’ont toujours pas été saisis malgré mes demandes répétées auprès des Instances. 

29 septembre
Je suis très étonnée de lire que Maître MATOU me demande de me tenir informée concernant la procédure à la Cour d’Appel de Paris au sujet des PRUNELLES, afin de pouvoir tenir informé le Tribunal de Commerce de Perlieux.  Ne serait-il pas à lui de le faire ?  Je n’y connais rien et ne sais pas quoi faire.  Tout ce que je sais est qu’il y a une procédure en cours, c’est tout.  Je lui demande donc de m’aider à formuler la demande de renseignements auprès de la Cour d’Appel.  Je lui fais la réflexion que ma part aux indemnités d’occupation et le produit de la vente des biens privés et professionnels devraient suffire pour régler l’ensemble des dettes de la GOURMANDISE et que je considère toujours la vente des PRUNELLES injustifiée.
(pas de réponse) 

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0
23 octobre 2007 2 23 /10 /octobre /2007 23:00
18 septembre
Tard dans l’après-midi, j’ai la visite surprise des gendarmes qui passent me voir suite à ma plainte contre Monsieur BOULIER, plainte que j’avais déposée en juillet dernier pour endettement inexpliqué de 1,9 millions de Francs et la non-cotisation pour ma retraite pendant mes années de conjoint collaboratrice non rémunérée de 1984 à 1992.  Mais j’avais appris entre-temps par Maître CORNIAUD que ces deux éléments ne rentraient ni dans le cadre pénal ni civil, ce qui fait que ma plainte est irrecevable.  J’en suis dégoûtée, mais c’est ainsi.  
Les gendarmes rédigent un long rapport bien détaillé, allant jusqu’aux noms et dates de naissance de mes parents,  notant bien que je retire ma plainte.  Une démarche que j’avais donc faite inutilement, mais j’ignorais qu’un époux avait le droit d’endetter à l’extrême sa femme à son insu - contrairement à ce qu’il figure dans le livret de famille où il est marqué : « toute dette ainsi contractée par l’un oblige également l’autre, SAUF SI ELLE EST MANIFESTEMENT EXCESSIVE » - et la truander sur son droit à la retraite malgré son travail à plein temps.  Pourtant sans mon travail artistique, RAOUL n’aurait rien eu à vendre.  Je n’arrive pas à avaler que ma plainte est irrecevable.  Dans notre cas, la dette de presque 2 Millions de Francs, n’est-elle pas « manifestement excessive » ?  Qui en décide ?  

Un des gendarmes me connaît depuis Elieux, il était venu suite à mon appel au secours en novembre 1994 ; je suis extrêmement gênée de l’apprendre.  Il me fait remarquer que j’ai bien changé depuis - pour mon bien, s’empresse-t-il de rajouter.  Il a l’impression que je vais beaucoup mieux.  Il se souvient très bien de sa visite ce soir-là lorsque je n’ai vu d’autre solution que d’appeler la gendarmerie pour me protéger des violences physiques que je subissais de la part de RAOUL.  J’étais terrifiée à l’extrême et ne savais pas comment me sortir de cette situation de violence ; dans mon désespoir, j’avais alors appelé au secours la gendarmerie.  Aujourd’hui, nous nous retrouvons ici…
En partant, les gendarmes me souhaitent gentiment une bonne continuation sur mon chemin de rétablissement.  Je n’arrive pas à digérer qu’apparemment, je ne peux rien faire contre les actes irresponsables de RAOUL. Cette idée me travaille au point de ne pas pouvoir m’endormir.

23 septembre
J’ai rendez-vous avec Maître CORNIAUD cet après-midi.  Pour aller à Perlieux, je dois prendre le car scolaire jusqu’au village le plus proche, et ensuite, je suis obligée de faire de l’auto stop jusqu’en ville faute de cars.  Mais aujourd’hui, j’ai de la chance : Une maman d’élève me prend en voiture et m’évite ainsi l’humiliante obligation de faire de l’auto stop.  Je pense qu’elle ne se doute pas à quel point je lui en suis reconnaissante.

L’avocat me remet le même état des créances comme celui que j’ai déjà reçu du syndic et me demande de le vérifier.  Comment puis-je faire ?  Je ne dispose toujours pas de la comptabilité emportée par RAOUL à la fermeture du restaurant et sur laquelle personne n’a encore mis la main.  Je peux uniquement me baser sur les commentaires incomplets qu’il m’a fait parvenir en août ; mais je ne peux rien croire vu tous les mensonges que me sort RAOUL.  

Je charge finalement Maître CORNIAUD de l’ensemble des dossiers à traiter sans oublier de lui préciser que je n’ai pas reçu la Signification du Jugement de divorceL’avocat me promet de faire appel au Jugement de divorce à condition qu’il n’ait pas encore été signifié.  Après cinq minutes d’entretien, je me retrouve déjà à la porte et me demande pourquoi l’avocat m’a fait venir ; j’ai perdu une demie-journée.  
Je rentre avec ma nouvelle voisine, qui a la chance de posséder une voiture, et qui me propose de me ramener de temps à autre.  J’apprécie sa proposition sachant bien que j’en aurai bien besoin.

 
Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez


Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .


Partager cet article
Repost0
20 octobre 2007 6 20 /10 /octobre /2007 11:00
13 septembre
Au réveil, nous constatons que MINOU a fait pipi sur mon édredon - une fois de plus ! Je le mets à tremper et m’organise avec Nadine pour qu’elle nous accompagne en ville dans l’après-midi afin que je puisse le faire sécher dans une laverie automatique. EMMA et moi, nous profitons de l’occasion pour aller à la piscine après l’avoir boudée depuis un bon moment. EMMA se défoule à fonds et a une faim de loup après la baignade. Nous nous offrons exceptionnellement un goûter copieux dans « ma boulangerie du mercredi » où la vendeuse sait que je me régale avec un Oranais tout juste sorti du four. J’ai rarement vu EMMA manger autant avec un tel appétit ! Au retour, je calcule que notre petite sortie - grâce au pipi de MINOU - nous a coûté 68 Francs, plus les frais de laverie : Je dépasse mon budget journalier qui s’élève à environ 50 Francs. Attention aux dépenses ! Ce calcul me révolte : Je ne suis même pas en mesure d’aller avec mon enfant à la piscine et lui offrir un goûter une fois par semaine ; mon budget mensuel ne supporte pas la dépense de 250 Francs pour le loisir. C’est ce qu’on appelle « être pauvre » ! Nous le sommes effectivement.
 
 
15 septembre
Le Tribunal de Grande Instance m’informe que ma plainte contre Monsieur BOULIER du 19 mai 1997 a été rejetée. Comme aucun motif n’y figure, j’ai du mal à me souvenir de quelle plainte il s’agit, j’en avais déposé plusieurs. Grâce à mes annotations sur le calendrier, je retrouve ma déposition de plainte pour non-présentation d’enfant. Une fois de plus, c’est moi qui suis la perdante et c’est le fautif qui gagne !   Le fait que l’enfant ait été ramené à son domicile deux jours après le jour fixé par la Justice, est donc légal.  J’avoue que je ne comprends plus rien, mais je suis décidée de défendre les intérêts et la sécurité d’EMMA coûte que coûte.
 
 
17 septembre
Suite à la demande de levée de forclusion, le Tribunal de Commerce de Perlieux rend une Ordonnance qui dit que la SNIV pourra participer aux diverses répartitions et dividendes postérieurs à la demande présentée. La banque ne devrait donc plus me poursuivre personnellement, mais attendre sa part du gâteau, s’il y en a… 
(Annotation :
Maître CORNIAUD m’avait pourtant expliqué qu’une banque ne pouvait obtenir la levée du délai de forclusion.  Qui a raison ?)
 
 
Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez


Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .


Partager cet article
Repost0
16 octobre 2007 2 16 /10 /octobre /2007 10:58

11 septembre
J’ai rendez-vous avec Maître CORNIAUD pour le charger du transfert de mon dossier de divorce pour pouvoir faire appel au Jugement. Vu ma situation précaire, je lui demande de faire changer le Jugement pour obtenir le versement d’une pension alimentaire tant que je n’ai pas trouvé un travail, d’autant plus que le père occupe un poste de cadre - certainement bien rémunéré - à l’étranger. Pour appuyer ma demande, j’établis un décompte de mes dépenses mensuelles qui me laissent un budget alimentaire pour deux personnes de 510 Francs par mois. Je fais remarquer que je n’ai aucun budget pour les postes chauffage, habillement, médecin, médicaments, éducation, culture, loisirs, sport, vacances, réparations ou remplacements de l’équipement de ménage. 

L’avocat me promet qu’il demandera au syndic de me reverser une certaine somme pour l’entretien de l’enfant sur ma part aux indemnités d’occupation des PRUNELLES.
(Annotation : Il ne le fera jamais. Comme j’apprendrai beaucoup plus tard, cela n’est même pas possible puisque au moment de la liquidation judiciaire de Monsieur, il n’existait pas de Jugement le condamnant au versement d’une pension alimentaire.) 

 

Avant de partir, je lui fais remarquer que la cuisinière a été saisie malgré un jeune enfant, et que je me retrouve avec un petit réchaud défectueux comme seul moyen de cuisiner. A part un haussement d’épaules, je n’obtiens pas d’autre réponse.

Ma promenade dans les bois ce matin me permet de m’assurer un bon plat de champignons. Accompagnés de quelques pommes de terre de la ferme et d’un peu de persil du voisin, mon repas est complet et économique.

Pour me changer un peu les idées, je parcours le nouveau catalogue de vente par correspondance, mais le range assez vite puisque je constate bien vite que tout est trop cher pour moi. Pourtant, il serait vraiment nécessaire de renouveler mon linge de corps qui est plus qu’usé après dix à quinze ans de bons services et que je fais durer déjà depuis environ cinq ans en me disant tous les ans : « L’année prochaine, je le renouvellerai ; ça ira encore un an ». Et c’est ainsi que mon stock de linge diminue, que le tissu s’amincit et que les années passent ...  J'ai fait l’expérience qu’on pouvait vivre avec six culottes usées, deux maillots de corps en éternel échange et un seul et unique soutien-gorge que je considère de plus en plus inutile vu mes mensurations en diminution. Tout est une simple question d’organisation ...

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .


Partager cet article
Repost0
12 octobre 2007 5 12 /10 /octobre /2007 10:44
10 septembre
Mon dossier AFR pour préparer un BTS Assistante/secrétaire trilingue est accepté par l’ANPE.  Je pourrai m’entraîner au GRETA sur ordinateur pour 20 Francs l’heure.  La directrice qui me reçoit, est elle aussi passée par un calvaire conjugal et toutes les deux nous sommes d’accord sur un point : La situation ne peut que remonter pour moi, puisque je suis arrivée au plus bas.  D’après elle, les femmes sont plus fortes dans de telles situations que les hommes et qu’en général, elles s’en sortent très bien grâce à leur farouche volonté de réussir.


Elle trouve mon parcours professionnel intéressant, hors du commun.  Je trouve qu’il sonne mieux qu’il ne l’est. Après un baccalauréat économique excellent et un apprentissage commercial de deux ans dans une grande entreprise, j’ai pu commencer comme secrétaire du chef du personnel d’une entreprise internationale à Francfort.  Neuf mois plus tard, je suis partie à Londres pour y travailler comme dactylo et faire des études d’anglais.  Après un séjour de deux ans, je voulais faire de même en France et rentrer ensuite en Allemagne pour décrocher un poste de secrétaire de direction trilingue.  Mais la rencontre avec mon futur mari lors d’une crêpes-partie a tout chamboulé : Après un séjour de un an et demi en Angleterre, nous sommes allés nous installer à Paris, où j’ai pu trouver immédiatement un poste de secrétaire trilingue, mieux payé que le premier travail qu’avait trouvé RAOUL.  Six mois plus tard, j’ai eu la chance d’occuper un poste de traductrice que j’ai gardé jusqu’à la naissance de GREG.  Pour faire confirmer mes connaissances, j’ai décroché un BTS de traduction par correspondance en neuf mois au lieu de deux ans tout en travaillant à plein temps.  Comme je voulais élever mon enfant au lieu de le confier à une crèche, j’ai abandonné mon poste bien rémunéré.  Peu de temps après, je me suis mise à mon propre compte comme traductrice.  Mais les crises du pétrole rendaient les affaires plus de plus difficiles, et j’ai arrêté la traduction technique pour démarrer la peinture.  Rapidement, je me suis spécialisée dans la décoration de portes que RAOUL présentait à la Foire de Paris avec succès.  Après quelques années de démarrage difficiles, des essais peu concluants d’importation de tapis d’Orient suite à notre voyage en Inde en 1977, activité dont RAOUL s’est occupé seul, nous avons axé notre activité entièrement sur la décoration.  Moi, j’assurais exclusivement le travail artistique, RAOUL se chargeait du côté commercial et des finitions chez le client.  Nous avons eu deux excellentes années avant de connaître un déclin vertigineux.  Je ne sais pas où est allé tout l’argent des deux bonnes années, dont le chiffre d’affaires cumulé s’élevait à environ 1,2 Millions de Francs.  Le déclin dans les affaires était suivi du déménagement soudainement décidé par RAOUL et la promesse de vente jamais réalisée de notre propriété.  Après une période d’insouciance de six mois en Dordogne, où j’avais déniché une magnifique maison avec piscine taillée dans la roche avec vue sur la vallée de l’Isle, j’ai commencé à découvrir les problèmes que RAOUL essayait de me cacher par tous les moyens en recourant aux mensonges et à l’interception de tous les courriers compromettants : son redressement judiciaire de 1992, suivi de sa liquidation judiciaire un an plus tard.  La descente dans l’enfer avait commencé !


Vu ma situation actuelle, la directrice est persuadée que je n’ai pas d’autre solution pour le moment que devenir salariée, malgré le risque de saisie sur salaire, la liquidation judiciaire me liant entièrement les mains.
(Annotation : Je n’étais pas interdite d’exercer, mais je croyais toujours à tort qu’une liquidation judiciaire entraînait forcément une interdiction de se mettre à son compte comme cela avait été le cas pour RAOUL.)


Pour me préparer à un nouveau poste, elle me propose une convention très intéressante, mais malgré tout trop onéreuse pour mon budget.  Après bien des calculs, je ne donne pas suite à mon projet, mais j’ai l’autorisation du GRETA de venir faire tout mon travail sur ordinateur chez eux lorsqu’il y a des places libres.  J’en suis infiniment reconnaissante à la directrice si compréhensive, passée elle-même par une période douloureuse.


Le soir, je rentre avec NADINE, mon gentil chauffeur, que je dois attendre dans la rue pendant plus d’une demi-heure, mais qui me fait économiser ainsi plus de 13 Francs et m’évite de faire de l’auto stop sur les quatre derniers kilomètres, surchargée comme un âne de mes courses pour la semaine.

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez


Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .


Partager cet article
Repost0
8 octobre 2007 1 08 /10 /octobre /2007 10:09
26 août
Je viens d’apprendre que les PRUNELLES ne sont toujours pas assurées malgré toutes mes démarches auprès des deux syndics et qu’il n’y a plus aucune garantie depuis janvier 1997.  Si cette information se confirme, RAOUL prend un risque incalculable : Nous pouvons tout perdre en cas de feu ou de catastrophe naturelle !  C’est à lui de payer la prime d’assurance cette fois-ci ; moi, j’ai payé la dernière.  Il faut être fou pour ne pas assurer la propriété qui doit servir à payer les dettes !  Pourtant son syndic voulait continuer la couverture lorsqu’il m’avait demandé une copie de mon dernier paiement.  J’ai du mal à suivre.

27 août

J’apprends par Maître CORNIAUD que ma plainte déposée contre Monsieur BOULIER pour endettement excessif à l’insu de l’épouse et non-cotisation à la retraite de l’épouse n’est pas recevable, puisque ne relevant pas du Code Pénal.  J’en déduis qu’un mari a le droit de faire autant de dettes qu’il le souhaite à l’insu de l’épouse et que l’épouse peut en être tenue responsable si elle s’est mariée sous le régime de la communauté, ce qui est mon cas.  C’est injuste et inacceptable !  J’en suis révoltée.  Ce qu’on ignore, on ne peut pas combattre.  Il n’est donc pas logique que l’épouse ignare soit tenue responsable d’actes commis à son insu par son mari.  Pourtant, les Instances me tiennent bel et bien responsable des actes de RAOUL.  Par précaution il ne faudrait donc jamais se marier ou alors se marier sous un contrat de mariage
Maître CORNIAUD me promet de me tenir au courant dès qu’il aura du nouveau dans les divers dossiers dont je le charge.
(Annotation : Je ne me doute pas encore, qu’il ne le fera JAMAIS.)

30 août
RAOUL prévient EMMA qu’il ne rentrera pas en France avant le premier janvier 1998. 
(Annotation : C’est un mensonge ; il sera en France fin octobre et tout le mois de décembre.)
Il me demande si nous avons besoin d’argent et demande de lui envoyer un RIB pour qu’il puisse faire un virement « à l’occasion ».  Comme s’il ne savait pas que je dois faire aller avec 1.400 Francs par mois pour deux personnes
(Annotation : virement en décembre)

Je n’ai toujours pas pu récupérer les meubles que j’avais mis dans un dépôt-vente, il y a deux mois ; rien n’a été vendu, à part les vases en cristal dont je n’ai vraiment plus besoin puisque de toute façon je ne peux pas m’offrir de bouquets et personne ne m’en offre.  Les dernières fleurs que j’ai reçues, c’était pour nos vingt ans de mariage en 1993, bouquet sans âme dont je me souviens à peine ; depuis, plus rien.

3 septembre

Dans le dossier des PRUNELLES, la Cour d’Appel de Paris rejette l’ensemble des demandes de Monsieur ZINTKO.  Je me demande comment tout va continuer.  Je me sens complètement dépassée dans ce litige où je me sens mal informée et mal défendue malgré toutes mes démarches.

Après six semaines d’attente, l’Hôtel des ventes BENBIRA m’informe que les tapis mis en dépôt, sont à ma disposition.
Comment puis-je les récupérer à 50 kilomètres d’ici sans voiture ?  Je sais que je dois encore faire appel à la bonne volonté d’un gentil chauffeur.   
(Annotation : Deux tapis ont été vendus sans autorisation le 9 août dernier.) 

4 septembre

C’est la rentrée : EMMA est très contente et reprend l’école avec une nouvelle coupe de cheveux « façon maman » et une « nouvelle » robe, récupérée, il y a plusieurs années, par sa tante NELLY.

Je n’ai plus de linge pour pouvoir changer nos lits.  Nos draps sont tellement usés qu’ils ont de petits trous partout et sont devenus irréparables.  Je ne sais pas comment je vais faire cet hiver.  En été, ce manque de linge ne pose pas de problème : Je lave les draps le matin et je le remets aussitôt sec le soir.  Une paire de draps est donc suffisante.  Je voudrais bien savoir dans quel ménage il n’existe qu’une seule paire de draps à part dans le mien.
En reprenant les comptes, je constate qu’il me manque environ 2.000 Francs par mois pour pouvoir financer les postes normaux d’un ménage modeste.

Je brûle la tarte dans le mini-four que RAOUL nous a apporté après l’avoir réparé.  J’ai l’impression qu’il ne fonctionne toujours pas correctement.  Mais il m’est impossible d’acheter un four ou une cuisinière.  Nous sommes donc obligés de nous passer de pâtisseries, petits pains et pain maison, gratins et autres gourmandises faute de four.  Si seulement l’huissier m’avait bien voulu laisser la cuisinière !  Mais il l’avait saisie parce qu’elle était double ; il la considérait comme matériel professionnel, bien qu’elle n’ait jamais servi à l’activité professionnelle.  Mais l’huissier a certainement raison ; d’ailleurs, ni l’avocat, ni l’assistante sociale, ni le syndic ne l’ont contredit ni sont intervenus.  On peut vous saisir votre cuisinière en toute légalité malgré un jeune enfant !

 

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez

Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message dans CONTACT .
Partager cet article
Repost0
4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 15:05
23 août
Je vais à mon premier rendez-vous avec Maître CORNIAUD, avocat qui m’a été conseillé en disant qu’il était « un jeune loup ». Ce qui me préoccupe le plus, c’est le Jugement de divorce qui me pèse lourd sur l’estomac et qu’il faut à tout prix faire annuler. Nous faisons grossièrement le tour des dossiers à traiter que je lui remettrai la prochaine fois. Je ressors du cabinet avec l’espoir d’avoir enfin trouvé un avocat qui s’occupera de mes dossiers. Enfin !
 
Je reçois la lettre du 11 août annoncée par RAOUL avec ses commentaires concernant l’état des créances. Je reste perplexe : Soit RAOUL prétend ne plus se souvenir de ses propres actes, comme par exemple, il ne se souvient plus des importants découverts, qui s’élèvent à 70.000 et 270.000 Francs, sommes dont on devrait se souvenir, soit il me suggère de me procurer moi-même les informations nécessaires à la vérification des dettes concernant des affaires dont je ne suis absolument pas au courant et pour lesquelles je ne dispose d’aucun élément. Pourtant, c’est bien lui qui a exploité et « géré » le restaurant, c’est lui qui a confisqué les lettres, même les recommandées à mon nom, c’est lui qui est parti avec le matériel, la comptabilité et la caisse ! Et maintenant, il me demande de courir après des documents qui devraient être en sa possession ? ! J’ai l’impression que RAOUL a du mal à se retrouver dans les dossiers ou fait semblant de ne pas bien savoir. Comment peut-il faire des affirmations qui ne tiennent pas debout ? Comment peut-il prétendre que certains dossiers sont clos alors qu’il s’agit de litiges ?  Comment ne peut-il pas se souvenir, lui qui a une excellente mémoire ? En tout cas, il essaie de se décharger sur mon avocat, qui sera enchanté de s’occuper de ce genre de paperasse, surtout dans le cadre de l’aide juridictionnelle. Comment peut-il se décharger sur moi qui ne connais rien à la plupart des dossiers ? Comment faire des démarches lorsque l’on ne dispose de presque aucun élément ? Je crains qu’un grand travail de fourmi ne m’attende. 
(Annotation : J’ignore à ce moment-là l’importance de la tâche.)

Je ne vois pas d’autre solution que de mettre tout dans les mains de l’avocat et prends immédiatement rendez-vous. En attendant, je prépare mes commentaires poste par poste pour confronter nos deux versions des choses en prévoyant une copie pour mon avocat et l’autre pour RAOUL. 
 
J’ai l’impression que RAOUL s’est bien foutu de moi une fois de plus en m’envoyant ses soi-disant « commentaires » concernant l’état des créances. Pourtant, je lui avais demandé de donner des explications poste par poste pour connaître enfin la vérité. En fin de compte c’est lui qui me demande de me renseigner sur la véracité des créances !   Il sait que je n’en dors plus, et malgré cela, il ne fait absolument aucun effort pour résoudre ce qui peut encore être résolu. Non, il se fait une vie tranquille à l’étranger à l’abri des ennuis que LUI a créés ! Je ne digère pas ça.
Tout cela n’arrange pas mes problèmes de sommeil dont je souffre toujours. Je suis persuadée que tant que la situation n’est pas assainie, je ne retrouverai pas un sommeil normal. Comme je suis déjà épuisée au réveil, les journées sont dures. 
 
En reprenant l’état des créances, je m’aperçois que certains gros postes manquent. N’auraient-ils pas été déclarés ? Et pourquoi ? Que de questions auxquelles je n’ai pas de réponse et qui me tracassent !
            
C’est ma journée ! Les mauvaises nouvelles ne s’arrêtent pas : Maître MATOU prétend ne pas avoir reçu mes commentaires concernant le Jugement de divorce, commentaires que je lui ai pourtant déposés dans sa propre boîte aux lettres pour être sûre qu’ils lui parviennent sans faute.   Je ne le crois pas et lui transmets une nouvelle fois mes commentaires, exprimant mon mécontentement du manque de défense malgré tous les éléments que j’avais continuellement fournis pour démontrer le comportement d’un « mauvais père de famille et mari » dans l’espoir que le divorce sera prononcé à ses torts exclusifs. 

Pour lire la suite, cliquez
Pour revenir au début du PUZZLE DE LA VERITE, cliquez


Si vous souhaitez lire LE PUZZLE DE LA VERITE en entier, laissez un message  dans CONTACT .
 
Partager cet article
Repost0